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(Lun. 13 Nov. 2017, 12:00)Georges V a écrit : des méthodes qui permettent d'écarter d'autres facteurs
Appliquées non seulement aux 48.000 cas recensés par l'étude mais encore aux 91 autres pourcents dont ces méthodes ont donc abouti à conclure que la pollution n'avait eu aucun impact sur la dégradation de leur santé ? Sacré boulot !
C'est tout aussi con pour le tabac dans les années 1960 comme dans les années 2010.
Les accidents de voiture ou de trainsurfing, le gazage au zyklon ou le cancer colorectal, sont des causes clairement attribuables. Pour la pollution de l'air, on peut évaluer en années de vie perdues, en coût pour la collectivité, en équivalent cacahuètes si on veut, mais on ne peut pas aligner des morts. Et écrire ça n'est pas contester la nocivité des phénomènes en cause.