0 | 0 | ||
(Ven. 14 Dec. 2018, 13:44)Jahirange a écrit : Oubliez pas un truc, cette carrière a été réexploitée après la libération... réinvestie par les carriers et avec ses allées parcourues par des milliers de tonnes de calcaire sur des camions... je vois pas trop comment ça peut être miné...
Miné au sens propre non. Mais rien n'empêche que certaine partie de la carrière ai été isolé pour le stockage de munitions. A bourges, il y a encore des secteurs en carrières qui sont réquisitionné par l'armée depuis 1938. Qui sont encore bien polluée et ce même si une exploitation de champignon avait repris dans d'autre secteurs à la libération... Après je ne connais pas Hennocque si ce n'est pour le côté historique.
Sinon, pour ce qui est du stockage de container de matériaux radioactif, ce n'est pas surveillé si c'est le cas ?? o0
(Ven. 14 Dec. 2018, 13:51)Krahoc a écrit :(Ven. 14 Dec. 2018, 09:32)Yersinia a écrit : Les allemands ont très souvent piégés leur dépôt de munitions quand ils étaient obligé de les abandonner... Mais en général les accidents qui y sont consécutifs ont poussé les autorités à s'occuper du problème depuis longtemps. Ça ne veut pas dire qu'il ne reste rien, malheureusement on parle de tonnes de munitions abandonnées ou non explosés mais on ne devrait pas tomber sur des mines encore en place... (surtout parce qu'après la guerre, les gouvernements français et allemands se sont échangés les plans des terrains minés. En France c'est le Ministère de la Reconstruction qui s'est chargé de les neutraliser et de les détruire) Mais bon, encore une fois, c'est possible que certaines soient passé entre les mailles du filé.
Et pourtant, jusque dans les années 90 y'avait encore pas loin de chez moi des centaines de mines SMA et d'explosifs divers en carrière. Faut croire qu'entre ce qu'on dit et ce qu'on fait, y'a quelques nuances.
Oui mais en dépôt de munition je suppose. Pas en tant que terrain miné actif ?
"En mil trois cent quarante-huit,
à Nuits, de cent restèrent huit.
En mil trois cent quarante-neuf,
à Beaune, de cent restèrent neuf."
à Nuits, de cent restèrent huit.
En mil trois cent quarante-neuf,
à Beaune, de cent restèrent neuf."