Mar. 11 Juin 2013, 10:35
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Lors du référé du 2 avril dernier, le promoteur avait assuré solanellement, devant le Juge, que leurs travaux n'étaient pas destinés à supporter un radier pour une opération immobilière.
Et l'affaissement qui était jusque-là présenté comme un effondrement de la carrière qui « aurait pu causer un sinistre majeur dans le quartier » (selon l'architecte en chef des monuments historiques) a disparu des écritures présentées par la Soferim et le Ministère de la Culture au Tribunal administratif pour le jugement sur le fond du dossier.
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