(Jeu. 04 Juin 2015, 23:41)ardnaxela a écrit : Auprès des tierces parties, il est pour le moins délicat de jouer aux boyscouts qui veulent prévenir les accidents alors que nous sommes très exactement la cause de ce nouveau danger.
??? Quand on est très exactement la cause de ce nouveau danger, on prévient les accidents qu'on est susceptible d'entraîner ! C'est aberrant ce que je viens d'écrire ? Y a un truc qui m'échappe là.
Une mauvaise expérience avec des scouts dans ta vie ?
(Jeu. 04 Juin 2015, 23:41)ardnaxela a écrit : Je propose un autre parallèle: imagine que des parfaits inconnus viennent tous les soirs ou presque pisser dans la cour de ton immeuble alors qu'ils n'ont rien à faire là. Ce serait sans doute déjà de nature à t'irriter. Imagine alors qu'à la fin du mois tu reçois une lettre de l'un d'entre eux qui t'informe que l'odeur devient insoutenable et qu'il serait bon de faire quelque chose. Tu le prendrais bien?
Il ne s'agit pas de plaindre qu'il n'entretient pas. La proposition consiste à signaler le danger. Mais on part d'un postulat différent. Pour toi le gestionnaire a reçu une alerte sur son téléphone à la seconde où la plaque a commencé à merder. Moi je dis qu'il n'est peut-être pas au courant. Il est entendu que si on considère qu'il sait, le prévenir est inutile. Ca nous fait un point de convergence.
(Jeu. 04 Juin 2015, 23:41)ardnaxela a écrit : Soyons concrets: pour ce cas précis, est-ce que ceux qui proposent de "contacter le gestionnaire" savent justement qui est ce gestionnaire? Qui est le propriétaire? Qui est l'exploitant? Qui est chargé de l'entretien et de la maintenance? Qui va décider des travaux à faire? Qui va payer?
Le proprio, on s'en branle. L'exploitant (tu as raison, c'est ça le mot qui convient), tout le monde sait qui c'est, et il n'est pas très compliqué d'identifier un interlocuteur pertinent.
Evidemment en causer avec lui c'est prendre le risque que l'accès soit fermé. Mais ça je l'ai évoqué dès mon premier message, et ça ne m'a pas retenu du fait que j'avais lu plus haut que tout le monde semblait indifférent voire se réjouir de l'éventualité de la condamnation de la voie.
Bref, faites ce que vous voulez, moi je ne descends plus, je monte. Là-haut y a moins de monde, ça fait moins d'occasions de branlette intellectuelle.
(Jeu. 04 Juin 2015, 15:39)romainpp a écrit : Quoi qu'on fasse il y aura des risques associés.
Cas 1: On condamne la plaque par une quelconque moyen. L'opérateur de la GT le remarque peut-être au bout de quelques semaines/mois, décide de la rouvrir ou non, et décide d'aller voir jusqu'à la chatière ou non.
Cas 2: On laisse la plaque telle quelle. Un touriste se la prendra sur la gueule, finit au urgences, fait la une des journaux, et là chatière est injectée pour de bon. Et là c'est perdu pour "vivre caché".
D'accord, dans le cas #1 on peut dire que c'est juridiquement la faute de celui qui l'a soudée et dans le cas #2 c'est la faute du touriste, mais quitte à choisir je préfère sécuriser.
Je te propose de nous faire un diagramme de Gantt pour chaque solution proposée et un business plan détaillé pour aider les investisseurs à se décider sur le meilleur rapport retour sur investissement/risque.
(Ven. 05 Juin 2015, 10:50)lamer a écrit : si t'arrive à la déposé, certain arriverons à la viré ... Après c'est sur que pour sortir faudra la joué finot et faire levier avec sa b...
Ven. 05 Juin 2015, 15:16 (Modification du message : Ven. 05 Juin 2015, 16:06 par Don_poulpito.)
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Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer comment on se débrouille pour dégonder un plaque isostatique? J'ai beau la regarder les yeux droit dans les gonds, je ne vois pas comment faire pour y arriver, même en le voulant, ou alors je n'ai pas compris la définition du dégondage.
Par dégondage, vous entendez que la plaque est sortie de ses gonds, donc mouvement de glissade/translation le long de l'axe du pivot de la plaque, ou que les gonds sont tout bonnement cassés et ne servent donc plus à rien?
Dans les deux cas, je ne vois pas à quel moment de l'ouverture, ou de la fermeture, on risque de les casser, à moins de carrément enfoncer la plaque dans le sol, en ne se contentant pas de la lâcher (ce que je ne fais pas), mais carrément de mettre un coup de pare-chocs à 120km/h.
Plus sérieusement, est-ce la répétition des "lâchés sauvages" de plaque qui fait céder les gonds sous le poids de cette dernière?
La seule chose que je me sens susceptible de casser, c'est une de mes vertèbres en glissant. Je touche du remblai ça n'est jamais arrivé
D'autre part, je n'ai pas trouvé de sujet récent, mais j'ai peut-être mal cherché, un des gonds d'une plaque, *texte modéré par Nomad*, depuis rajoutés/bricolés, est cassé. J'ai eu peur en remarquant que la pointe de la plaque descendait plus bas que le niveau normal. Mea cupla si l'alerte a déjà été donnée.
Das Leben eines Mannes, zwischen Himmel und Erde, vergeht wie der Sprung eines jungen weissen Pferdes über einen Graben : ein Blitz ... pfft ... es ist vorbei !
(CHINE, 4e siècle av. JC)
Aga Akhesa Caracal Citerne Corbak Dave Don_poulpito Dr`Q El Mariachi F.M.R. Galaes Herr kleinekoinkoin Jahirange lau tieum Tonton Vict ☺☺☺
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(Ven. 05 Juin 2015, 15:16)Don_poulpito a écrit : Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer comment on se débrouille pour dégonder un plaque isostatique? J'ai beau la regarder les yeux droit dans les gonds, je ne vois pas comment faire pour y arriver, même en le voulant, ou alors je n'ai pas compris la définition du dégondage.
C'est assez simple en fait.
Insulte la plaque, dit lui que tu lui marche dessus quand tu veux, qu'elle a une gueule de Pont-à-mousson 1940, traite sa mère de pompe à béton ; elle finira forcément par sortir de ses gonds.
Topinambours et topographie pour une vie de taupe bien remplie
Dim. 07 Juin 2015, 00:02 (Modification du message : Dim. 07 Juin 2015, 00:03 par Don_poulpito.)
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Aga Akhesa Beach Carlus Citerne Corbak El Mariachi F.M.R. lau Nomad plongeur tieum Tonton Vict wally Zasalamel
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(Sam. 06 Juin 2015, 11:26)Carlus a écrit : C'est assez simple en fait.
Insulte la plaque, dit lui que tu lui marche dessus quand tu veux, qu'elle a une gueule de Pont-à-mousson 1940, traite sa mère de pompe à béton ; elle finira forcément par sortir de ses gonds.
J'ai essayé ta technique. je l'ai recroisée hier et lui ai dit d'arrêter de faire le trottoir, que de toute façon, je préférais les formes rondes. Qu'elle ne provoquait que le dégôut, logique pour une plaque. Elle est restée sereine, ça ne l'a même pas touchée en surface.