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(Mer. 27 Oct. 2021, 10:37)gaspard duval a écrit :
https://www.leparisien.fr/sports/footbal...K7ARFM.php
...
Tin mais ils savent plus quoi inventer les mecs. Ca n'assume toujours pas d'aller aux putes, c'est fou ça.
-- Asociale à mi-temps, relou tout le temps -- \m/
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https://www.legorafi.fr/2019/04/11/une-r...ir-la-mer/
Une rame de RER B s’échappe du réseau RATP pour aller voir la mer
Paris – Panique au siège de la RATP avec la disparition hier de toute une rame de RER B quelque part vers Bourg-la-Reine. Selon les premiers indices, les motivations de cette fugue trouveraient réponses dans la volonté affichée du train « d’aller voir la mer ». Reportage.
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Ben ... ça s'appelle de la PROMO !
Das Leben eines Mannes, zwischen Himmel und Erde, vergeht wie der Sprung eines jungen weissen Pferdes über einen Graben : ein Blitz ... pfft ... es ist vorbei !
(CHINE, 4e siècle av. JC)
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Tout à fait d'accord
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"Ma vraie naissance"....
J'en ai les larmes aux yeux, les fesses qui font bravo...
j'ai des désirs de moustache entre les seufs, de la fièvre comme une chevrette !
Oh ! Prenez moi ! En entier !
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Est-ce qu'une âme charitable aurait l'article en entier svp ? Et les photos ?
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Et demain on reviendra te couper ton zézette
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Mais quel teasing insupportable!!
C'est interdit de partager l'article directement cest ca? :p
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J'ai récupéré l'article en entier :
Les mystères de Paris - Dans les entrailles de la capitale
François-Guillaume Lorrain
21 Novembre 2021
Égouts, carrières, catacombes... Si l'on connaît le foisonnement des sous-sols parisiens, on ignore souvent qu'ils sont aussi jalonnés d'abris historiques.
Nous sommes pratiquement sous une mairie d'arrondissement. Rendez-vous nous a été donné d'abord dans une épicerie solidaire pour étudiants, la première de Paris, où les produits sont vendus à un cinquième de leur prix dans le commerce. Nous y retrouvons Gilles Thomas.
Voici quelques mois, il nous avait déjà servi de guide pour les carrières sanctuarisées de l'hôpital Cochin. Nous le revoyons cette fois à l'occasion de la publication de son ouvrage Paris sous Paris (EPA), magnifiquement illustré par son acolyte Gaspard Duval, qui a réussi de petits prodiges d'éclairage dans des lieux par définition mal exposés à la lumière du jour. Égouts, réservoirs d'eau, carrières, métros, catacombes, urbanisme souterrain... Rien de cet « underground » n'est étranger à Gilles Thomas, Provinois qui fit ses premières armes sous terre avec le Centre de recherches et d'études du Provins souterrain. Il y avait évidemment de quoi faire. À la fin des années 1980, il est monté à Paris, ou plutôt il est descendu dans Paris, faisant connaissance avec le sous-monde parisien via l'association Seadacc qui commençait alors à restaurer les carrières sous l'hôpital Cochin. Depuis, mi-taupe mi-troglodyte, Gilles Thomas est un homme qui regarde Paris par en dessous : on devine que dans sa tête se déploie une autre carte de la capitale, qui n'a rien à voir avec la nôtre.
Longiligne, agile, sa manière de se mouvoir trahit sa capacité à se faufiler dans le moindre trou. D'un abord réservé, il se met soudain à parler à débit torrentiel comme tous ces passionnés débordant de leur passion. Bien plus qu'un cataphile, c'est un féru du sous-sol parisien qui allie la pratique au savoir, la débrouillardise à l'expérience. Dans cet univers-là, il faut savoir frapper à la bonne porte. Mais depuis 20 ans qu'il écrit sur le sujet, il a tout lu, la littérature du XIXe siècle, si riche en la matière, les souvenirs aussi d'explorateurs ou d'anciens fonctionnaires de la Ville de Paris. Fonctionnaire, il l'est justement de l'administration parisienne. Mais il préfère s'en tenir à une discrétion, que nous respecterons.
Près de 40 000 abris avant 1939 (photo)
Avec son grand bleu de travail qui le recouvre entièrement, on pourrait aisément le confondre avec un employé des eaux ou des égouts. C'est que sa passion peut être salissante. Comme en ce jour où j'essaie de ne pas trop souiller mon imper sur les bancs recouverts de poussière de cet ancien abri. Les renforts en bois sont encore intacts, ils n'ont pas été retirés comme sous l'École de médecine (côté couvent des Cordeliers) où tout a été déménagé, soi-disant pour éviter des risques d'incendie. Au plafond, j'aperçois les sacs à sable. Jadis, cet abri était surplombé par un commissariat de police. Toutes les mairies d'arrondissement en avaient un. Certaines, comme celles des 3e, 13e, 16e, disposaient d'un poste de secours sanitaire (PSS) étanche au gaz, pour les blessés, avec des portes métalliques pour le sas d'accès, appareil cyclo-ventilateur, système de filtration, toilettes... Ils n'ont pas été démantelés.
Butoirs du terminus de la ligne de Sceaux, sous le boulevard Saint-Michel, où les trains s'arrêtèrent
à partir de 1895... jusqu’à 1977. (photo)
Avant 1939, Paris disposait d'à peu près 40 000 abris. Essentiellement des caves-abris, renforcées par du bois plus rarement par du métal, pour des immeubles de 4 étages ou plus. C'était en effet la hauteur minimale pour empêcher les bombes de perforer le sol du rez-de-chaussée. La défense passive est évoquée, précise Gilles Thomas - qui a déjà consacré un livre aux abris de Paris -, dès 1923 par le ministre de la Guerre, le célèbre André Maginot. La possibilité d'une revanche allemande et d'attaques aéro-chimiques est déjà envisagée, après les premiers bombardements sur Paris en 1918 qui ont marqué les esprits.
Il faut attendre le milieu des années 1930 et la montée des tensions avec l' Allemagne nazie pour que les grandes manœuvres soient enclenchées. Un Salon des abris sera même présent au sein de l'Exposition universelle de 1937 afin de mieux sensibiliser la population. Une liste de ces 40 000 abris avait été dressée, elle a disparu. Seule la mairie du 16e en a gardé la trace pour deux de ses quartiers
- 1 000 abris - ainsi qu'une liste des abris administratifs que Gilles Thomas a retrouvée aux Archives de Paris. Impossible de savoir combien il en subsiste encore aujourd'hui. Mais cette histoire souterraine témoigne d'une paranoïa, pas si lointaine, où il fallait pouvoir évacuer une population civile vulnérable devenue la cible des belligérants. Une autre sorte de confinement.
« Le fascisme ne passera pas » (photo)
Parmi les plus grands qui subsistent, celui du garage central de la préfecture de police, au 64, boulevard de l'Hôpital, dans le 13e, où sont entretenus les 6 000 véhicules des forces de l'ordre. Il pouvait contenir jusqu'à 500 personnes. Le nôtre est plus modeste. Quelques dizaines de personnes devaient pouvoir y prendre place dans les deux ou trois pièces auxquelles aboutit l'escalier. Sur les murs de cet escalier, j'ai relevé quelques « le fascisme ne passera pas » : ces pièces, après la guerre, ont pu servir aussi de cellule. Après 1945, pour enlever les étais en bois ou en fer - dans le jargon, on dit « ferrailler » - des caves d'immeubles, il fallait obtenir l'autorisation du ministère de l'Intérieur. Une démarche compliquée. Beaucoup subsistent donc sans que les propriétaires sachent que ces renforts relevaient en réalité d'un abri. Des indications, qui portent parfois le mot « abri », précisent le nombre de places, ou flèchent des sorties de secours, révèlent l'ancienne destination du lieu. Là aussi, pour recouvrir à la peinture ces indications, il faut réunir le syndic de l'immeuble, formalité onéreuse qui en a dissuadé plus d'un.
Dans notre abri, aucune indication. Gilles Thomas m'emmène vers la sortie de secours, obturée par quelques parpaings qu'il serait facile de défoncer. De l'autre côté, un couloir et des escaliers conduisent vers les bâtiments de la mairie d'arrondissement. Mais nous ressortons par l'escalier d'entrée en haut duquel des bénévoles de l'épicerie solidaire signalent une nouvelle cave-abri, rue Geoffroy-Saint-Hilaire, à Gilles Thomas. Il note le numéro et promet de vérifier dès que possible avec l'un des propriétaires des lieux. La moisson n'est jamais terminée.
La porte d'Enfer (photo)
En attendant, il m'emmène dans les parkings de la rue Soufflot qui communiquent avec les anciennes voies de la gare de Sceaux prolongée jusqu'à la station Luxembourg en 1895. Quand la ligne du RER B a été creusée en 1977, la voie de garage du terminus a été désaffectée et reconvertie en un parking à deux étages. Gilles Thomas me désigne les quelques vestiges de cette ligne de Sceaux : les murs en pierre meulière et les niches latérales qui permettaient aux ouvriers de se mettre en retrait quand passaient les wagons.
Tout près, me dit-il, au niveau du 65, boulevard Saint-Michel, au débouché de la rue Monsieur-le- Prince, si l'on descend par la bonne plaque d'égout, on tombe aussi sur le reliquat de la porte Saint- Michel, bâtie au début du XIIIe siècle, avec ses meurtrières, dite la porte d'Enfer, qui clôturait à cet endroit l'enceinte de Philippe-Auguste. Un autre genre d'abri. Une représentation de 1860 montre son excavation, quand fut creusé le boulevard Saint-Michel et supprimée l'ancienne place Saint- Michel, au croisement avec la rue Soufflot. Ce sera pour une prochaine fois peut-être, avec d'autres vêtements.
Paris sous Paris, par Gilles Thomas, EPA, 280 p., 39,90 EUR.
Par François-Guillaume Lorrain
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Pour en voir un ouvert au public gratuitement, la ville d'Ivry-sur-Seine a restauré le sien et y a installé le "cabinet de curiosités" qui accueille des expositions thématiques temporaires.
Visite libre pendant les horaires d'ouverture du service des archives.
http://cabinetdecuriosites.ivry94.fr/a/74/
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https://fr.sputniknews.com/20220211/il-p...99298.html
En plus de la pluie ordinaire que connaît assez bien la région, la Bretagne a essuyé début février des précipitations inhabituelles sous la forme de poissons. C’est le cas d’un Morbihannais qui en a retrouvés dans son jardin. Il s’agit d’un phénomène assez rare, mais qui n’a rien de surnaturel.
Il n’y a pas que la neige, la pluie ou la grêle qui puissent tomber du ciel. De drôles de précipitations ont assailli la maison d’un habitant de Plœmeur, dans le Morbihan, qui a eu la surprise de découvrir le 3 février un grand nombre de poissons, tombés dans son jardin, relate le 7 février Ouest-France.
Étonné, l’homme s’est longuement interrogé sur ce phénomène. Cependant, il s’avère qu’il n’y a rien de mystérieux dans cette histoire et qu'il n'était en rien question de poissons volants.
Guillaume Woznica, spécialiste météo de LCI, a expliqué à la chaîne TF1 que ces événements se produisent «de temps en temps sur nos côtes».
Aspirés par une «tornade»
Ainsi, de faibles précipitations ont frappé la Bretagne le 3 février, provoquant cette retombée de poissons.
«Ceux-ci ont été en quelque sorte aspirés par les nuages lors d’une situation météo agitée en mer», a indiqué M.Woznica en ajoutant que cela peut se produire «lors d’une tempête par exemple ou lors d’un orage avec la formation de tourbillons, ce que l’on appelle des trombes marines».
Des poissons peuvent ainsi être piégés dans ces tourbillons puis dans les courants d’altitude, avant de se retrouver dans les nuages.
Ce qui est plus curieux dans cette histoire, c’est que, d’après le météorologue, «il faut remonter au week-end du 8 janvier pour retrouver une météo agitée dans la région».
«Or, en général, la pluie de poissons se produit quelques jours tout au plus après qu'ils ont été aspirés», a-t-il noté auprès du média.
Selon lui, la pêche retrouvée dans ce jardin breton pourrait provenir de loin et avoir voyagé «sur plusieurs centaines de kilomètres dans les courants qui circulent en altitude».
Un phénomène déjà observé
Fin décembre, ce phénomène d’averse de poissons a été observé dans une ville du Texas, aux États-Unis. Certains spécimens mesuraient jusqu’à 15 centimètres.
Dans un article publié sur son site, National Geographic relate que ces courants d'air, des vents très forts, sont plus puissants que les trombes marines et peuvent capturer et emporter des animaux plus gros, notamment des oiseaux, des chauves-souris, des grenouilles ou des serpents.
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sympa mais un mètre de profondeur c'est assez limité
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