6 membres en ligne. Connectez-vous !

Note de ce sujet :
  • Moyenne : 4.5 (2 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Recherche dans le sujet
Liens vers des articles de journaux
1
la_gargouille
0
https://www.lefigaro.fr/actualite-france...erains.php

Dans les environs de Saint-Martin-de-Crau, petite ville des Bouches-du-Rhône, plusieurs milliers d'obus, des torpilles et de la poudre sont laissés à l'abandon sur un ancien site de traitement des munitions usagées. ©Agir pour Crau
À quelques kilomètres du dépôt militaire de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, une importante décharge de munitions à l'abandon inquiète une association de défense de l'environnement. Depuis plusieurs années, poudre et obus restent à la merci des intempéries.

Plusieurs milliers d'obus et au moins 420 tonnes de poudre dorment sous le ciel de Provence à une trentaine de kilomètres d'Arles, dans les Bouches-du-Rhône. Laissée à l'abandon depuis 2006, l'ancienne décharge de munitions de Saint-Martin-de-Crau soulève l'inquiétude des riverains et plus particulièrement d'une association de protection de l'environnement, Agir pour la Crau, qui dénonce les risques sécuritaires et sanitaires.

Le vol d'explosifs début juillet sur le site militaire de Miramas, à seulement dix kilomètres de Saint-Martin-de-Crau, et les explosions qui ont suivi dans l'usine pétrochimique de Berre-l'Etang, ont relancé le dossier. «Après les événements, la préfecture s'est un peu inquiétée. Elle a rafistolé les clôtures qui ne protègent même pas tout le site, et fait poser de magnifiques panneaux ‘Attention danger'», déplore Joëlle Longhi, porte-parole de l'association. Depuis des années, elle réclame la sécurisation et la dépollution de ce site de 35 hectares, entouré par des exploitations agricoles.

Dès la fin de la Première guerre mondiale, La Carougnade, un lieu-dit à la sortie de Saint-Martin dans la plaine de la Crau, est mobilisée pour gérer le stockage des déchets militaires. Au milieu des années 1980, la Société Industrielle de Munitions et Travaux (SIMT) prend en charge la gestion du site, avec pour principal client le ministère de la Défense. «On arrive pas à comprendre exactement ce qu'ils ont pu faire pendant toutes ces années. Apparemment, ils se sont contentés d'enterrer et d'immerger des obus», explique Joëlle Longhi.
Répondre
0
0
Pas vraiment un article, mais faut bien le caser quelque part vu que c'est pas vraiment une vidéo "marrante"

Et demain on reviendra te couper ton zézette
Répondre
0
0
Article paru en 1951 dans "Le Crapouillot"











https://www.facebook.com/photographie.souterraine/
"Les catacombes disparaîtront sous les injections. Les cataphiles disparaîtront sous leurs déjections" (Nostradamus)
Répondre
1
Aurige
0
Article de Mediapart sur le comblement de la carrière des Brillants. Bel écho à notre combat. Peut être tout n'est il pas perdu ?
Deso il faut être abonné ..
Répondre
5
aliasdingdong
Aurige
Farfadet
OSC
Skara
0
Voilà l'article derrière le paywal :



À Meudon, guerre des sous-sols autour de déchets du Grand Paris
De somptueuses carrières, prisées des cataphiles et estimées pour leur qualité artistique et géologique, doivent être en partie comblées par des déchets de BTP. La mairie assure être guidée par le souci de sécuriser le site. Des opposants y voient un feu vert à la valorisation immobilière. 
Jade Lindgaard

 
5 mai 2022 à 16h41



Le sous-sol de l’Île-de-France est-il le nouvel eldorado du Grand Paris ? C’est la question inattendue soulevée par un projet contesté de comblement d’anciennes carrières de craie à Meudon (Hauts-de-Seine). 
Sous la colline Rodin, où le sculpteur vécut les vingt dernières années de sa vie, et où il gît pour l’éternité, enterré sous son célèbre Penseur, s’étendent les carrières Arnaudet. Fermées au public, elles ont fourni de la chaux et la matière première du « blanc de Meudon », une poudre aux vertus nettoyantes, dès la fin du XIXe siècle.







Une centaine de galeries ont été creusées sur huit kilomètres, dont certaines en voûtes avec croisées d’ogives. Les photos les dévoilent somptueuses, semblables à une cathédrale ensevelie. On y cultiva des champignons de Paris jusqu’aux années 1960. Des fossiles rares y ont été découverts et leur acoustique a été étudiée par le CNRS.
Si bien que les carrières sont classées comme « site scientifique et artistique » depuis 1986. Elles sont aussi inscrites à l’inventaire national du patrimoine géologique et sont prisées des cataphiles du coin, ces visiteurs clandestins des dessous de Paris. 
C’est là que 47 000 mètres cubes de déblais de chantier – soit une vingtaine de camions par jour pendant huit à neuf mois – doivent être déversés à partir de juin. Sur un peu moins de la moitié des carrières – 45 % de la surface des galeries, selon la mairie, soit environ 12 000 mètres carrés. D’après la préfecture, les carrières Arnaudet risquent un effondrement général : des piliers fragilisés pourraient s’affaisser, selon une étude de modélisation de l’Ineris, un institut public d’expertise des risques. Depuis dix ans, l’Inspection générale des carrières considère le site comme menacé et en interdit l’accès. En 1961, un effondrement de carrières à Clamart, tout proche, a tué vingt et une personnes et en a blessé quarante-cinq.


[Image: 20220505-img-meudon-guerre-des-sous-sols...aris-1.jpg]

Vue de la carrière Arnaudet. © Photo Magdaleyna Labbé



Mais toute une communauté d’usagers et usagères, et de défenseur·es de ces carrières refuse la transformation de ce lieu cher à leur cœur en exutoire de BTP. Des habitant·es, des écologistes, des scientifiques et des associations de spéléo accusent la mairie de vouloir détruire ce trésor englouti pour le bénéfice du Grand Paris. Ils appellent à une manifestation à Meudon le 15 mai.
« On ne fait pas ces travaux par plaisir ! », se défend le maire de Meudon (UDI), Denis Larghero. « Je ne suis pas un vandale, je ne détruis pas, je ne pollue pas », assure Franck Deruère, directeur général des services techniques de la commune. Pour l’édile, « il faut être modeste, c’est un sujet extrêmement technique et sensible ». Il s’en remet à l’avis de « tous les organismes et instituts qui sont parties prenantes de ce sujet » et affirme ne pas avoir à « choisir entre des principes constructifs », ni à « aller contre des consignes de sécurité ». 
Le marché des travaux de comblement des carrières a été remporté par ECT, une société spécialisée dans la gestion de déchets du BTP, pour 6 millions d’euros. Avec diverses subventions, la commune annonce n’avoir à payer que 2 millions d’euros. L’entreprise a la charge de tracer l’origine des remblais et d’en informer la mairie ainsi qu’un comité ad hoc. Pour Magdaleyna Labbé, habitante de Meudon et mobilisée en défense des carrières : « En quoi ça valorise un site historique de le polluer et de le détruire ? »
Comblement ou pas ?
C’est là que se loge une partie de la controverse : d’où viennent les remblais ? Du creusement des tunnels du Grand Paris Express, le gigamétro du Grand Paris actuellement en construction, qui génère des millions de tonnes de boues, gravats et terres souvent polluées ? La Société du Grand Paris, qui construit le métro, « avait étudié la possibilité d’envoyer des déblais pour combler les carrières Arnaudet de Meudon, notamment avec les terres extraites de la ligne 15 Sud, mais les études réalisées n’ont pas confirmé la pertinence de choisir ce site pour des raisons de faisabilité opérationnelle », explique un porte-parole. Lequel prend la peine de préciser qu’« en conséquence, ces carrières n’ont reçu aucune terre du Grand Paris Express et ne font pas partie des sites agréés par la Société du Grand Paris ».
Franck Deruère, directeur général des services techniques de la mairie de Meudon, amende légèrement cette version : les déblais « ne viendront que très peu de la société du Grand Paris ». Et explique : « [Il y a trois ans], nous avons reçu la SGP, qui était prête à y mettre des boues de tunnelier, mais nous avons refusé. Elles contiennent de l’eau et il est impossible de savoir ce qui s’y trouve. » Aujourd’hui, la commune s’en remet à ECT pour trouver des déblais de chantiers en cours, « afin de savoir d’où ils viennent », et dans un rayon de 25 kilomètres. Ils doivent être constitués de terres inertes (marnes calcaires, calcaire, sable, gravier). Potentiellement, ils peuvent être issus de chantiers d’aménagement de sous-sols, de type parking.





Reste la pomme de discorde du dossier qui agite cette commune vallonnée aux portes de Paris : le risque de sécurité rend-il indispensable le comblement des carrières ? Jean-Pierre Gély, chercheur associé à la Sorbonne et membre du conseil scientifique du conseil régional du patrimoine, dit connaître la carrière depuis les années 1990 et assure ne voir « aucune dégradation visible depuis cette époque ».
Selon lui, « les faits d’observation contredisent le résultat de la modélisation » informatique de l’Ineris. Il siège à la commission régionale du patrimoine géologique, dont le comité scientifique est en désaccord, selon lui, quant à la nécessité du comblement. La modélisation a choisi une fourchette basse de paramètres qui tend à surestimer l’instabilité du site, « alors que les mesures géotechniques physiques in situ montrent à l’inverse qu’il n’y a pas d’évolution défavorable de la carrière ».
Quant à la comparaison avec l’effondrement de la carrière de Clamart en 1961, elle ne tient pas à ses yeux : « Ce scénario ne peut pas se reproduire, car, à Clamart, les carrières n’étaient pas si bien structurées et se trouvaient sous une nappe aquifère », ce qui n’est pas le cas à Meudon. 
Points remarquables protégés 
Autre chercheur, spécialiste en géologie, Vincent Maury a alerté la mairie de Meudon sur le risque que les travaux de comblement feraient courir aux carrières Arnaudet, en menaçant leur système actuel de drainage. Mais la direction générale des services techniques de la commune estime que toutes les précautions seront prises sur le chantier. 
Les carrières Arnaudet sont un « site exceptionnel », doté d’une valeur scientifique « indéniable », caractérisé par une faille qui a joué il y a 10 000 ans, « que l’on voit bien, ce qui est rarissime », insiste le chercheur Jean-Pierre Gély. De son côté, la mairie promet que les centres d’intérêt géologique et artistique des carrières resteront accessibles et que les points remarquables seront protégés. 
En 2019, le ministère de la transition écologique a accordé son autorisation aux travaux, à la demande de la mairie, et malgré le classement du risque, pour des raisons de « sécurité publique ». Elle est signée de Paul Delduc, devenu ensuite conseiller d’Emmanuel Macron à l’Élysée. Cette autorisation a fait l’objet d’une bataille judiciaire : saisi par l’association Vivre à Meudon, ainsi que par des organisations de spéléologie, le tribunal administratif l’a annulée, avant que la cour administrative d’appel ne contredise ce jugement et ne rétablisse, donc, l’autorisation. 
Le comblement des carrières rouvrirait en toute logique des perspectives d’aménagement.
En arrière-plan se joue une troisième bataille, concernant cette fois l’urbanisation de la colline Rodin. Sur les coteaux pentus qui surplombent la Seine, les ateliers d’artistes du début du XXe siècle ont cédé la place à des habitations plus conventionnelles. Des parcelles sont restées en friche. Depuis une quarantaine d’années, la mairie de Meudon veut y construire de nouveaux logements et aménager un quartier « harmonieux », « préservant les perspectives monumentales » du site.
Mais le classement des carrières en 1986 avait rendu ce projet « inopérant », indique le dossier de demande d’autorisation de travaux. En 2008, une convention-cadre a été signée entre la commune et l’établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF), opérateur public dont la mission est de débloquer du foncier constructible et d’accompagner les maires bâtisseurs, en vue d’aménager le secteur Rodin sur six hectares. Les objectifs de cet accord sont de « participer activement à la relance de l’offre foncière en faveur du logement » notamment à vocation sociale, ainsi que de contribuer au « développement économique de la ville ». 





Le comblement des carrières rouvrirait en toute logique des perspectives d’aménagement. À ce jour, un « parc urbain » est prévu en surface, au sommet de la colline. Selon l’autorisation spéciale de travaux du ministère de la transition écologique, « aucune infrastructure n’est prévue ». Ce qui ne veut pas dire aucun logement ou bureau. Toute urbanisation sur la surface du périmètre des carrières classées est proscrite, selon la demande d’autorisation de travaux. « Le terrain situé au-dessus des galeries comblées ne sera pas construit », assure la mairie sur son site. Mais tout autour, de larges parcelles sont classées « à urbaniser ».


Et d’ailleurs, la colline Rodin fait partie des sites sélectionnés pour la troisième édition d’Inventons la métropole du Grand Paris, un grand concours d’architectes et d’urbanisme, destiné à reconvertir des friches industrielles et à aménager les quartiers autour des gares du Grand Paris. Par ailleurs, en lien avec la construction de la nouvelle ligne 15 du métro, l’actuelle ligne 12 pourrait être prolongée jusqu’à Meudon. Une connexion qui ne pourrait que renforcer la valeur de l’immobilier du territoire. 
À la fois technique et chargée d’affects, la controverse des carrières Arnaudet semble ouvrir un nouveau type de conflit d’usage du territoire urbain : en sous-sol. La mobilisation locale rappelle ainsi que le souci environnemental ne s’arrête pas à la surface des terres et concerne aussi ce qui se trouve sous nos pieds. Un monde enseveli, hérité d’un passé industriel et minier souvent oublié, que l’économie circulaire des déchets du BTP et du Grand Paris transforme en gisement de valeurs sonnantes et trébuchantes. 
Jade Lindgaard
Répondre
4
2006
aliasdingdong
canto
Zoko
0
(Jeu. 05 Mai 2022, 10:27)gaspard duval a écrit : Article paru en 1951 dans "Le Crapouillot"

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3997355d/f76
Répondre
0
0
Citation :Tania Dutel, Les autres

« Les autres », vaste concept dans la vie de Tania Dutel. Elle les observe, s'en méfie, s'en approche et semble souvent déçue par eux. Comme elle ne peut pas décidément pas vivre seule, la jeune femme s'invente une vie, un fils imaginaire haut potentiel et un amour de jeunesse devenu son mari. Tout cela n'est évidemment qu'une supercherie destinée à tromper au choix : ses interlocuteurs les plus curieux ou bien elle-même ? La trentenaire très cynique au regard aiguisé taille à ses parents un costume bien ajusté : son père obsédé par sa laguna et sa mère non francophone qui maltraite la langue de Molière. Elle poursuit sur ses relations amoureuses : sa rencontre avec un fétichiste des pieds ou encore les réactions hébétées qu'on put provoquer la relation qu'elle eut avec une femme pendant un an. Un rendez-vous dans les catacombes de Paris avec son rencart du jour renommé « Merlu » en contexte sous-terrain, et ses amis, adorateurs des « Cata » prend des airs de camp de survie. Elle manie bien évidemment l'humour grinçant mais aussi les sujets beaucoup moins légers, quand les rires se taisent pour écouter son témoignage glaçant. Si les autres lui ont tout bonnement « pourri la vie », elle trouve quand même la force de partager avec souvent beaucoup de finesse ses réflexions acérées sur la vie avec nous… « les autres ».
« Les autres », les 23, 24 et 25 juin à l'Européen (Paris 17e).
Élodie Arnould dans Future Grande ? 2.0 à l'Apollo Théâtre. Christine Coquilleau

https://www.lefigaro.fr/theatre/humour-e...a-20220524
Répondre
1
Monsieur S
0
Tin c'est payant: 5 balles. Y en a qui perdent pas le Nord. 

https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/espie...96241.html
-- Asociale à mi-temps, relou tout le temps -- \m/
Répondre
0
0
Paris : Ce banc se rafraîchit dès que la température dépasse 25 degrés .
https://www.20minutes.fr/paris/3085203-2...-25-degres
Répondre
0
0
(Lun. 20 Juin 2022, 16:09)renard a écrit : Paris : Ce banc se rafraîchit dès que la température dépasse 25 degrés .
https://www.20minutes.fr/paris/3085203-2...-25-degres

Quand on va en dessous, il n'y a  pas trace d'une quelconque installation. L'oeil de la plaque suffit-il à  assurer la ventilation ? Ça me semble mince.
https://www.facebook.com/photographie.souterraine/
"Les catacombes disparaîtront sous les injections. Les cataphiles disparaîtront sous leurs déjections" (Nostradamus)
Répondre
1
LOUL
0
Ça va être moins facile de l’ouvrir celle là....
Répondre
0
0
L'article date de 2021 (c'est une repompe).
Le banc existe toujours ?
Répondre
0
0
Non, y a le chantier de l'église par dessus actuellement.
Répondre
2
alpha
subterranologie
0
8 ans et déjà cataphile... !

https://www.lanouvellerepublique.fr/a-la...les-egouts


Citation :Un garçon de huit ans disparu depuis une semaine retrouvé en vie dans les égouts


Disparu depuis plus d'une semaine, un enfant a été retrouvé samedi 25 juin dans les égouts, près de chez lui, à Oldenburg, en Allemagne. 

Un garçon de huit ans porté disparu en Allemagne a été retrouvé vivant, samedi 25 juin 2022, après avoir survécu plus d'une semaine dans un égout, à proximité de son domicile à Oldenburg, près de Brême, dans le nord du pays, révèle la chaîne allemande NDR1
L'enfant, prénommé Joe, avait disparu du jardin familial plus d'une semaine avant, le vendredi 17 juin. Un important dispositif de recherche a été mis en place par la police locale mais il demeurait introuvable. 
C'est par pur hasard que le petit garçon a été retrouvé lorsque, samedi 25 juin, un promeneur a entendu un bruit provenant d'une bouche d'égoût et a immédiatement prévenu les secours. 
"Joe, 8 ans, est vivant !" s'est réjoui la police d'Oldenburg sur Twitter, avant de donner de plus amples informations. "Les secours ont ensuite ouvert le couvercle de la bouche d'égout et ont trouvé le garçon sain et sauf. Joe a été soigné et transporté dans un hôpital d'Oldenburg", a indiqué la police dans un communiqué de presse. 

A moins de 300 mètres de chez lui
Selon les premières constatations des enquêteurs, Joe serait entré dans les égoût par un tunnel du système de drainage des égouts. Le garçonnet aurait ensuite rampé sur plusieurs dizaines de mètres dans des tuyaux étroits. 
Il aurait ensuite "perdu ses repères" et n'est pas parvenu à retrouver la sortie. Selon les forces de l'ordre, il aurait donc passé l'intégralité des huits jours dans les égouts, profitant "des puits d'égout et des jonctions à intervalles réguliers" pour se lever.
Il a finalement été retrouvé à "290 mètres" de sa maison. Il souffrait d'une "grave hypothermie et de déshydratation" et a immédiatement été conduit à l'hôpital. Joe "se porte bien" compte tenu des circonstances, a expliqué son père aux médias locaux. 
"Le plus important est qu’il est vivant et qu’il a été immédiatement transporté dans un hôpital où il est entre de bonnes mains. Nous pouvons tous pousser un ouf de soulagement", a conclu Johann Kühme, le chef de la police locale. 
A force d'accuser les autres de trolls, vous finissez par en créer des vrais.
Répondre
0
0
C'est la crise, y a plus assez de métal pour fabriquer des plaques

https://www.midilibre.fr/amp/2022/07/17/...440449.php
Et demain on reviendra te couper ton zézette
Répondre


Sujets apparemment similaires…
Sujet Auteur Réponses Affichages Dernier message
  ALERTE ! Annonce d'articles dans la presse h2o 1 613 1 807 584 Hier, 23:29
Dernier message: la_gargouille
  Anciennes revues de presse ou articles - monde souterrain jeff95 47 47 647 Dim. 10 Mai 2020, 13:47
Dernier message: Suri
  Articles en anglais dans The Scotsman (1860-1944) seek 6 12 169 Mer. 07 Nov. 2007, 19:02
Dernier message: jd
  Liens streamer TV et autres fluxs vidéo lafouine 9 12 633 Mar. 02 Mai 2006, 19:04
Dernier message: Alzimut
  vers une réouverture de l'avenue de choisy Baltimore 1 3 923 Ven. 28 Mars 2003, 16:45
Dernier message: Baltimore
  Articles Port Mahon Lhermine 2 4 973 Ven. 14 Mars 2003, 14:05
Dernier message: Baltimore
  Crue de la seine (divers articles) h2o 4 12 060 Mer. 11 Dec. 2002, 19:08
Dernier message: h2o



Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 14 visiteur(s)