1 Aurige |
0 | ||
(Mar. 29 Nov. 2016, 00:21)Framboise a écrit : il n'y a pas de "communauté" LGBT, ça n'a aucun sens : c'est encore un lobby qui ne représente même pas les personnes à tendance homosexuelle, qui sont différentes socialement entre elles, et même dans leur façon de vivre leurs relations (c'est pareil chez les hétéros). Ce n'est même pas une catégorie sociale.
Alors y'a pas non plus de communauté juive ? Parce que ceux qui portent le chapeau ne sont qu'un lobby, sont trèèèès loin de représenter la majorité de la diaspora, et qu'il y a une diversité sociale et économique ?
Et les musus alors ? Chiites ou sunnites, smicards ou rachid nekkaz, d'héritage ou de conversion,...
Elle est où la ligne ? Comment tu quantifies le taux et le nombre de dénominateurs communs à avoir pour causer de communauté ?
Aussi, community en anglais n'a pas le même sens. On calque abusivement un concept difficile à traduire (peut-être parce que la culture hexagonale nie la réalité de la ghettoisation pourtant existante sur son sol, à même titre qu'elle refuse de reconnaitre les bienfaits possibles du communautarisme), et que community au sens anglo-saxon est tranposé en "échelon/population local(e)" en français.
Sur le côté superfétatoire du supposé patrimoine, je partage cependant l'avis exprimé par les préopinants. Surtout quand le titre de l'article parle d'un héritage du XXème siècle, en chiffres romains sivouplé, pour donner un faux cachet historique. Mais c'est sans doute que Chloé est trop third culture kid pour être maître de l'usage correct des conventions de datation en français.