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(Ven. 18 Nov. 2016, 18:19)VilCoyote a écrit : C'est dommage que l'article ne reprenne pas vraiment toute l'histoire.
Quand on le lit à froid comme ça on ne comprend plus rien à ce qu'il raconte à part qu'il semble vomir les cataphiles en général et George en particulier.

Je partage ton constat, c'est une occasion ratée. Faire un vrai portrait de la communauté, du côté troll-o-lo que l'anecdote de l'intox aurait parfaitement illustrée, se livrer à dépeindre les contrastes entre le côté cour de récré propre des subcultures et les profils respectables (Xavier, même si c'est du réchauffé, ou simplement en voyant un peu de quelles adresses IP institutionnelles viennent les visiteurs qui lisent son article) dont on ne soupçonnerait pas le passe temps,... y'avait moyen de faire un truc bien.

Citation :Par ailleurs, il a un autre informateur ou il est finalement venu y voir de lui même: maintenant tout le monde sait maintenant que la dessous ça sent la pisse !

Je pense qu'il s'est juste un peu plus renseigné. Ou qu'il a laissé encore un peu plus libre cours à son imagination. Ou qu'il a pris le métro. Après tout, le leitmotiv est simpliste : un endroit peu fréquentable qui sert de repère à des cons qui ne ressentent pas le besoin d'afficher sur leur site le nombre de nanas culbutées et qu'il faut rabaisser grossièrement pour passer ses nerfs. Une main moins lourde et un trait moins épais auraient permis une critique crédible, pertinente, acerbe voire assassine. J'aurais même salué l'exercice littéraire (style megaconnard.com), s'il eût été indicateur de réflexion et d'analyse fine.

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(Ven. 18 Nov. 2016, 18:45)Zoko a écrit : En même temps ça ressemble pas mal au Georges que l'on connait.

C'est bien d'un côté ça donne pas envie d'aller dessous

Citation :Une communauté aussi étrange que lugubre qui a passé plus de temps sur les forums que dans le ventre de leur mère,  avec des propos nauséeux digne de la section 15-18 ans de jeuxvidéos.com, entre les délires malsains d’un gamin pré-ado et la xénophobie ambiante d’homme-taupe, mon cœur balance.

la franchement, il y a de la punchline de la mort ! J'espère que ça n'empêchera personne de dormir.

Sinon, le type qui traite tout le monde de "nihilistes paranoïaques rejetés par l’époque qui était censée les porter et les révéler" juste parce qu’il a été victime d'un petit troll qu'il ne s'est même pas donné la peine de vérifier, on en parle ? 
Je ne suis pas expert en psychologie, mais transformer un article trollé en diatribe vindicative de bas étage me parait pas mal comme comportement nihiliste paranoïaque d'une personne rejetée par l’époque qui était censée la porter et la révéler.   

En tout cas, je garde le site de côté, j'ai hâte de lire l'article  qu'il va pondre à la veille des présidentielles après avoir été demander des informations sur le financement des comptes de campagne sur le forum evasion-fiscalezone.org. 

@Georges-Baptiste : franchement, t'es pas un mec sympa, t'aurais pu lui lâcher l'entrée de la rue de Bièvre, de mémoire, c'est la meilleure pour rejoindre PTT depuis le GRS. Beau travail anyway.

Beau boulot George V ... François Merlin serait fier de toi

(Ven. 18 Nov. 2016, 18:19)VilCoyote a écrit : C'est dommage que l'article ne reprenne pas vraiment toute l'histoire.
Quand on le lit à froid comme ça on ne comprend plus rien à ce qu'il raconte à part qu'il semble vomir les cataphiles en général et George en particulier.

Si cela peut t'aider, voici une partie du premier article écrit par Florent Reyne, alias Lion Sot, après s'être fait troller dans les règles de l'art par Georges V.
(A noter le jeu de mots tout naze de son pseudo mais qui après coup lui colle bien)

(Sam. 19 Nov. 2016, 18:10)Monsieur S a écrit :

(Ven. 18 Nov. 2016, 18:19)VilCoyote a écrit : C'est dommage que l'article ne reprenne pas vraiment toute l'histoire.
Quand on le lit à froid comme ça on ne comprend plus rien à ce qu'il raconte à part qu'il semble vomir les cataphiles en général et George en particulier.

Si cela peut t'aider, voici une partie du premier article écrit par Florent Reyne, alias Lion Sot, après s'être fait troller dans les règles de l'art par Georges V.
(A noter le jeu de mots tout naze de son pseudo mais qui après coup lui colle bien)

Bravo. Screenshot a garder précieusement pour éclairer ce fil. Au moins pour nous c'est clair.
Pour l'article actuel, c'est décousu quand tu l'abordes sans ce préalable

Texte intégral de l'article d'origine en pdf.

Pour chipoter, en réalité ce puits ne fait pas 3 mais 4m.

jusqu'au premier blocage, mais plus profond...

Moi je ne comprends pas : 

certains beuglent en haut des plaques, affichent fièrement leur tenue couverte de remblais dans le métro, laissent leur profil facebook "cataphile" presque totalement ouvert à l'audience publique... et déclenchent le plan ORSEC lorsque les médias s'intéressent à leur milieu 

(Dim. 20 Nov. 2016, 14:15)atkrea a écrit : Moi je ne comprends pas : 

certains beuglent en haut des plaques, affichent fièrement leur tenue couverte de remblais dans le métro, laissent leur profil facebook "cataphile" presque totalement ouvert à l'audience publique... et déclenchent le plan ORSEC lorsque les médias s'intéressent à leur milieu 

Hormis la discrétion en sortant qui nuit à la pérennité des accès, qui est une remarque très juste, et ton propos sur les combis dans le métro qu'en revanche je trouve durs, parce qu'on n'a pas tous un sac de 70l avec tenue civile, chaussures de rechange et sursac pour masquer la boue sur les éléments de portage... le reste, c'est un peu comme le cul :

c'est pas parce que j'assume un mode de vie qui au yeux de certains sort de l'ordinaire que ça veut dire que mon jardin secret est un open bar pour les Florent Reyne et autres vautours en soif de scoop qui voudraient me culbuter pour leur unique plaisir.

Je peux revendiquer de mon propre aveu être une salope pour titiller le commun des mortels, sans que cela ne donne un droit de cuissage au premier venu, ni une licence pour la presse qui voudrait en faire une couverture putassière.

La même vaut pour la dernière cannette de 8.6 achevée au petit matin dans le métro en tenue et sans que le camouflage de l'acet soit la première des priorités. C'est un choix et une situation contrôlée. Parfois même une nécessité logistique et non pas une recherche maladive d'attention et désir de se faire passer pour un marginal alors qu'on a des parents de CSP+.

Et pour causer vie réelle, j'affiche ouvertement ma (vraie) profession sur les réseaux, avec mon vrai nom, et on trouve aussi quelques photos loufoques de la dernière décennie, accessibles au tout venant. Quand un mec me contacte pour faire un papier sur ma vie, mon oeuvre mon taff, je filtre énormément et n'accepte qu'avec parcimonie d'être mis sous le feu des projecteurs. Parce que je veux pouvoir contrôler le message, ce qui est rarement le cas et que mon credo n'est pas "pourvu que je sois vu, et tant pis pour le reste", à la Gaspard Duval qui enchaîne ensuite sur "oh, pas de bol, ça alors, les vilains journalistes, pourtant on m'avait promis..."

Et pour en revenir aux moutons en manque d'attention supposé au réel, je préfère encore que leur névrose leur permettre de déceler les limites admissibles de leur comportement, plutôt qu'ils ne souffrent d'une psychose les poussant à poser pour les caméras, en étant conscients des répercussions... mais poussant le déni au point de quand même parler de préservation du patrimoine pour les plus atteints.

On nage dans le bonheur avec Floflo qui ne bouge toujours pas le cul de devant son ordi... maintenant il a Bonau comme source d'information (enfin ce qui traine sur le net) pour décrypter la communauté cataphile. Donc 3eme ou 4eme version... Vivement la suivante, car il creuse tellement qu'on va finir par le retrouver dans une galerie! Je copie le texte, mais y a pas les liens qui redirigent vers la "conférence" de Bauno ni vers un reportage sur Sylvie.

Samedi 5 novembre, vers 22h15, un homme d’une vingtaine d’années fait une chute de trois mètres au fond d’un puits dans les catacombes du XIIIème arrondissement de Paris. L’un de ses amis demande de l’aide en interpellant les passants à travers une bouche d’égout, « avenue d’Italie, à quelques mètres de l’arrêt de métro Tolbiac » se souvient l’un des sapeurs pompiers présents sur les lieux.
Les pompiers à la rescousse
Les sapeurs pompiers de la caserne Masséna sont les premiers à venir en aide au jeune homme. Ils ont du mal à retrouver la victime, dans ce dédale de couloirs sombres. Après 15 minutes de recherches, les sapeurs découvrent dans un puits, à trois mètres de profondeur, un homme vêtu de noir. « Il se plaint de douleurs à la tête, à l’épaule et au coude. Le chef d’agrès – chef d’équipe – décide de lui faire parvenir un harnais de sécurité pour éviter qu’il ne tombe plus bas », relate la page Facebook des Pompiers de Paris. Il faut faire vite car le sol est instable.

L’équipe médicale et le groupe d’intervention en milieux périlleux (GRIMP) rejoignent les secours déjà présents sur place. Après avoir sorti la victime du puits, les pompiers décident de l’immobiliser sur un brancard. Traversant des couloirs étroits en pierre calcaire, le GRIMP remonte à la surface via une bouche d’égout. Le jeune homme blessé est emmené dans l’hôpital le plus proche.



Un sauvetage parmi tant d’autres
La version officielle s’arrête là. La préfecture de police, le parquet et les pompiers ne veulent pas en dire plus. C’est une histoire « mineure et habituelle ». Il y a plus d’un « cataphile » – amateur des catacombes – par an qui risque sa vie dans ces labyrinthes qui parcourent la capitale.

Dans un entretien pour Le Monde publié en 2014, Sylvie Gautron, brigadier chef qui s’occupe de verbaliser dans les souterrains se rappelle de son premier sauvetage. En 2008, « il était seul et sans lumière, l’homme était très heureux de nous voir ». Il est reparti avec une amende de 60 euros. L’accès à ces carrières est interdit par un arrêt préfectoral du 2 novembre 1955.



Une « société plus ou moins secrète »
Il est possible de visiter « Les catacombes de Paris » pour 5 euros. Mais ce parcours de 1,5 km est beaucoup moins grisant que les « 300 kilomètres de galeries sous Paris connues par les cataphiles », explique Gaspard Duval, avec un cheveu sur la langue. Ce cataphile élancé, la cinquantaine, est l’auteur de Les catacombes de Paris – Promenade interdite. Il a exploré les lieux pendant plusieurs années, à l’aide d’une « boussole et d’un plan ». C’est avant tout un amateur du patrimoine, il admire les « vestiges du passé ».

Mais tous ces spéléologues en herbe ne sont pas des passionnés d’histoire. Cette micro-société clandestine, est également composée de fêtards, d’explorateurs urbains et de tagueurs. C’est une « société plus ou moins secrète », chacun des membres a différents pseudonymes. Ils utilisent un code de langage plus ou moins élaboré. « La cata-bière, c’est de la bière, le cata-sprint, ce sont des courses d’orientation dans les sous-sols, on fait aussi des cata-fêtes, comme le cata-lloween ». Il y a également un nom pour les novices : des « cata-bouffons, des touristes », continue Gaspard, « il y a a un culte du secret parce qu’on aime pas que tout le monde vienne chez nous. Quand ils nous embêtent, on les fout dehors. »



De cataphile à traitre
Malgré son ancienneté, Gaspard, alias Baunau, a fait les frais de cet omerta autour des catacombes. Quelques jours avant la sortie de son livre, ses « amis » sont devenus ses détracteurs sur un site qui réunit quelques centaines de cataphiles : ckzone. Les remontrances et les accusations commencent de manière plutôt calme : « Qui t’as poussé à commettre ce forfait ? Et surtout qu’est ce que t’y balances ? ». Avant de virer dans le sordide « J’me suis interrogé sur ce qui te poussait à fréquenter des gens de 20, 30 ans de moins. J’pensais à la limite que tu voulais en enculer un qui serait d’accord, mais en fait non, c’est la communauté entière que tu voulais te taper ».

Dans une volonté d’éloigner les curieux, certaines personnes passent désormais plus de temps sur ce site que sous terre. L’un d’entre eux, Georges, alias Georges V, alias Jean-Baptiste a passé 5.000 heures de sa vie sur ckzone à signaler des lieux condamnés, accidentés, à « reconstruire ». Il éloigne également les « touristes ». Sous le nom de Georges V, il raconte qu’il est policier et amateur de catacombes depuis quelques années. « Oui, parce qu’on est des poulets en région parisienne, une bande de potes sortis de la même promo d’école de police » explique-t-il en présentant des photos de jeunes déguisés en policiers dans un bunker. Il use du contexte actuel, « la grogne des flics », pour expliquer la chute du 5 novembre. « on revenait d’un rassemblement », continu Jean-Baptiste-Georges.

Éloigner les curieux
Le catafile divulgue le lieux de la chute, la Salle PTT, « un ancien abri sous la poste du XIIIème, entre Choisy et Italie » désormais rempli de tag colorés, de vielles bougies et de tessons de verres. La seule fois durant son témoignage où George dira la vérité. La planche vétuste placée sur le puits, qui a servi de table de fortune lors d’Halloween, craque sous le poids du cataphile. Il chute sur trois mètres.

Le GRIMP a vite pris le relais. Georges, lui, met en cause les pompiers, parle d’entente cordiale entre les différents corps de sécurité pour classer l’affaire sans suite. Une accusation de trafic d’influence sans preuve, une diffamation passible de 12.000 euros. Mais Georges pense qu’il ne risque rien en racontant ses élucubrations derrière un écran. Il préfère protéger les autres amateurs de catacombes, et faire peur aux touristes.

La vérité sur cette chute risque de rester encore longtemps au fond du puits, à 20 mètres sous terre.

c'est pas pour chipoter mais 4 Mois, 1 Semaine, 1 Jour, 22 Heures, 26 Minutes et 35 Secondes ça n'a jamais fait 5000h de connexion.

ça en fait combien, pour ceux qui ont la flemme?

(Lun. 21 Nov. 2016, 13:49)Alan a écrit : ça en fait combien, pour ceux qui ont la flemme?

a la louche 2200 h, floflo il exagère toujours un peu