Santu Mofokeng est né en 1956 en Afrique du Sud, à Johannesburg. Il découvre la photo comme photographe de rue à Soweto.
Il démarre sa carrière au début des années 80. Santu Mofokeng sâintéresse aujourdâhui à la politique et à la représentation poétique des Noirs en Afrique du Sud, en particulier depuis lâavènement de la démocratie récemment conquise.
Il entend attirer lâattention sur la perception idéologique des paysages et souligne lâaliénation de la terre sud-africaine, afin dâaccélérer un processus de remise en valeur. Cette Åuvre majeure constitue une exploration des relations entre paysage et idéologie â lâIdéologie du paysage.
Dâautres travaux réalisés en Allemagne interrogent la mémoire des camps de concentration.
Centre photographique d'Ile-de-France
107 Avenue de la République - 77340 Pontault-Combault
Tel : 01 64 43 47 10
Dates : A Paris, du 14 janvier au 12 avril :
présentation du Buffle de Liyu
au musée Guimet
Horaires : ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h, fermeture des caisses à 17h30.
Billet musée : tarif plein 5,5 â¬, tarif réduit 4 ⬠; gratuit le premier dimanche du mois
Gratuit pour les moins de 18 ans.
Dans le cadre des Années croisées France- Chine, un échange dâÅuvres sera réalisé pour la première fois entre le musée national des Arts asiatiques-Guimet et le musée des Beaux-Arts de Shanghaà¯.
Il sâagit de deux Åuvres zoomorphes en bronze, que signalent leur rareté et leur taille peu commune, lâéléphant Camondo du musée Guimet, dâépoque Shang (XIIe-XIe siècles av JC) et le buffle de Liyu du musée de Shanghaà¯, dâépoque Printemps et Automnes (Ve siècle av.JC) qui seront présentées simultanément pendant trois mois dans lâun et lâautre musée.
Du mardi 13 janvier au lundi 12 avril 2004 le musée Guimet aura donc la chance dâaccueillir le buffle de Liyu, dans la salle consacrée à la Chine antique. Cette pièce unique en son genre en forme de buffle, est un vase à vin utilisé au cours des cérémonies rituelles. Lâeau chaude versée dans les ouvertures antérieure et postérieure servait à réchauffer le vin contenu dans le récipient central. Une rétrospective et présentation des bronzes du musée Guimet provenant eux aussi du site de Liyu découvert en 1923 sera lâoccasion de découvrir ces vases rituels réalisés par la grande principauté de Jin à lâépoque o๠Confucius rêvait de se mettre au service de son princeâ¦
Du lundi 19 janvier au lundi 19 avril, lâéléphant Camondo sera exposé au musée de Shanghaà¯. Il sâagit dâ un récipient conçu pour contenir les boissons fermentées, une des pièces les plus connues du musée Guimet. Cet éléphant légué au musée du Louvre en 1911 par le Comte Isaac de Camondo avait été transféré au musée Guimet en 1945.
Lâéchange de ces deux pièces est né de la rencontre en Chine du directeur du musée de Shangha௠avec Jean-François Jarrige, directeur du musée Guimet et Jean-Paul Desroches, conservateur général. Cette initiative bénéficie du soutien de la société Areva et du concours de lâAssociation pour le rayonnement des Arts asiatiques.
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Vendre ses bestiaux aux enchères, traquer un Loup Garou, construire une Citadelle, s'entraîner au Carrom, se défendre contre un géant glouton, jeter des sorts, en recevoir, braver les pirates, et surtout, s'amuser.
L'association "A Quoi Tu Joues" déballe tous les deuxième lundis du mois un arsenal de jeux tous plus rigolos, compliqués et stupides, les uns que les autres... Les compères Mathieu, Charlotte, Constance, Olivier, Manuel, Karl, Laurent, Romain se mettent en quatre pour donner à chacun son jeu, et constituer des équipes de choc, si possible entre inconnus...
Quand on est mort câest pour la vie : de quelques cimetières essonniens
Du 11.02.04 au 21.06.04
Le passage dâanciens villages à des nouvelles villes - et des villes nouvelles - de banlieue a eu des répercussions sur la place réservée aux disparus. Le manque de place, une nouvelle législation, de nouvelles pratiques funéraires vont, avec les décennies de développement plus ou moins organisé de ces nouvelles villes qui mangent la campagne, obliger les pouvoirs municipaux à agrandir, déplacer, créer de toutes pièces, de nouveaux cimetières.
La question des relations entretenues par les Essonniens avec leurs défunts dans les cimetières, peu étudiée dans une société qui cache la mort, invite à explorer des pistes multiples :
Du cimetière paroissial au communal, les déclinaisons sont plurielles. Sont également multiples les formes et découpages de lâespace cimetière, selon le relief et lâhistoire du lieu.
Lâarchitecture comme le mobilier funéraire sont sujets à des modes, des styles (matériaux, décorationsâ¦) variant selon la richesse et les croyances des défunts et de leurs familles, les fabricants⦠.
Les personnalités et les monuments sont nombreux de Gabriel Chevrier, inventeur du haricot "Chevrier", à Jean Cocteau, traces à la fois de la grande et de la petite histoire.
Comment redécouvrir, avec les petits comme les grands, la ville des morts à côté de celle des vivants ?
Maison de Banlieue et de l'Architecture
41, Rue Robert Schuman - 91200 Athis-Mons
Tel : 01 69 38 07 85
11.02.04 - 21.06.04 : Mercredi, Samedi : 14:00 - 18:00
Information réservations : sauf les samedis 10 avril, 1er et 29 mai et le mercredi 14 juillet
Entrée : Entrée gratuite
Vernissage le mardi 10 février 2004 à partir de 18h.
LUMIERE SUR L'AUTOCHROME (Le centenaire de la photographie en couleurs)
Jusqu'au 29 février au musée départemental Albert-Kahn de Boulogne-Billancourt.
tel: 01.46.04.52.80 ou email: <!-- e --><a href="mailto:museealbertkahn@cg92.fr">museealbertkahn@cg92.fr</a><!-- e -->
14, rue du Port, métro 10 Pont de Saint Cloud.
Tous les jours (sauf le lundi) de 11 heures à 18 heures.
En bonus, jolis jardins à visiter après l'expo. Jardins japonais, anglais, francais + maison d'Albert Kahn.
Photos interdites, même sans flash, tout au long de la visite.
Le ministère délégué à la Recherche et aux Nouvelles Technologies
fête l'internet scientifique
1, rue Descartes Paris 5e
Du 29 mars au 2 avril 2004 de 17h30 à 19h30
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Un autre regard sur le Monde. Faire découvrir.
Globe
Joan Miro 1917-1934,
la naissance du monde
Centre Pompidou Beaubourg
(du 3 mars au 28 juin 2004)
bon ben j'en sors, c'est pas une petite expo. C'est même, pour continuer dans un raisonnement super logique et sans faille, une grosse expo. Sinon c'est cher: 9 euros tarif plein. C'était complètement plein (même en semaine).Mais ça vaut le détour. Pour ceux qui n'aiment pas l'art abstrait, laissez tomber. Moi j'aime bien et spécialement Miro, et ben à certain moment, j'me suis fait chier. Disons, j'trouvais ses créations un peu gratuite. A force de vouloir à tout prix se détacher du réel, il s'est un peu égaré de temps en temps (à mon avis).Mais bon ya quelques salles ou j'ai complètement halluciné, ç'est quand même le top du top, le miro. Sacré type.
Bon sinon au début de l'expo (quand c'est encore un peu réaliste) ya une paire de toiles qui m'on interpeler...Alors maintenant le jeu c'est de retrouver le modèle des acets!!