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js02
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Citation : GEORGES COMBE, RÉALISATEUR : « CE SITE DEVAIT RASSEMBLER LES PEUPLES, CE QUI MANQUE À L’EUROPE AUJOURD’HUI ! »
N'ayons pas peur des mots !
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(Mer. 24 Août 2016, 09:15)ouchouh@ya a écrit : Dans Les Souterrains du temps, un documentaire sorti en juin, toujours à l’affiche, Georges Combe, 71 ans, réalisateur, avance l’idée d’une immense procession souterraine, qui devait aboutir au sanctuaire des Trois Gaules. Pèlerinage chamanique à vibrations telluriques, au cœur de la civilisation gallo-romaine ?

Quelqu'un a vu ce docu-fiction ? J'ai un avis très partagé sur le peu que j'en ai vu sur le net ?
J'aimerai bien le voir, mais vous l'avez compris, comme il faut payer pour voir, je suis réticent à débourser s'il s'agit d'une grosse daube.


Les catacombes sont pour beaucoup un fantasme, mais pour ceux qui y accèdent régulièrement, j'ai l'impresison que ce sont les arrêtes de poissons qui deviennent un fanstame. Blush
[KOP] parce que les patates, ça pousse sous terre.
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Une pub sympa pour les toiturophiles Smile
http://www.rtl.fr/actu/insolite/video-un...7784766867

Jahi, j'ai retrouvé ton croco à 0:58!!!
On est plusieurs dans ma tête mais c'est toujours cette putain de princesse qui parle avant les autres  Kitty
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Satsuki
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(Mer. 07 Sep 2016, 20:00)Satsuki a écrit : Une pub sympa pour les toiturophiles Smile
http://www.rtl.fr/actu/insolite/video-un...7784766867

Jahi, j'ai retrouvé ton croco à 0:58!!!

Ma chérie, Apollon est sous mon lit et Zeus en Guadeloupe, à Banga c'est pas mes bêtes Big Grin .
Au feu de la frontale, nous avons tous vingt ans. Et par deux murs flanqués, qui eux en ont deux cents.
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Gastrik
gnafron
KOP
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(Lun. 29 Août 2016, 13:31)KOP a écrit :
(Mer. 24 Août 2016, 09:15)ouchouh@ya a écrit : Dans Les Souterrains du temps, un documentaire sorti en juin, toujours à l’affiche, Georges Combe, 71 ans, réalisateur, avance l’idée d’une immense procession souterraine, qui devait aboutir au sanctuaire des Trois Gaules. Pèlerinage chamanique à vibrations telluriques, au cœur de la civilisation gallo-romaine ?

Quelqu'un a vu ce docu-fiction ? J'ai un avis très partagé sur le peu que j'en ai vu sur le net ?
J'aimerai bien le voir, mais vous l'avez compris, comme il faut payer pour voir, je suis réticent à débourser s'il s'agit d'une grosse daube.


Les catacombes sont pour beaucoup un fantasme, mais pour ceux qui y accèdent régulièrement, j'ai l'impresison que ce sont les arrêtes de poissons qui deviennent un fanstame. Blush
Bonjour KOP,

Oui je l'ai vu en avant première il y a deux mois  avec présence du réalisateur et de Walid Nazim.
Ce film est avant tout un documentaire, avec des passages oniriques. Très bon film, quoi qu’avec des longueurs parfois. George Combe nous disait avoir voulu parler de sa ville (il est Croix-Roussien, né sur les pentes) de manière originale. Il défend l'hypothèse romaine de la construction des ADP, bien que le film ait été co-réalisé avec Nazim (qui défend l'hypothèse Templière).
Je te le conseille vivement à sa sortie (en octobre je crois ?).
Ce film va relancer le débat au niveau national. Peut-être aider à faire progresser le mystère, convaincre la ville d'enfin prendre en considération ce patrimoine unique, enfin faire les analyses d'ossements, etc.
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Citation :Alors que Le Monde et le New York Times la déclaraient morte il y a encore peu, la nuit parisienne semble renaître ces derniers temps sous ses plus beaux jours. Enquête sur l’esprit et la philosophie de ces innombrables collectifs qui investissent aujourd’hui la capitale, entre warehouses, squats, catacombes, bunkers et jardins.



http://fr.redbullmusicacademy.com/daily/...-permanent

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YannSolo
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http://www.lemonde.fr/m-perso/article/20...1473432955
La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat différent

http://atk-paris.fr
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Gastrik
YannSolo
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(Lun. 12 Sep 2016, 20:28)atkrea a écrit : http://www.lemonde.fr/m-perso/article/20...1473432955

Pour ceux qui voudraient lire l'article d'atkrea et n'auraient pas l'édition abonnés...

Indiana Jones et Lara Croft ont fait des petits. Ils n’arpentent ni les déserts ni les tombes à la recherche de vestiges enfouis, mais se contentent de passer leurs week-ends à visiter des ruines, industrielles ou résidentielles, en marchant sur des débris de verre et en tremblant à l’idée d’une mauvaise rencontre. Curieux passe-temps ? Drôle de façon d’inventorier et de faire vivre le patrimoine ?
« C’est ma respiration, ma bulle d’oxygène, répond Bastien Buchla, 17 ans. J’ai besoin de cette déconnexion, d’aller dans la nature, de retrouver le silence. Dans la vie moderne, on est constamment sous pression. » Féru d’histoire et d’architecture, cet adolescent au teint pâle pratique l’« urbex » – condensé d’urban exploration. Des visites illégales de lieux abandonnés, que les pionniers de ce loisir surprenant pratiquent depuis des lustres. Sauf qu’ils sont aujourd’hui rejoints par de nouveaux curieux, toujours plus nombreux. Pas moins de 5 millions d’occurrences du mot sur le moteur de recherche de Google. Le symptôme d’une envie de déconnexion, et de retour aux vieilles pierres. Une échappée très physique dans une époque trop numérique.

« Explorateurs invisibles »

Comme de nombreux « urbexiens », Bastien aime partir, souvent seul, « à la recherche de traces du passé, pour garder des images d’un patrimoine menacé de disparition ». Bastien Buchla a commencé en visitant un château abandonné près de son lycée, à Lagny-sur-Marne (Seine- et-Marne). D’autres, comme Bruno Mellier, la cinquantaine, cheveux longs et regard bleu délavé, logisticien à l’aéroport de Roissy, vont encore plus loin, cherchant à remonter le temps pour toucher du doigt l’histoire de France. « Mon truc, ce sont les carrières qui servaient de refuges aux soldats de 14-18, dit-il. On y trouve des tas de choses : des grenades, des casques, des poèmes, des témoignages poignants de jeunes gens face à la mort. »
 
Avec Isabelle Leclerc, une ex-infirmière au caractère bien trempé, ils forment les « Gaspards », un duo emblématique de l’urbex. « La transgression, l’aventure, le goût du risque, de l’illicite, de la liberté, énumère Isabelle Leclerc. Nous vivons dans un monde hypernormé : on ne peut plus fumer, la vitesse est limitée, tout est encadré... Avec l’urbex, on s’évade ! »
Un besoin partagé par un autre de ces « explorateurs invisibles », Adrien, alias « Tiski », 28 ans, qui expose ses photos d’urbex à La Recyclerie, à Paris, à partir du 13 septembre (http://www.larecyclerie.com/lurbex-en-photo-par-tiski/) , et pour qui cette pratique est une façon d’appuyer sur « pause » : « Les gens disent qu’ils n’ont plus assez de temps. Nos existences sont chronométrées. Avec les smartphones, ton employeur, tes amis, ta famille peuvent te pister n’importe où, n’importe quand. Nos espaces de liberté rétrécissent. Avec l’urbex, au moins, on prend le temps de vivre quelque chose à fond. » Ou par Raphaël Lopez, 29 ans, créateur
 d’Urbexsession.com (http://urbexsession.com/) , l’un des sites les plus visités : « Sur Facebook, chacun d’entre nous a un double numérique, une réalité enjolivée qu’il faut constamment actualiser, ça t’accapare. Partir en exploration nous permet d’échapper à ce conditionnement. »
 
Usine, hôpital, caserne, parc d’attractions, hôtel, prison, orphelinat... Tous ces lieux désaffectés constituent « un univers parallèle dont la plupart des gens ne soupçonnent pas l’existence », glisse Pierre-Guillaume, fringant Parisien de 25 ans, barbe noire bien taillée, appareil Canon en bandoulière. En cela, l’urbexeur est un proche cousin du cataphile (qui explore les catacombes) et du toiturophile (qui visite les toits des bâtiments).
« J’ai commencé dans les années 1980 après avoir vu Les Goonies, de Richard Donner, dans lequel une bande d’ados part à la recherche d’un trésor de pirates, confieTimothy Hannem, dit « Tim ». Avec l’urbex, on apprend à surmonter ses peurs, sa timidité. En exploration, on guette le danger, on redevient animal, les sens s’aiguisent. » A 36 ans, ce grand adolescent au look de Géo Trouvetou, casquette vissée sur le crâne, réalise une ou deux sorties par semaine, souvent seul, parfois en couple. Pionnier de l’exploration urbaine en France, il a créé le site Glauque-Land (http://www.glauqueland.com/) et publié en mars Urbex (Flammarion), un ouvrage qui présente 50 lieux incontournables en France.
 
Comme lui, les plus mordus peuvent visiter un bâtiment plusieurs dizaines de fois, à la recherche de détails (photos, lettres, livres, journaux, jouets...) qui leur permettront de retracer l’histoire du lieu et de ses habitants, faisant quasiment un travail d’archiviste, avec le goût du secret. « Pour préserver l’endroit, on n’indique pas l’emplacement exact. La quête fait partie du jeu », recommande Pierre-Guillaume en pénétrant dans une superbe maison bourgeoise du XIXe siècle, quelque part en Picardie.
Le feu a détruit la moitié de la toiture, transformant le manoir en champignonnière à ciel ouvert. Au premier étage, des arbres poussent dans les couloirs. La bâtisse, pourtant, a eu ses heures de gloire. En témoignent les restes de l’élégante marquise qui accueille les visiteurs sur le perron. Au rez-de-chaussée, le volume des salles de réception impose encore le respect, malgré les tags et les graffitis. Brisant un silence de cloître, mon guide dégaine son smartphone qui sait tout : « Le château a été construit en 1865 par un riche industriel. Il a ensuite été utilisé comme parc d’artillerie par l’armée française, comme prison par l’armée allemande, avant de devenir un centre de formation aux métiers de la restauration. Il a été incendié en 2010. »
 
Pour les plus engagés, la préservation d’un patrimoine ignoré peut devenir une raison de vivre. « Il y a des centaines de livres sur les châteaux de la Loire, très peu sur notre patrimoine industriel alors que nos usines ferment les unes après les autres », regrette Timothy Hannem. Loin des regards, les usines mangées par la rouille et les pissenlits peuvent disparaître en quelques décennies.
Pour les bâtisses dont la charpente est en bois, les choses peuvent aller beaucoup plus vite. « Un simple trou dans la toiture et l’eau s’engouffre. Le bois gonfle, la charpente explose. En quelques mois, c’est réglé. Les gens ne sont pas du tout conscients de la fragilité des bâtiments anciens », ajoute Isabelle Leclerc. Les Gaspards ont ainsi créé une association pour protéger et restaurer le château de Lesches, une belle demeure du XIXe siècle située près de Disneyland Paris. Un trésor découvert au cours de l’une de leurs expéditions.

Des files de visiteurs


Longtemps confidentielle, la pratique attire un public de plus en plus large. Et de plus en plus jeune.
« C’est devenu une mode. Il y aura bientôt autant de pages Facebook consacrées à l’urbex que de pages de fans de Justin Bieber », ironise Raphaël Lopez.
Sur les sites spécialisés, ils découvrent les spots mythiques de l’urbex : Detroit, l’ex-capitale américaine de l’automobile ; Hashima, une île japonaise déserte visible dans Skyfall, l’avant dernier James Bond ; et Pripyat, une ville située à proximité de la centrale de Tchernobyl. Cette nouvelle génération expose ses photos sur Facebook, espérant une brassée de « like », l’étalon de la reconnaissance. Sur les spots emblématiques, des files de visiteurs se forment parfois le week-end. « On y croise des groupes venus de Belgique, des Pays-Bas ou de plus loin. Ça devient du tourisme de masse », s’agace Isabelle Leclerc.
Inévitablement, ce succès entraîne des dérives. L’une des règles de base est de ne jamais dévoiler les adresses pour ne pas attirer les vandales. Pourtant, des groupes fermés s’échangent des fichiers entiers sur Facebook. Il arrive ainsi que plusieurs centaines de personnes « visitent » un site en quelques mois. « Un bâtiment peut être complètement massacré », s’indigne Tiski. Une surenchère que les pionniers dénoncent. « Sur Internet, c’est à qui fera le plus de spots, les lieux les plus difficiles d’accès, regrette Timothy Hannem. C’est contraire à l’esprit. Dans cette pratique, il faut être patient, on ne réussit pas toujours du premier coup. »
Le phénomène prenant de l’ampleur, des images d’urbex commencent à pulluler dans les médias traditionnels. Il n’est pas rare de croiser sur les sites les plus connus un photographe de mode ou de tomber sur le tournage d’un clip – Louise Attaque a tourné celui du morceau Du grand banditisme, en 2015, dans un ancien hôpital psychiatrique de Seine-Saint-Denis (https://www.youtube.com /watch?v=1CwHjDMQJ-Q). Le début de la normalisation qui signe peut-être la fin d’une époque.
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Satsuki
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3 mois de prison ferme requis contre M. Chat

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Framboise
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(Ven. 23 Sep 2016, 12:36)Gizmo a écrit : 3 mois de prison ferme requis contre M. Chat

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J'ai du mal à comprendre comment notre justice peut demander une amende ou de la prison, alors que le plaignant (la SNCF) ne participe même pas au procès.
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Djimax
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ils n'ont pas ecouté leur ministre, ils ne savent pas que c'est pleint les prisons. D'ailleurs la RATP lance une campagne sur la peine nouvelle de 2 mois de prison prévue en cas de fuite lors des controles. Ben damme meme si je suis contre la fraude, je note que les controleurs ne sont plus des atletes.
Bon 6500 euros d'amendes ca suffisait pas,2 mois de prison c'est sur que ca va désengorger
vivre c'est mourir un jour, plonger sous terre c'est vivre intensément!
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(Ven. 23 Sep 2016, 21:07)plongeur a écrit : ils n'ont pas ecouté leur ministre, ils ne savent pas que c'est pleint les prisons. D'ailleurs la RATP lance une campagne sur la peine nouvelle de 2 mois de prison prévue en cas de fuite lors des controles. Ben damme meme si je suis contre la fraude, je note que les controleurs ne sont plus des atletes.
Bon 6500 euros d'amendes ca suffisait pas,2 mois de prison c'est sur que ca va désengorger

leur campagne récente est une vraie saloperie. en plus de remplir des prisons pleines, si ils appliquent leurs menaces, ils vont entré dans ce cercle vicieux de la récidive. 
76 pour cent des peines emprisonnement inférieure a 6 mois donnent lieux à des récidives. Un casier judiciaire et de la taule pour un ticket t+... sans parler des nombreux procès intenté conte la ratp a propos de leurs panneaux decaux (qui consomment de l'énergie a plus savoir quoi en foutre) qui n'ont jamais abouti...

ils passent leurs temps a balancer en douce des lois et contre celle ci, une fois passé, plus question de faire quoi que ce soit.
et le premier qui me dit que ça baissera la fraude dans le métro... à part faire de la thune pour leurs gueules ça sert a que dalle.
je serais mieux dessous
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Framboise
Freed
Jahirange
LOUL
VilCoyote
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Extrait d'un article paru sur 20 Minutes suisse:
Citation :Au Groenland, le réchauffement climatique menace d'exhumer une base secrète américaine forée dans l'immensité blanche pendant la guerre froide.

Glace et neige fondues ruissellent sur les vestiges de cette Atlantide arctique enfouie sous la banquise, avec le risque de déverser dans l'océan eaux usées, polychlorobiphényles (PCB) et résidus radioactifs. «Personne ne pensait que (la base) ferait surface (...) mais le monde a changé», explique William Colgan, glaciologue à l'université canadienne de York. Au train où vont les choses, la base devrait être peu à peu mise au jour à partir de 2090, quand ses architectes espéraient qu'elle repose dans la cryosphère «pour l'éternité», selon une étude publiée sous sa direction dans le journal «Geophysical Research Letters».


En 1959, le Corps des ingénieurs de l'armée américaine (USACE) creuse «Camp Century» à environ 200 kilomètres à l'est de la base aérienne américaine de Thulé. Officiellement, il s'agit d'établir des laboratoires de recherche sur l'Arctique. On perce des tunnels pour accueillir les labos, un hôpital, un cinéma et une église, le tout alimenté par un petit réacteur nucléaire. Trois ans plus tard, les militaires américains soumettent à leur état-major le projet «Iceworm»: creuser au même endroit un réseau de galeries et y stocker 600 missiles balistiques.

Source: http://m.20min.ch/ro/news/monde/story/24113520

Des motivés pour creuser avant 2090 ?
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2
Gizmo
Jahirange
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Putain ils ont rien inventé dans James Bond !
Quand tu ne sais plus où tu vas, retourne-toi et tu sauras d'où tu viens...    loulexplo.fr     objectifloul.fr
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Gros spot urbex  Rolleyes

Base souterraine Américaine au Groenland

http://www.lefigaro.fr/international/201...urface.php
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