[Zoko]

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Le problème survient quand une partie des propriétaires décident de ne jamais mettre en location leur bien immo participant ainsi l'inflation des prix en restreignant l'offre locative.

La place des Vosges en étant un exemple craignos quand on sait que cette immeuble ( vide ) n'a jamais été mis sur la marché de la location et ne le sera sans doute jamais du vivant de la proprio...

Tu as raison des coups de rango se perdent...

[Alfred]

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Ouais, enfin place des Vosges, je ne sais pas trop qui pourrait avoir les moyens d'y louer ne serait-ce qu'une chambre de bonne, crise du logement ou pas.
Mais clairement, ce genre d'attitude est à  vomir.
Sans compter que ce n'est pas rendre service à  la bâtisse que de la laisser à  l'abandon.

[Eldrad]

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Ya pas une taxe justement, sur les logements vacants, pour limiter ce genre de truc ?

Après, si un proprio n'a pas envie de louer son logement, on va quand même pas le forcer, faut pas déconner...
Et c'est encore moins justifié de le squatter arbitrairement, et c'est carrément du foutage de gueule de se l'approprier pour le mettre en location

[greuh]

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Le problème survient quand une partie des propriétaires décident de ne jamais mettre en location leur bien immo participant ainsi l'inflation des prix en restreignant l'offre locative.

La place des Vosges en étant un exemple craignos quand on sait que cette immeuble ( vide ) n'a jamais été mis sur la marché de la location et ne le sera sans doute jamais du vivant de la proprio...

Tu as raison des coups de rango se perdent...

Y'a aussi tous ces proprios qui transforment des immeubles d'habitations en immeubles de bureaux (qui restent vides, vus les tarifs) pour tout un tas de raisons pognonnesques*, contribuant à  réduire l'offre.

greuh, qui se dit que y'a pas de rangeos assez résistantes pour donner tous les coups de pied dans le fondement nécessaires...
* : en gros et dans le désordre : fiscalité plus intéressante, pas besoin de s'emmerder à  courir derrière les loyer, peu de risque de défonçage du lieu, etc.

[sonic]

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On devrait aider Jeudi Noir à  trouver de nouvelles batisses vides.
Au moins ils ont le courage de s'attaquer à  la crise du logement, en dénonçant ces batards de proprio qui attendent que la bulle spéculatives gonflent pour louer à  des prix inadmissibles.

[Eldrad]

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Le problème survient quand une partie des propriétaires décident de ne jamais mettre en location leur bien immo participant ainsi l'inflation des prix en restreignant l'offre locative.

La place des Vosges en étant un exemple craignos quand on sait que cette immeuble ( vide ) n'a jamais été mis sur la marché de la location et ne le sera sans doute jamais du vivant de la proprio...

Tu as raison des coups de rango se perdent...

Y'a aussi tous ces proprios qui transforment des immeubles d'habitations en immeubles de bureaux (qui restent vides, vus les tarifs) pour tout un tas de raisons pognonnesques*, contribuant à  réduire l'offre.

greuh, qui se dit que y'a pas de rangeos assez résistantes pour donner tous les coups de pied dans le fondement nécessaires...
* : en gros et dans le désordre : fiscalité plus intéressante, pas besoin de s'emmerder à  courir derrière les loyer, peu de risque de défonçage du lieu, etc.

A force de sur-protéger le particulier, c'est le risque...
Je suis dans l'immobilier, et j'ai déjà  vu des cas o๠les logements étaient dégradés par les locataires et/ou de beaux cas de non paiement de loyer et de foutage de gueule en prime ("ouais ouais je vous paierai plus tard... un jour").

Faut pas s'étonner ensuite. Perso si j'étais dans la situation du proprio, je préfèrerais aussi louer à  une entreprise.

[KOP]

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Ya pas une taxe justement, sur les logements vacants, pour limiter ce genre de truc ?
Après, si un proprio n'a pas envie de louer son logement, on va quand même pas le forcer, faut pas déconner...
Et c'est encore moins justifié de le squatter arbitrairement, et c'est carrément du foutage de gueule de se l'approprier pour le mettre en location

La taxe n'est pas suffisamment dissuasive. Le rendement locatif et le capital immobilisé est tel que l'investissement pour du locatif pur n'a que peu de sens aux vus des risques que ça comporte : dégradations & impayées bien sà»r mais également disponibilité en cas de revente. En outre, à  ce niveau de rendement, l'obligataire qui représente "l'investissement à  risque minimum" est moins couteux en frais de transaction et permet en cas de besoin de ne se défaire que d'une partie du bien.
Ce qui est généralement recherché est la défiscalisation, la plus value, éventuellement un futur toit pour les enfants, ou une diversification du patrimoine.
De fait il ne faut pas s'étonner du nombre de logement vacants.

Mais le cas présent est exceptionnel à  deux titres : la surface, 1200m2 à  Paris, en pleine crise du logement / l'endroit, un des plus cher de Paris.
Au niveau symbolique c'est quand même l'opulence et le gachi face à  la précarité en période de crise.
Sans justifier les squats, ça donne à  réfléchir.

[greuh]

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Je suis dans l'immobilier, et j'ai déjà  vu des cas o๠les logements étaient dégradés par les locataires et/ou de beaux cas de non paiement de loyer et de foutage de gueule en prime ("ouais ouais je vous paierai plus tard... un jour").

Sauf qu'une collection d'anecdotes ne génère pas un fait. En rhétorique, cela s'appelle une généralisation hâtive.

Pour tes quelques cas, combien de locataires honnêtes et propres ? Des tas.
greuh

[Eldrad]

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Je suis dans l'immobilier, et j'ai déjà  vu des cas o๠les logements étaient dégradés par les locataires et/ou de beaux cas de non paiement de loyer et de foutage de gueule en prime ("ouais ouais je vous paierai plus tard... un jour").

Sauf qu'une collection d'anecdotes ne génère pas un fait. En rhétorique, cela s'appelle une généralisation hâtive.

Pour tes quelques cas, combien de locataires honnêtes et propres ? Des tas.
greuh

Ca n'empeche que si je devais investir, voyant ces "quelques cas", je m'orienterais plutot vers du professionnel, idéalement.
Le professionnel étant plus rare, certains ont l'idée de transformer de l'habitation en professionnel, CQFD :mrgreen:

[Tak]

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Jeudi noir, c'est quand même des petites merdes qui squattent d'accord, mais qui ne veulent pas n'importe qui dans leur squat. Après c'est une démarche purement politique qu'on peut comprendre :
non mais nous on est pas des punks a chiens, on est des pauvres ti nétudiants qui galérons pour nous loger. Alors effectivement, ça fait mieux passer le message du manque de logements, mais ils ne se battent pas pour des logements pour tous, mais des logements pour eux. Encore des luttes catégorielles si j'puis dire. Si vous souhaitez soutenir une association pour le logement, tournez vous plutôt vers le DAL qui n'est pas parfait non plus, mais qui fait des choses non pas envers les médias, mais envers les gens qui ont besoin de logements à  prix décent.