Ven. 22 Jan. 2010, 05:47
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hcl a écrit :si, si. Nous y sommes allé avec une sonde en 2008 qui a rapidement saturé je crois passé un certain point. Krahoc pourra compléter, c'est lui qui avait apporté cette sonde co2.J'y comprends plus rien. La discut d'origine est :
<!-- l --><a class="postlink-local" href="http://ckzone.org/carriere-de-triel-t7741-45.html">carriere-de-triel-t7741-45.html</a><!-- l -->
** A Triel je n'ai pas ressenti d'essoufflement (jusqu'o๠je suis allé) alors qu'en Ardèche (par exemple) alors que le briquet s'allume tout juste (à 3 cm de la buse), même sur descendeur; on est déjà "essoufflé.
** Expérience similaire en mine avec l'exploitant :
- mon briquet ne s'allume plus
- le détecteur d'O2 du gars fait tuuuut
En gros on est au seuil 17,5% d'O2 mais aucun essoufflement
** idem en mine dans le Gard - le briquet ne s'allume plus depuis longtemps et le lumo-gaz butane+propane commence à baisser sérieusement : aucun essoufflement
Je persiste à penser qu'on n'est pas à Triel dans la même situation qu'en spéléeo. Y'a qu'en zone karstique qu'il y a cette équilibre physico-chimique calcaire-eau-CO2. Pour l'Ardèche je pensais à l'Aven de la Vigne Close (Alt 313m) ou le gradient de CO2 est bien établi. On est pourtant loin du niveau de la rivière (alt 70m) et à - 40m de l'entrée on est déjà < 17,5 % d'O2. Le briquet n'est sensible qu'à l'O2.
Quand je parlais crue, ce n'était pas de l'Ardèche mais d'un petit ruisseau souterrain. Exemple : Igue des Combettes. Pas de crue : pas de CO2; crue (ça reste visitable les Combettes du fait de l'amont qui est très "filtrant") : fort CO2.
Amm