Lun. 06 Avr. 2015, 08:42
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vivre c'est mourir un jour, plonger sous terre c'est vivre intensément!
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Lun. 06 Avr. 2015, 08:42
vivre c'est mourir un jour, plonger sous terre c'est vivre intensément!
Jeu. 09 Avr. 2015, 15:45
Jeu. 09 Avr. 2015, 16:14
-- Asociale à mi-temps, relou tout le temps -- \m/
Jeu. 09 Avr. 2015, 21:07
(Jeu. 09 Avr. 2015, 16:14)Beach a écrit : Hum, ce qu'on voit c'est qu'il y a surtout du rose. Ouaip, ça va devenir un truc de gonzesses la PC ! Sauf à un endroit, y'a une petite zone bleue réservée aux poilus, et là
[KOP] parce que les patates, ça pousse sous terre.
Mer. 22 Avr. 2015, 22:56
2D-3D & Co - Wiki : www.souslater.re - www.instagram.com/souslater.re/
Jeu. 23 Avr. 2015, 09:26
(Mer. 22 Avr. 2015, 22:56)KdK a écrit : Le plat pays est un peu creux : En effet ... mais qu'il est beau : https://www.youtube.com/watch?v=nZV0rxxTyBk Bonne fin de semaine à tous. plysdn
Das Leben eines Mannes, zwischen Himmel und Erde, vergeht wie der Sprung eines jungen weissen Pferdes über einen Graben : ein Blitz ... pfft ... es ist vorbei !
(CHINE, 4e siècle av. JC)
Lun. 27 Avr. 2015, 10:57
"François Robert est un photographe renommé pour son travail de photographie d'art et photographie commerciale. Au milieu des années 90, Robert a acheté trois casiers d'une école pour $50.00 afin d'aménager son studio. À sa grande surprise, un des casiers contenait un squelette humain, qui avait été monté à des fins pédagogiques. Depuis il a toujours eu une fascination pour les os, au point de passer cinq semaines à photographier des crânes du Musée Field d'histoire naturelle de Chicago. Il a décidé de prendre une partie de son temps libre causé par la crise de 2007 afin de tafer autour de ces ossements contenus dans les casiers. Il a organisé ces derniers dans des formes simples, mais controversées pour former les images que vous voyez ci-dessous, résultant d'une collection qu'il a intitulé "Stop the Violence" - une série qu'il a créé pour accroître la sensibilisation de la violence de la guerre. Les résultats sont étonnants, mais obsédant." Son site avec la partie "Stop the violence" : http://francoisrobertphotography.com/#/p...e_violence
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Lun. 27 Avr. 2015, 15:53
Il est sur le point de devenir la nouvelle salle de concert de Londres. Le tunnel qui passe sous la Tamise va bientôt être transformé afin de pouvoir accueillir des visiteurs, alors qu'il avait été fermé 150 ans auparavant. Concerts de musique, pièces de théâtre et bien d'autres événements auxquels il sera désormais possible d'assister… sous un fleuve. Le tunnel âgé de 172 ans va bientôt prendre une toute nouvelle utilité. Le grand public pourra descendre 20 mètres sous terre et y pénétrer grâce au travail de l'entreprise anglaise Tate Harmer, qui a travaillé au design d'un nouvel escalier. Le projet d'escalier qui va tout changer Son directeur Jerry Tate a expliqué à Construction Manager que cet escalier allait être "indépendant" de la structure construite à l'origine. L'entrée des visiteurs sera quant à elle rénovée. Et le tunnel de 396 mètres de long sera équipé d'un plancher en bois. "C'est un honneur exceptionnel de pouvoir travailler dans une structure aussi importante historiquement", a-t-il déclaré. Les architectes ayant manifesté leur volonté de garder l'héritage historique (presque) intact, seule une porte a été détruite afin de permettre l'accès à l’espace. Le matériel dont ils auront besoin pour construire l'escalier devra donc traverser cette unique entrée "tel un bateau dans une bouteille en verre", précise Tate. Un endroit riche historiquement Construit entre 1825 et 1843, il est le premier tunnel à avoir été construit sous une rivière navigable. À l'origine de la technologie ayant permis sa création, l'ingénieur français Marc Isambard Brunel et un officier de la marine écossaise, Thomas Cochrane. Tous deux ont élaboré des tunnels à boucliers, dont la structure soutient les parois excavées du tunnel et résiste à la pression du sol environnant. Isambard Kingdom Brunel, le fils de Marc, a travaillé aux côtés de son père durant plusieurs années en tant qu'ingénieur assistant, dans des conditions de travail difficiles et dangereuses. "Nous nous devions de respecter et de protéger l'héritage de Brunel tout en offrant aux gens l'opportunité de profiter de ce nouvel espace d'une manière nouvelle et intéressante", a ainsi promis Jerry Tate. Robert Hulse, directeur du Musée Brunel, se réjouit dans les colonnes du London Evening Standard: "Brunel était à la fois un homme qui aimait le show et un ingénieur. Et je suis sûr qu'il aurait approuvé le fait que des performances se tiennent dans cette nouvelle galerie souterraine". L'installation devrait coûter 250.000 livres (348.888 euros). Elle sera financée par une subvention de Biffa -un organisme qui soutient un large éventail de projets environnementaux au Royaume-Uni- et par une collecte de fonds mise en place par le musée. Les travaux devraient débuter d'ici octobre prochain et l'ouverture aux visiteurs est prévue pour janvier 2016. Dans la journée, il sera possible d'en apprendre plus concernant le travail des Brunel et le soir, les lieux pourront accueillir 135 personnes.... Et même être loués. Source: http://www.huffingtonpost.fr/2015/04/28/tunnel-tamise-londres-transforme-salle-de-concert-architecture_n_7162086.html
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Ven. 01 Mai 2015, 07:50
Ils explorent 11 km de galeries à la perte des Ayrals
Une découverte spéléologique de taille vient d'être révélée à Miers. Pendant sept ans, un groupe de spéléologues a déblayé et exploré 11 km de galeries, dans la perte des Ayrals. Le secret a été bien gardé jusqu'à ce jour et pourtant, il a fallu sept années de travail acharné dans des conditions difficiles pour en arriver là. L'histoire commence en 2007 quand les membres du CEC (clan des explorateurs de cavernes), dont plusieurs habitent Miers, décident de reprendre les investigations dans la perte des Ayrals, à Miers. Après de longs week-ends de désobstruction, l'équipe va progresser lentement dans la galerie d'accès étroite et obturée par des siphons ou des coulées de calcite. Six ans de labeur soit quelque 120 sorties pour arriver à déboucher enfin dans des galeries plus larges. Un an de plus et une dizaine de sorties permettront le levé topographique de 11 km de galeries aux Ayrals, auxquels viennent s'ajouter les presque 3 km de galeries d'une perte voisine (réseau de Magic Boy) qu'une coloration récente a mis en relation directe. Jamais explorées avant C'est une découverte spéléologique importante que les membres du CEC viennent d'effectuer. Importante de par le nombre de kilomètres parcourus en première : personne n'a jamais pu voir ces galeries depuis leur creusement il y a des centaines de milliers d'années. Quand on sait qu'une simple «première» de quelques centaines de mètres ravit les spéléos, on imagine le plaisir ressenti à chaque étape de cette découverte (plus d'un kilomètre à chacune des dernières explorations), avec un terminus à 170 mètres de profondeur et à 100 mètres de distance horizontale de la rivière souterraine de Padirac. Importante aussi de par la connaissance du système de circulation des eaux souterraines et donc de prévention des risques de pollution. Une bonne partie des principes de fonctionnement du système karstique du causse de Padirac sont maintenant connus. Il a pu être établi avec certitude la relation directe entre la perte d'Auru et la perte du Battut ; et entre celles-ci et la rivière souterraine de Padirac et démontré que les cheminements théoriques des ruisseaux souterrains ne sont pas toujours conformes à la réalité. Cette découverte est également importante géologiquement car elle restitue, à elle seule, toutes les variétés de creusement des galeries souterraines. «Nous sommes en présence d'un réseau présentant toutes les particularités d'un système actif et en même temps de systèmes semi-actifs ou totalement fossiles. Nous sommes dans une partie du système karstique le plus ancien du causse à mi-chemin entre la surface et les galeries actives de Padirac», se réjouissent les membres du CEC. Les découvreurs souhaitent publier prochainement les détails et les plans de ce réseau dans les revues spécialisées. Par ailleurs, le club organisera une soirée d'information dans les prochaines semaines à la mairie de Miers. En attendant, le plaisir de la découverte se lit sur les visages de ces spéléologues passionnés. Repères Accès difficile La beauté de certaines zones très joliment concrétionnées n'a rien à envier aux grottes aménagées du Lot, mais l'accès difficile ne permettra peut-être jamais l'exploitation touristique de ces richesses souterraines. Aujourd'hui, au moins trois jours de progression et deux nuits de bivouac sous terre sont nécessaires pour parcourir l'ensemble du réseau. Mais les découvreurs informeront bien volontiers les spéléologues désireux de découvrir ce nouveau réseau sur les difficultés de progression et les pièges à éviter pour que les explorations puissent se faire en toute sécurité. «Une opération de secours serait très délicate compte tenu de l'étroitesse de la galerie d'accès», confient-ils. Les spéléologues peuvent contacter Michel Besson, président du club, au 06 08 85 08 95. Les découvreurs Les acteurs de cette découverte sont Michel, Valentin et Clément Besson de Cahors, Michaël Bouchet, Frédéric Carriere, Bruno Cayre et Margaux Hoorelbeck-Brouqui de Miers, Roberto Ignacio de Mayrinhac-Lentour, Joël Magdeleine de Montgesty, Marcel Truel de Padirac, Raymond Lefillattre et Paulo Guilloit de Normandie, aidés plus tard par Michel Durand de Lalbenque (pour le levé topo). Source: http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/...yrals.html
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Mar. 05 Mai 2015, 14:56
Citation :Un petit rail de culture ? La SNCF ouvre 16 sites inoccupés à des projets artistiques et culturels. Un château d'eau à Thionville, un viaduc en Alsace, une halle dans le nord de Paris : la SNCF met à disposition de projets artistiques et culturels, 16 sites ferroviaires provisoirement inoccupés, et ouvre mardi 5 mai les candidatures. La SNCF, qui a récemment créé une branche "immobilier", va mettre ces sites, qui attendent d'être réhabilités, à disposition d'opérateurs culturels et artistiques, de quelques heures à six mois. Comme l'explique à l'AFP Sophie Boissard, directrice générale de SNCF Immobilier, l'échelle de temps pour les grands chantiers urbains, dans lesquels s'inscrit généralement la réhabilitation de tels sites "est le plus souvent de l'ordre de 5-10 ans", et "nous devons chercher des solutions pour la période 'd'avant projet', pour que les gens qui habitent à proximité ne soient pas condamnés à supporter un terrain vague". "Nous avons un patrimoine exceptionnel, c'est un morceau de l'histoire du pays, qui a modelé tout le paysage français depuis 170 ans", ajoute-t-elle, précisant que la SNCF a "des sollicitations multiples" pour les bâtiments inoccupés.Une gare à Elbeuf-sur-Seine (Seine-Maritime), la bagagerie de Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes), ou encore un centre de formation à Méricourt (Pas-de-Calais): en attendant d'être transformés, les 16 sites sélectionnés par la SNCF accueilleront spectacles, artistes en résidence, expositions...
Ven. 08 Mai 2015, 22:11
Vieux carrier brisé.
Jeu. 28 Mai 2015, 17:40
Stéphane Sellami | 27 Mai 2015, 08h01 Cadavres dissimulés après un crime ? Ou simple lieu d'inhumation abandonné depuis plusieurs dizaines d'années ? Ce sont les questions auxquelles doivent désormais répondre les enquêteurs de la brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire après la découverte, vendredi, d'un crâne d'enfant dans la cave d'un immeuble de la rue Victor-Considérant dans le XIV e arrondissement à Paris. Selon les premières constatations, cette partie de corps humain correspondrait à un enfant, âgé de 4 à 5 ans. « Ce crâne a été retrouvé dans le sol terreux d'une cave d'un immeuble coincé entre la place Denfert-Rochereau, le boulevard Raspail et le vaste cimetière de Montparnasse, relate une source proche de l'affaire. Une première évaluation avait laissé envisager que ce crâne est celui d'un enfant de 6 ou 7 ans, mais une étude plus poussée a permis de déterminer qu'il s'agissait de celui d'un enfant un peu plus jeune. » Les services d'un anthropologue ont été requis, afin de dater approximativement le moment de la mort de cet enfant. Selon nos informations, le décès pourrait remonter à une période comprise entre dix et trente ans. « Des analyses, et notamment une datation au carbone 14, sont nécessaires afin de pouvoir préciser la période pendant laquelle cet enfant a vécu, poursuit la même source. Mais il est impossible pour l'heure de déterminer les circonstances et les causes précises de la mort. Ce crâne a été déposé à l'Institut médico-légal où il sera étudié ». De nouvelles recherches possibles Toujours selon nos informations, d'autres ossements pouvant correspondre aux squelettes de deux adolescents, voire de deux jeunes adultes, ont été découverts hier au même endroit par les enquêteurs de la BPM. « Une partie de ces ossements semble avoir été conservée dans les fondations même de cet immeuble d'habitation, révèle un haut fonctionnaire. Toutes les hypothèses sont envisagées quant à la présence de ces restes à cet endroit. A commencer par celle d'un cimetière qui aurait été déplacé et dont certains corps seraient restés sur place. Plusieurs cimetières ont ainsi été regroupés avant d'être transférés à Paris, notamment sous l'Ancien Régime, mais également sous le Second Empire qui, sous l'impulsion du baron Hausmann, a vu les grandes transformations des rues de la capitale. » De nouvelles recherches pourraient être entreprises dans le même immeuble dans les jours qui viennent. http://www.leparisien.fr/faits-divers/un...806545.php
Ven. 29 Mai 2015, 08:44
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