[Krahoc]

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Je ne vais pas exposer l'ensemble du dossier qui est relativement lourd, et ça ne servirait à  rien de toutes façons à  l'heure qu'il est. Juste corriger quelques points qui ne font qu'attirer les foudres de certains sur les mauvaises personnes...

Reprenons le fil de l'histoire pour essayer de comprendre :

- Demande de permis de construire banal pour la construction d'un simple escalier de secours (accès pompier) pour le cinéma Gaumont Gobelins un immeuble moderne derrière la façade de l'ancien théâtre Rodin-Gobelins (et le cabinet sera effectivement sous l'accès pompier) ; selon la procédure en zone sous-minée, le permis de construire passe par l'IGC et là , comme d'habitude, ils imposent une injection, évidemment totalement disproportionnée par rapport à  un simple escalier, mais, on le sait, ils ne laissent jamais passer ce genre d'occasion. ils proposent plusieurs méthodes de confortations et l'entreprise choisit des fondations sur pieux/micropieux. Or si vous regardez la planche IGC 28-50, vous voyez effectivement que le cabi est en limite de parcelle. L'entreprise attaque les forages sondages. Et comme d'habitude, l'IGC ne prend même pas la précaution de voir ce qu'il y a en dessous avec le chef de chantier, ni ne recommande le moindre mur de confinement, bref la désinvolture coutumière et n'impose pas de mur de barrage car les voies municipales ne sont pas visées. L'entreprise réalisera des murs de barrages, qui malheureusement ne tiendront pas.

- Les forages sont découvert par un visiteur (appelons le un cataphile - heureusement que, eux, font des inspections soit dit en passant), le plafond du cabi est déjà  en partie écroulé par le forage. Des gens, de la catégorie "qui se bouge le cul" vont voir l'IGC. Comme le dit Tak, l'IGC et le proprio n'étaient pas contre la préservation du cabi mais un zélé exécutant a entre-temps envoyé la sauce en sous-sol. Le mal est fait...

Bon j'espère que je n''ai pas dit de connerie dans le récit (si quelqu'un est plus au courant, corrigez moi). A partir de là , chacun pourra se faire une opinion. Effectivement, à  partir de là , chacun pourra se faire une opinion.

Avant de répandre des informations de cet ordre, il faut connaître le sujet.

Le cabi est mort, le clavage est fait. Pas besoin d'en dire plus ni de chercher les responsables, ça ne lui rendra pas son état d'origine. Pleurez, râlez, chiez sur les paillassons si ça peut vous dilater l'ojete... Certains en sont de grands spécialistes.

A+.