0 | 0 | ||
Au moins 1,5 pages à tomber raide lorsqu'il décrit quand même quelques sensations cataphiles (la peinture de l'oeil des plaques par exemple)
Pour les cuissardes je pense pas du tout, déjà dans les années 80 90 c’était tout le monde en baskets.
Le livre vaut quand même la peine d'être lu, on y apprend des choses sur l'histoire des institutions, notamment religieuses, dont la présence en surface est indissociable des consolidations à leur fondement en carrière.
Quel dommage d'avoir laissé mourir cet homme sans le faire témoigner de ses aventures souterraines !
(Lun. 30 Juil. 2018, 10:01)krampon a écrit : Y a aussi mon côté voyeur qui n'aurait pas craché sur une sorte de bouquin de survival/ "the descent" mais en vrai.
Le réseau était le même, les Allemands pas si présent et dangereux que ça sauf aux abords des deux bunker (ajoute aussi celui du Senat) et beaucoup plus simple d'entrer, de sortir, et de se promener qu'aujourd'hui sans aucune entrave... alors le coté survival... bof bof
Au feu de la frontale, nous avons tous vingt ans. Et par deux murs flanqués, qui eux en ont deux cents.