Jeu. 08 Fév. 2018, 14:59
1 Zachariah |
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Citation :Sans compter la surenchère sur les prix, "partis de 15 000 dollars et montés à 40 000" pour finalement être exigés "en cash sur la table". La lenteur de préparation des engins, "jamais prêts à décoller au lever du soleil"; des "refus d'autorisations" et évidemment "la météo". L'ambassade de France, investie dans la partie diplomatique, n'avait pas de liquide dans son coffre, celle de Pologne si (30 000 dollars), "le reste, ce sont ses employés qui les ont donnés", a raconté Masha Gordon, alpiniste russo-britannique.
J'y connais rien, mais les journalistes non plus, alors j'ai des questions sans réponse :
La surenchère, elle n'est pas liée au fait que le mec a une boite qui ne tourne qu'à condition d'avoir un hélico ? Et qu'on demande à celui-ci de décoller et voler dans des conditions difficiles ? Si on me demande de prester en prenant le risque de casser mon outil de travail, normal que j'augmente la mise, non ? Idem si je risque de buter mon employé en y l'y envoyant.
Les autorisations non-délivrées, c'est pas potentiellement le même délire ? Quand c'est une administration étrangère qui ne laisse pas faire les français ce qu'ils veulent, comme ils veulent, c'est forcément une mauvaise décision d'un pays auquel on a tout à apprendre ? Est-ce que la France accepte les équipes de secours étrangères venir se substituer aux siennes sans sourciller ?
Et pour la thune, pourquoi c'est les autorités consulaires qui sont sollicitées ? Y'a pas des assurances de prises pour ce genre d'activités à risque ? Avec rapatriement, coordination, etc. couverts par le PAF ?