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1 OranginaRouge |
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(Jeu. 20 Nov. 2014, 14:33)ouchouh@ya a écrit : Il y a une possibilité que je n'ai pas vue dans toutes vos propositions: porter plainte.
Si on a leur photos, leurs noms, leurs profils facebook et que les agressés les reconnaissent, pourquoi ne pas aller porter plainte? Ca sera toujours plus efficace que d'attendre leur retour hypothétique, si y en a qui les ont reconnu la dernière fois et qu'ils ont pas pu leur remettre la main dessus sachant qu'ils étaient dans le réseau, ça va pas être aisé de leur tomber dessus si ils reviennent pas.
Même si c'est interdit de descendre, c'est rien en comparaison des violences qu'ils ont commis. Peut être Georges Dalloz pourra nous en dire plus?
C'est de bon sens. Et tout particulièrement si chacune des victimes en mesure d'identifier formellement l'auteur ou les auteurs se rapproche du même service de police (en gros, du même commissariat de quartier) avec le nombre de jours d'ITT documentés, les mecs seront sûrs de devoir rendre des comptes.
Si notre copain adorateur de Kung Fu Panda et de Fight Club a une profession qui va avec sa passion de petite frappe qui fait chier les gens de manière disproportionnée pour se sentir exister (employé d'une boite de sécurité par exemple, non pas qu'ils soient tous comme ça), ça lui fera aussi la bite parce qu'une inscription et/ou une condamnation mettront un terme à son autorisation d'exercer de manière déclarée.
Et dans tous les cas, ça mettra à l'abri d'autres victimes du nerf très court qui relie cerveau et biceps. Et risque aussi de pimenter les contrôles de police qu'il subira avant, après ou pendant ses descentes, s'il a une fiche pour violences en réunion et vol en réunion (la lampe frontale).
Si cette voie intéresse du monde, je peux essayer de retrouver la trace de quelqu'un bossant dans un service compétent pour ces affaires et qui oubliera peut être de relever l'infraction commise par les victimes.