Mer. 13 Oct. 2010, 16:56
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dom a écrit :J'admets volontiers ton point de vue, mais, dans ce cas, s'ils voulaient effectivement préserver, comment expliquer qu'ils n'ont pas fait établir de murs de confinement, ce qui est évidemment le minimum quand on sait que les remblais ne touchent plus les ciels de carrière depuis longtemps ? ça aurait très bien pu "dégueuler" beaucoup plus loin. Et comment expliquer un forage en plein dans le cabi dans ce cas ? S'agit-il d'une erreur de topographie de l'entreprise qui n'aurait pas foré au bon endroit ? Le pire pour moi est finalement la recommandation d'injecter pour l'établissement d'un malheureux escalier de secours, c'est en totale disproportion avec la masse d'un tel équipement. Principe de précaution poussé jusqu'à l'absurdité et le ridicule, ou bien entente avec l'entreprise injecteuse ?
Si tu as des réponses à ces questions, je suis tout à fait preneur.
Encore une fois, sur les terrains privés, l'IGC n'a qu'un avis à donner sur les modalités de confortation à réaliser par le propriétaire du terrain. En général, deux choix sont offerts : soit les confortations traditionnelles, soit les injections.
Libre au proprio de choisir entre ces deux modalités. (En général il prend les injections qui sont moins chères à réaliser).
Pour ce qui est du forage en plein dans le cabi (Là , il y avait deux tubes derrière les escaliers), c'est encore une fois normal. Car le fond du cabinet se trouve en extrême limite de la parcelle traitée. Regarde bien la planche concernée.
C'est malheureux, mais c'est ainsi.
-Bhv-
-Allo Allah ?... C'est Ali ?... Ahmed alors !-