Mer. 13 Oct. 2010, 14:47
0 | 0 | ||
Bhv a écrit :Dom,
L'IGC n'en a pas "rien à foutre", ses agents sont descendus checker le secteur avant que les forages ne soient effectués.
Je trouve qu'ils ont été très bons dans la gestion de la crise, tant avec les promoteurs, qu'avec les représentants des clandestins, car ils ont oeuvré eux aussi à la solution de préservation, et notamment auprès de la société en charge des fondations.
Ceci est d'autant plus louable, que le projet se trouve sur du terrain privé, projet sur lequel ils n'ont qu'un avis consultatif.
En d'autres termes, si ça avait été sous de la voirie publique, ils auraient pu intervenir autrement.
J'en veux pour preuve ce qu'explique très clairement Big dans son post ci-dessus.
-Bhv-
ps ; je sais qu'on a besoin de se trouver un coupable dans cette affaire, pour focaliser sa colère. Mais dans le cas d'espèce, je trouve qu'il est injuste de vider ses poubelles ,sur l'IGC. Va falloir finir par comprendre que dans le lot, certains aiment notre terrain de jeu, autant que nous l'aimons.
J'admets volontiers ton point de vue, mais, dans ce cas, s'ils voulaient effectivement préserver, comment expliquer qu'ils n'ont pas fait établir de murs de confinement, ce qui est évidemment le minimum quand on sait que les remblais ne touchent plus les ciels de carrière depuis longtemps ? ça aurait très bien pu "dégueuler" beaucoup plus loin. Et comment expliquer un forage en plein dans le cabi dans ce cas ? S'agit-il d'une erreur de topographie de l'entreprise qui n'aurait pas foré au bon endroit ? Le pire pour moi est finalement la recommandation d'injecter pour l'établissement d'un malheureux escalier de secours, c'est en totale disproportion avec la masse d'un tel équipement. Principe de précaution poussé jusqu'à l'absurdité et le ridicule, ou bien entente avec l'entreprise injecteuse ?
Si tu as des réponses à ces questions, je suis tout à fait preneur.