Mer. 21 Juil. 2010, 11:32
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Citation :Après sâêtre installés et avoir déployé la banderole, ils ont dâabord eu affaire à une équipe de vigiles très agressifs, qui tentaient de les déloger dâune façon mettant leur vie en danger. à lâoccasion de la discussion quâils ont eue avec eux, lâun dâeux a saisi le bras dâune femme faisant partie de ces vigiles en lui demandant de se calmer. Câest elle qui a porté plainte pour « violence aggravée » sur la base de ce geste.
Certains militants étaient suspendus dâun côté de lâArc pour déployer la banderole, dâautres de lâautre côté pour faire contrepoids et assurer la sécurité des premiers. Les pompiers ont commencé à monter en nacelle vers lâun de ceux qui étaient à lâarrière, Eneko Monton, pour le décrocher. Ils ont alors été appelés par des policiers qui se trouvaient en bas et qui leur ont ordonné de redescendre. La nacelle est redescendue et des policiers y ont pris place, pour remonter aussitôt vers Eneko. Malgré les avertissements et les protestations et dâEneko, et des pompiers, lâun de ces policiers a libéré brutalement la corde le retenant, décrochant ainsi Xabier qui se trouvait de lâautre côté et qui est tombé. Eneko a tenté de retenir la corde et sâest brà»lé les deux mains dans ce geste, freinant ainsi la chute de son camarade qui nâa été que blessé. Voilà ce que certains médias français ont qualifié de « coup de vent », reprenant comme toujours à leur compte la version policière.
La vie est dure comme une pierre tombale.