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Les expositions
#16
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PHOTO Deux belles expositions Doisneau

A Paris, les peintres . Pablo Picasso, Bernard Buffet, Jean Dubuffet, Giacometti, ils sont tous là  aux cimaises de la galerie Claude Bernard, immortalisés par l'objectif de Robert Doisneau. Parmi la soixantaine de photos exposée, nombreux sont les portraits d'artistes, peintres, architectes, sculpteurs, saisis entre les années 40 et la mort du plus célèbre des photographes français , en 1994 . Des scènes sur le vif qui dévoilent ce que chacun a de plus intime. Le déjeuner de Picasso avec sa compagne Françoise Gilot est terrifiant, Braque contemplant un bouquet de fleurs est énigmatique, Buffet ressemble à  un jeune premier... Une ronde d'artistes infiniment émouvante. A Montrouge, chez lui . Robert Doisneau a vécu place Jules-Ferry, à  quelques rues de l'hôtel de ville de Montrouge qui lui consacre une exposition. Un jour de 1937, il y déposa ses valises, avec sa jeune femme Pierrette, et y demeura jusqu'à  sa mort en 1994. Les 143 tirages rassemblés ici racontent « la très véridique histoire d'un photographe racontée par lui-même ». On ouvre son album de famille avec ses cartes de voeux sur lesquelles posent ses filles , Francine et Annette . On découvre ainsi des écoliers surpris, des enfants applaudissant au théâtre de Guignol improvisé, une quinzaine de photographies en couleur, totalement inédites, représentant des petites boutiques mises en boîte au hasard de ses déambulations dans l'Hexagone. Avec lui, c'est Montrouge qui entre dans l'histoire.

* Robert Doisneau « Inauguration », Galerie Claude Bernard, 7 rue des Beaux-Arts (VI e ). M° St-Germain-des-Prés, Paris. Tél. 01.43.26.97.07. Du lundi au samedi, de 9 h 30 à  12 h 30 et de 14 h 30 à  18 h 30, jusqu'au 29 novembre. Entrée libre. * Robert Doisneau à  Montrouge, salons de l'hôtel de ville, 43, avenue de la République, M o Porte-d'Orléans. Du lundi au samedi de 10 heures à  19 heures, Jusqu'au 25 octobre. Entrée libre.

Laura Moudelaud et Marie-Emmanuelle Galfré
Le Parisien , jeudi 16 octobre 2003
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#17
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Mars ou avril 2004

Expo de photos de carrières couleur feu à ... Rennes. Hé hé...

Je vous tiendrai au courant. Je peux héberger pour une nuit six personnes max. Prévoir duvets et matelas mousse.
Odi profanum vulgus et arceo
http://www.lucasfalchero.com
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#18
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c'est toi ?
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#19
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Ouais

Mais ne le dis pas ! On va encore me taxer de je-ne-sais-pas-quoi.

D'ailleurs, j'expose pour ma gueule. Big Grin Exposer, c'est bien connu, ce n'est QUE pour flatter l'ego de l'Artiste.

Plus sérieusement, je prévois de faire un tout petit résumé de la cataphilie et des carrières, plutôt des carrières et du phénomène de la cataphilie (et ses mythes urbains) distribué (à  l'oeil) aux visiteurs.

En tout cas, tu es le bienvenu. Enfin, vous êtes les bienvenus. TGV Paname-Rennes : 2h03 toutes les demi-heures, environ. Au pire, toutes les heures.
Odi profanum vulgus et arceo
http://www.lucasfalchero.com
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#20
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L'Homme et l'invisible

Du 03/11/2003 au 30/11/2003 - Tlj sf samedi et dimanche de 10h à  12h et de 14h à  18h. - Maison des photographes - Tarif: Entrée libre.


Information salle
Nom : Maison des photographes
Type de salle : Centre culturel
adresse : 121, rue Vieille-du-Temple - 75003 Paris
Tél. : 0142772430
Accès : Filles-du-Calvaire.

Je ne l'ai pas faite mais je trouve le concept interessant. Si quelqu'un a plus d'info d'ici se WE en mp...

merci.
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#21
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j'y travaille de temps en temps j'y fait des permanence
l'expo est sympa et la galerie bien trop vide pourtant de beaux clichés
I'm singing in the galleries, yes singing in the quarries
today you'll learn, what a marvellous game...
I'll brake all your bones,I'll walk on your face,
just singing, yes singing in the galleries.....
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#22
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Androà¯de, as-tu du cœur ?

"Hommes et robots...", à  la Maison de la culture du Japon, à  Paris


« Il traverse tout l'Univers / Aussi vite que la lumière / Qui est-il ? D'o๠vient-il ? / Formidable robot / Des temps nouveaux... » Si vous avez reconnu les paroles du générique de Goldorak, hop ! direction la Maison de la culture du Japon, à  Paris. Jusqu'au 31 janvier 2004, on y célèbre le robot dans toute sa splendeur : expo, démo, colloques composent « Hommes et robots, de l'utopie à  la réalité", un « cycle » dédié au meilleur ami de l'homme... après le cheval. Si, si ! C'est Shuji Takashina, président du comité de programmation, qui l'affirme : « Les Japonais ont non seulement accueilli les robots sans la moindre réticence, mais ils les traitent même en amis. Cette attitude n'est probablement pas sans rapport avec la mentalité des habitants de l'archipel, qui de tout temps ont considéré les animaux, les plantes, mais aussi les objets usuels inanimés comme des "êtres dotés de sentiments", à  la manière des humains. »

Ah ! Amis occidentaux ! Vous l'aimez, ce Japon exotique, animiste et tellement gracieux... Vous l'adorez, ce Japon fantasmatique, technologique et si froid... Alors, on va vous en donner, à  la Maison de la culture du Japon. Venez, entrez dans « Fantaisies cybernétiques », l'exposition qui inaugure « Hommes et robots... ». Blancheur clinique des murs et peluches kawai (« mignonnes ») en début de parcours : l'imaginaire du visiteur ne doit pas être heurté. Mais si les machines-fossiles de Maywa Denki (1) ne manquent pas d'humour, si les jeux interactifs de Toshio Iwai enchantent petits et grands, réduire l'histoire des robots à  quelques panneaux frise la bourde.

Après Hiroshima et Nagasaki, le Japon vaincu de l'après-guerre fétichise la technique occidentale. Ainsi naît, en 1952, Astro Boy, robot doté d'un coeur atomique. Il symbolise bien sà»r le seishin, l'« esprit », la force de volonté typiquement japonaise, mais un seishin cette fois invincible car il revêt la technologie occidentale, si puissante. Toute cette mythologie n'est pas illustrée dans l'exposition. Et o๠sont les descendants d'Astro Boy ? Peut-être dans les films (que nous n'avons pu voir) projetés au rez-de-chaussée de la MJC, pardon : de la MCJ, à  partir de novembre... O๠sont les plans ultra-élaborés de ces géants d'acier sophistiqués ? On peut en trouver lors des très attendues démonstrations de robots, o๠des spécimens créés par des firmes nipponnes friment et se donnent en spectacle sur un petit podium.

En octobre, les exhibitions débutent « petit bras » avec PaPeRo, robot domestique multicolore en forme de gros aspirateur (il mémorise les visages de 10 personnes et reconnaît 650 mots), qui sert notamment de boîte vocale - un peu encombrant, tout de même. Et avec Pino, bipède inspiré de Pinocchio, composé de 1 173 pièces, doté de 26 articulations, mais plus pantin arthritique que danseur argentin...

Réservez plutôt votre attention, en novembre, pour Asimo, créature de chez Honda (oui, le fabricant de motos) qui fait vraiment vroom ; et pour Qrio, 58 centimètres pour 7 kilos, le robot dernière génération de Sony qui dispose, dit-on, d'une expressivité et d'une expression convaincantes, voire troublantes. Il est présenté fin janvier, comme clou du spectacle. Selon un industriel japonais, ces petits objets seront « nos plus fidèles compagnons à  l'apogée d'Internet » (sic). Prophétie ou fantasme ?




Jean-Philippe Pisanias

En savoir plus ?

jusqu'au 31 janvier 2004 (fermé du 22 décembre au 5 janvier inclus) à  la Maison de la culture du Japon, 101 bis, quai Branly, 75740 Paris Cedex 15. Du mardi au samedi de 12h à  19h (nocturne le jeudi jusqu'à  20h).
Tél. : 01-44-37-95-01.
Le Programme complet sur <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.mcjp.asso.fr">http://www.mcjp.asso.fr</a><!-- m -->
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#23
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COURT CIRCUIT
à  la villette,
- concerts-court métrages,
- vêtements,
- accessoires,
- peinture, sculpture
- mobilier,
150 créateurs,
paf : 3 euros,

6 et 7 décembre de 10h à  21h



DES FILLES EN AIGUILLE

14 créateurs vêtements
prix atelier,
28 novembre de 17h à  22h
29 et 30 novembre de 11h à  20h
centre culturel pouya
48 bis quai de jemmapes
paris 10ème
***jennifer in the sky with flower***
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#24
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Zao Wou-Ki - Peintures, Aquarelles et Dessins


Exposition de Zao Wou-Ki, composée d'une centaine de peintures et d'un grand nombre d'aquarelles et de dessins. Il forme un pont entre deux traditions, deux écritures et deux mondes séparés.

Par sa culture, Zao Wou-Ki appartient tout entier à  la tradition chinoise ; par le demi-siècle de peintures qu'il a réalisées à  Paris, il appartient de manière indissociable à  l'Histoire de l'Art contemporain occidental. Peu d'artistes forment comme lui un pont entre deux traditions, deux écritures et deux mondes aussi séparés. Né à  Pékin en 1921, Zao Wou-Ki a appris les normes de la peinture chinoise et les rudiments de l'art occidental pendant ses études à  l'Ecole des Beaux-Arts de Hangzhou. C'est en 1948 qu'il vient à  Paris o๠il fréquente, un temps, l'atelier d'Othon Friesz pour se perfectionner dans le médium moderne qu'est, aux yeux des Chinois, la peinture à  l'huile. Ses premières oeuvres, o๠se marque l'influence de Paul Klee, retiennent immédiatement l'attention d'Henri Michaux, sensible à  toutes les formes de la pensée d'Extrême-Orient. Il leur consacre, sous le titre "Lecture de huit lithographies de Zao Wou-Ki", un ouvrage d'approche poétique que Zao Wou-Ki a orné de lithographies. Dès cet instant, la peinture de Zao Wou-Ki se singularise par l'opposition de tracés linéaires déliés et subtils et d'un emploi généreux, quoique réservé, de la couleur. Vues de villes, de forêts, de ports, de bateaux, ces transcriptions du réel, même lorsqu'elles portent le nom de lieux véritables (Venise, Arezzo, Notre Dame...) ne relèvent pas de la transcription descriptive mais de la transposition poétique. Dès le milieu des années 50, les images font place aux signes, comme si, au contact des peintres contemporains avec qui il se lie d'amitié, tels Pierre Soulages, Giacometti, Sam Francis ou Franz Kline, Zao Wou-Ki avait retrouvé, dans la fréquentation des peintres abstraits, la possibilité de concevoir une forme différente de calligraphie libérée de toute charge narrative pour ne garder que la liberté de l'écriture, la force sensible du geste et la transcription de l'émotion.



Galerie Nationale du Jeu de Paume.

- 1, Place de la Concorde - 75008 Paris
Tel : 0147031250 - Fax : 0147031251
14.10.03 - 28.12.03 : Samedi, Dimanche : 10:00 - 19:00
14.10.03 - 28.12.03 : Mardi : 12:00 - 21:30
14.10.03 - 28.12.03 : Mercredi, Jeudi, Vendredi : 12:00 - 19:00
Entrée : Plein tarif : 6.00 € - Tarif réduit : 4.50 €
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#25
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C'est un pote de lao Tseu, ton Monsieur Waou ?

:twisted:

-Bhv-
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#26
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Landscapes, par Aliki Braine et Frank Hà¼lsbà¶mer

Confrontation entre deux jeunes photographes, l’un allemand et l’autre anglaise d’adoption, cette exposition vise à  mettre en vis à  vis deux visions de l’espace, des paysages urbains et naturels.

Entre eux la réalité est différente, et pourtant, comme le reflet d’une génération montante, la photographie est froide, sans détail et sans retour. Ce type de photographie devient, par le vide, une poésie picturale, un champ mélodique o๠le regardant est seul face à  lui même.

Malgré la nature calculée de cette stratégie, ainsi que leur critique implicite du médium photographique, les propriétés subjectives de la photographie ne sont pas pour autant supprimées, comme leur capacité a évoquer sentiments, nostalgie et romantisme. Le texte non-dit ou partiellement dit, les images discontinues, ont une "parole" implicite, qui tenue en suspend, a peut-être plus résonance que si elle se révélait dans l’immédiat.



Galerie Magda Danysz

- 19, Rue Emile Durkheim - 75013 Paris
Tel : 0145833851

29.11.03 - 07.01.04 : Ts les jours : 11:00 - 19:00

Information réservations : Infos : <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.magda-gallery.com/presse2003/programmeabfh.htm">http://www.magda-gallery.com/presse2003 ... meabfh.htm</a><!-- m -->

Entrée : Entrée gratuite

je ne connais pas mais le sujet et plutot attractif.
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#27
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Nouvelles Images du Japon

Du 06.12.03 au 14.12.03

Pendant longtemps, la production japonaise est restée méconnue en France mais avec le phénomène manga, elle est devenue incontournable. Depuis 1999, le festival participe à  la reconnaissance de ce nouveau genre en proposant des projections, des avant-premières, des rétrospectives... La participation de grands réalisateurs tels que Takata Isao (1999) et Miyazaki Hayao (2001) et la présence d'un public de plus en plus nombreux montrent l'engouement pour l'animation japonaise.

3e édition

Cette année, plusieurs évènements sont prévus. Au programme, des rencontres avec des réalisateurs tels que Yamanura Kà¶ji, Kotabe Yôchi ou encore Kon Satashi, une projection en avant-première du film "Jours d'hiver", une rétrospective sur "L'Age d'or de Tôei animation" et un coup de projecteur sur les robots à  l'occasion des 40 ans d'"Astro le petit robot".


Forum des Images

- 2, Pte St-Eustache - 75001 Paris
Tel : 0144766200 ('').
Séances : ''
Information réservations : 01 44 76 63 07 (horaires à  préciser)
Entrée : Plein tarif : 3.50 € - 5.50 €
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#28
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Les frigos de paris, le squat sur les quais près de la bibliothèque françois mitterand (anciens entrepôts frigorifiques de la sncf) ouvre ses portes Samedi 13 et dimanche 14 à  partir de 14h30 je crois, plus d'infos demain
"une société prête à  sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre et fini par perdre les deux"
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#29
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Kim Tschang Yeul

Installé à  Paris depuis 1970, Kim Tschang-Yeul est l'une des figures majeures de la peinture coréenne contemporaine. Depuis longtemps, la critique française a souligné l'importance d'un peintre qui n'a pas tardé à  être connu comme "celui qui fait des gouttes d'eau". Les premières oeuvres connues de Kim Tschang-Yeul – celles des années 1964-1965 (toutes les précédentes ayant été détruites) – sont profondément marquées par les vicissitudes de la vie du peintre, coréen du Nord, chassé au Sud par la coupure de son pays ; il a en effet alors fait l'apprentissage de la misère et de la faim. Les grands traits qui balafrent ses toiles sont autant de négations de la peinture officielle coréenne de l'époque, et rejoignent dans leur violence les fentes de Fontana, qui fut avec Fautrier, l'une des premières admirations de l'artiste. Cependant, malgré leur force expressionniste, ces tableaux, dans leur questionnement de l'espace de la toile, relèvent d'un sens analytique qui les rend parallèles aux recherches de Supports/Surfaces en France ou du groupe Mono-Ha au Japon. C'est au cours de son séjour à  New York, à  la fin des années 60, que la peinture de Kim Tschang-Yeul s'est modifiée et qu'apparaît l'image de la goutte d'eau jusqu'à  aujourd'hui récurrente dans son oeuvre. Si les premières d'entre elles relèvent d'une esthétique influencée à  la fois par le surréalisme et le pop art, les gouttes d'eau de Kim Tschang-Yeul ne vont pas tarder à  devenir de simples éléments modulaires qui permettent au peintre de recomposer à  chaque fois différemment son tableau.

Galerie Nationale du Jeu de Paume


- 1, Place de la Concorde - 75008 Paris
Tel : 0147031250 - Fax : 0147031251

23.12.03 - 22.02.04 : Samedi, Dimanche : 10:00 - 19:00
23.12.03 - 22.02.04 : Mardi : 12:00 - 21:30
23.12.03 - 22.02.04 : Mercredi, Jeudi, Vendredi : 12:00 - 19:00
13.01.04 - 07.03.04 : Samedi, Dimanche : 10:00 - 19:00
13.01.04 - 07.03.04 : Mardi : 12:00 - 21:30
13.01.04 - 07.03.04 : Mercredi, Jeudi, Vendredi : 12:00 - 19:00
Prix non communiqués
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Expo Black et Mortimer

au musée de l'homme (trocadéro)

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.mnhn.fr/expo/blakemortimer/index.htm">http://www.mnhn.fr/expo/blakemortimer/index.htm</a><!-- m -->

Essentiellement des planches avec quelques décors pseudo-souterrains. Sympa pour ceux qui apprécie cette série, mais malheuresement pas trop d'explications interessantes, voire certaines bidons...

Ces salauds ont même traités les faux albums des charognards après la mort de Jacobs.

Pour rappel, Jacobs était un grand amateur des ambiances souterraines, et l'intrigue de pas mal de ses bds se déroule sous terre.
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