Citation :Dans nos villes il n'est pas rare de voir réduire le peu d'espace naturel qu'il reste. Voir ce béton qui envahi les espaces verts est un spectacle des plus attristant, des plus désolant même.
En certains lieux, rares, il se passe l'effet inverse. Ces lieux o๠les hommes y abandonnent leurs constructions, là o๠pourtant la nature a été sacrifiée quelques temps auparavant au bénéfice de lindustrie.
Symbole du passé économiqe des villes, ces friches sont maintenant à la merci de la nature, elle y reprend ses droits. De voir ces lierres s'installer dans d'anciens bureaux, ces fougères pousser dans des hangars abandonnés, ces ronces cacher des machines outils délaissées, ces arbres grandir sur des batiments, des cours ou des allées goudronnées est un spectacle merveilleux. On assiste à une renaissance, un retour progressif à l'état fondamental.
Voir ces bureaux vides, ces couloirs déserts, ces portes laissées ouvertes est une invitation à l'exploration et à laisser évader son imagination; réaliser que le temps s'est bel et bien arrêté ici. De quoi se plonger dans une ambiance mystique et post-apocalyptique, le temps d'une journée se croire seul ici bas, d'imaginer ce que deviendrait ce monde sans les hommes.
Dans ces endroits que l'on a pollué de produits chimiques ou de substances radioactives, chassé la faune et la flore à coup de briques, béton et de goudron, là ou l'on a boulversé l'équilibre écologique, malgé tout, le départ de l'homme peut permettre à la vie de repartir à nouveau.
Citation :Dans nos villes il n'est pas rare de voir réduire le peu d'espace naturel qu'il reste. Voir ce béton qui envahi les espaces verts est un spectacle des plus attristant, des plus désolant même.
En certains lieux, rares, il se passe l'effet inverse. Ces lieux o๠les hommes y abandonnent leurs constructions, là o๠pourtant la nature a été sacrifiée quelques temps auparavant au bénéfice de lindustrie.
Symbole du passé économiqe des villes, ces friches sont maintenant à la merci de la nature, elle y reprend ses droits. De voir ces lierres s'installer dans d'anciens bureaux, ces fougères pousser dans des hangars abandonnés, ces ronces cacher des machines outils délaissées, ces arbres grandir sur des batiments, des cours ou des allées goudronnées est un spectacle merveilleux. On assiste à une renaissance, un retour progressif à l'état fondamental.
Voir ces bureaux vides, ces couloirs déserts, ces portes laissées ouvertes est une invitation à l'exploration et à laisser évader son imagination; réaliser que le temps s'est bel et bien arrêté ici. De quoi se plonger dans une ambiance mystique et post-apocalyptique, le temps d'une journée se croire seul ici bas, d'imaginer ce que deviendrait ce monde sans les hommes.
Dans ces endroits que l'on a pollué de produits chimiques ou de substances radioactives, chassé la faune et la flore à coup de briques, béton et de goudron, là ou l'on a boulversé l'équilibre écologique, malgé tout, le départ de l'homme peut permettre à la vie un nouveau départ.
Je viens de faire une toute légère modification à la fin du texte : j'avais mis deux fois "départ" dans la même phrase. Pour éviter les redondances, j'ais corrigé cette erreur. Vous pourrez comparer avec l'ancienne version dans le post de Pilepoil.