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Sénégal
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Un beau pays, surtout la Casamance et le Nord de Dakar. Sans compter la chaleur infernale dans le centre du pays.

A part quelques indépendantistes en Casamance (bandits de grand chemin plutôt, dépouilleur de taxis brousses), c'est tranquille et bon enfant.

Mais que va faire Bush là -bas ? Nous fabriquer des terroristes casamançais ? Vendre de la sécurité et des armes au nouveau président Sénégalais Abdoulaye Wade, faire pousser des OGM ?

C'est bien la merde, j'y ai mon père qui y passe sa retraite.

Citation :Première escale au Sénégal pour la tournée africaine de Bush

07 juillet 15:32:22

par Clar Ni Chonghaile

DAKAR (Reuters) - George Bush entamera mardi sa tournée de cinq jours en Afrique, sa première sur ce continent, par une escale au Sénégal qui devrait donner le ton du reste de son périple.

Pays pauvre à  majorité musulmane, l'ancienne colonie française n'en est pas moins un des rares Etats stables et démocratiques dans une région qui l'est beaucoup moins.

Le chef de la Maison blanche s'entretiendra à  Dakar non seulement avec le président Abdoulaye Wade, un allié, mais aussi avec les dirigeants du Niger, du Ghana, du Mali et de Sierra Leone, qui passent eux aussi aux yeux de Washington pour des dirigeants fréquentables.

Le clou de sa visite sera sa visite sur l'île de Gorée, o๠transitaient les esclaves en partance pour les Amériques, o๠il prononcera un discours sur le racisme et la démocratie.

Un déplacement hautement symbolique au moment o๠la communauté internationale supplie les Etats-Unis d'intervenir pour faire cesser le conflit civil au Liberia voisin, fondé par des esclaves américains affranchis au XIXe siècle.

La population sénégalaise n'est pas unanime pour se féliciter de la venue de Bush, qui doit ensuite se rendre en Afrique du Sud, au Botswana, en Ouganda et au Nigeria.

Bien qu'adeptes d'un islam tolérant, nombre de Sénégalais n'ont pas approuvé l'intervention américaine en Irak. Les opposants à  la visite de Bush devaient manifester lundi soir dans la capitale pour exprimer leurs désaccords avec sa politique.

Mais Bush ne tarit pas d'éloge sur le président Wade - "un homme qui croit dans les mêmes principes que moi, qui croit à  la dignité de chaque vie, qui croit à  la démocratie, qui croit à  l'économie de marché et qui comprend le commerce."

Wade a déclaré attendre de Bush qu'il exprime son soutien au Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad), un initiative lancée par quelques pays africains pour tenter de sortir l'Afrique de la pauvreté et de la corruption et attirer les investissements étrangers.

Wade a déclaré qu'il soulèverait auprès du président américain la question des subventions à  l'agriculture américaine dont les pays africains producteurs de coton estiment qu'elles accordent aux agriculteurs d'outre-Atlantique un avantage injuste sur le marché mondial.

D'importantes mesures de sécurité ont été prises en prévision de l'escale sénégalaise de Bush. La police a entrepris un grand nettoyage de Dakar en arrêtant ce week-end plus d'un millier de délinquants présumés.

Quelques unes de mes photos de 1984 et 1990. Enterrement d'un chef de village en Casamance. 3 jours de fête. 250 personnes.


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Je suis rassuré. Ils n'était qu'une cinquantaine mais c'est pour la forme.

Citation :Manifestation hostile à  Bush la veille de son arrivée au Sénégal

©  REUTERS

DAKAR (Reuters) - Une cinquantaine de manifestants scandant des slogans hostiles à  George W. Bush ont défilé lundi à  Dakar, la veille de l'arrivée du président américain au Sénégal, première étape de sa tournée en Afrique.

"George Bush, assassin, George Bush, criminel", criaient ces manifestants qui dénonçaient les interventions américaines en Irak et en Afghanistan, la politique de Washington au Proche-Orient ainsi que les mesures de sécurité prises au Sénégal en prévision de la visite du dirigeant américain.

"Bush est un homme de guerre", a déclaré une manifestante, Seydina Sarr.

"Je ne suis pas d'accord avec sa politique. Elle est impopulaire et il ne tient pas compte des lois internationales", estimait pour sa part Abdoulaye Tasse, brandissant un morceau de carton sur lequel on lisait "Recevoir Bush, c'est faire un pacte avec le diable".

Bush ne passera qu'une demi-journée au Sénégal, o๠il rencontrera le président Abdoulaye Wade et d'autres dirigeants régionaux avant de visiter l'île de Gorée, o๠transitaient les esclaves en partance pour les Amériques et o๠il doit prononcer un discours sur le racisme et la démocratie.

Mais de nombreux manifestants étaient sceptiques lundi quant à  ses intentions.

"Le seul but de son discours, c'est de gagner des électeurs chez les Noirs américains. Il nous utilise", affirmait Talla Sylla, qui déplorait aussi les mesures de sécurité imposées à  l'occasion de cette visite en rapportant que les maisons de Gorée avaient été fouillées avec des chiens.

"Il est injuste que, parce que quelqu'un vient ici pour quatre heures, les gens soient à  ce point dérangés. C'est comme si Dieu descendait sur Terre", a pour sa part déclaré Hady Thiam. Il a précisé que cette manifestation n'était pas antiaméricaine mais anti-Bush: "Bill Clinton est venu ici et nous l'avons bien accueilli."


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La suite de la visite de Bush sur l'ile de Gorée au Sénégal.

Citation :A Gorée, la visite du président Bush a plongé les habitants dans l'amertume

ILE DE GOREE (Sénégal), 8 juil (AFP) -

Sur l'île de Gorée, haut-lieu symbolique de la traite des esclaves, le président George W. Bush a solennellement dénoncé un "des crimes les plus abominables de l'histoire". Mais les habitants ont eux été profondément choqués par l'attitude des services de sécurité.

"Virés de nos maisons", "mis en quarantaine", "parqués comme des ânes", "surveillés par la police", les habitants n'ont pas de mots assez durs pour qualifier le comportement des services de sécurité chargés de protéger le président américain.

"On a été été réveillés à  05h00 du matin (locales et GMT), on a été conduits là , et c'est seulement maintenant qu'on nous a relâchés", raconte à  l'AFP à  la mi-journée une vieille femme en boubou orange, indiquant de la tête l'endroit éloigné de sa maison o๠elle dà» rester jusqu'au départ de M. Bush.

"On n'a pas eu le temps de se laver, de manger et on était surveillés, comme des criminels, vous vous rendez compte?", s'offusque un homme, les traits tirés.

A 07h00, la presse accréditée constate à  son arrivée sur l'île un visage inhabituel de Gorée: le silence est total, à  l'exception des ordres d'agents de sécurité fusant de temps à  autre.

Pas un habitant visible n'est dans les rues donnant sur le débarcadère. Les jolies maisons aux couleurs d'été gardent portes et fenêtres closes. La plage, d'habitude grouillante de monde et bruyante de cris d'enfants, d'éclats de rires et de conversations de touristes, se tait.

A quelques pas du Musée historique, s'activent encore des agents de sécurité et des techniciens américains ainsi que quelques-uns de leurs collègues sénégalais.

Viennent ensuite les discours. Abdoulaye Wade parle d'"accès au marché, lutte contre les pandémies, nouvelles technologies de l'information", d'"infrastructures et d'équipements pour travailler".

George W. Bush évoque "un des crimes les plus abominables de toute l'Histoire" et du "mal aux dimensions colossales" qu'a représenté l'esclavage, mais aussi de "justice" et de "liberté".

A la fin de leurs déclarations, les deux présidents posent pour la photo, serrent quelques mains et s'en vont. Il est un peu plus de 12h00.

Sortis d'on ne sait oà¹, des enfants déboulent sur la plage, les portes et fenêtres s'ouvrent timidement, puis les maisons et ruelles ombragées laissent bientôt échapper un flot d'habitants.

"On n'a pas vu Bush, on n'a même pas vu Wade, c'est dommage", regrette un jeune vêtu d'un T-shirt de basketteur américain.

Fatou Bintou, Ndèye Fily et Madeleine, toutes élèves de l'Ecole Mariama Ba de Gorée, font partie de la poignée d'"invités" triés sur le volet ayant pu assister aux discours des deux chefs d'Etat.

Elles en sont "certes contentes", disent-elles, "mais c'aurait été mieux pour les Américains de voir Gorée avec ses habitants, dans la chaleur de l'accueil".

Au milieu d'un petit groupe de Goréens furieux de s'être fait "confisquer (leur) liberté" quelques heures, un homme affirme qu'il aura son mot à  dire avant que les autorités "n'annoncent encore la venue d'un président américain", quitte à  "organiser un référendum".

Le problème, estime une jeune fille toute de noir vêtue, "ce n'est pas un président américain. C'est Bush". Son prédécesseur Bill "Clinton est venu ici (à  Gorée), il n'y a pas eu tout ça, et les gens n'ont pas été envoyés dans des enclos!", ajoute-t-elle.

M. Clinton, président des Etats-Unis de 1993 à  début 2001, s'était rendu à  Gorée lors d'une visite officielle en 1998 au Sénégal.


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un membre du parti républicain, qui entretiens des relations trés proches avec des membres du kluklux klan , violant les droits de l'homme a presque chaqune de ses éxaction qui as le culot de faire un discour sur cette ile ...

perso ça me fou la gerbe ...

au lieu de faire peter des marchés et de déchiqueter des gosses innocent a rand coup de ceinture de "martyr", que je rebaptiserais ceinture du lache de l'enculé du fils de pute et du tueur d'enfant , y'en as qui ferais mieux de sauter des gars comme ça ...
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Les singes sont malins et agiles... Confusedhock:


Récit d'un voyage au Sénégal avec une carte du voyage.

<!-- m --><a class="postlink" href="http://perso.club-internet.fr/f_martin/voyage/senegal/voyage-senegal.html">http://perso.club-internet.fr/f_martin/ ... negal.html</a><!-- m -->

Savez-vous qu'il existe une grotte au Sénégal : la grotte de Kandiama (située à  35 Km de Vélingara dans le Bonconto, communauté rurale de Sinthiang Koundara). La tradition rapporte que c’était un lieu de refuge des populations en temps de guerre.

Un portail et aussi un forum sur le Sénégal. Il y a aussi une base de données de photos avec des photos anciennes du Sénégal.

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.senegal-online.com/francais/index.html">http://www.senegal-online.com/francais/index.html</a><!-- m -->


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Tiens, la guerilla (les locaux les appellent, les "bandits" de grands chemins), fait reparler d'elle en Casamance. C'est loin des zones touristiques.

Citation :Attaque armée en Casamance: un policier tué, les populations manifestent
AFP | 12.10.03 | 22h28

Des hommes armés, membres présumés du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC, indépendantiste), ont attaqué et pillé un village de la région de Kolda, en Casamance (sud), tuant un policier et provoquant des manifestations de colère des populations de la zone, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.Les assaillants, dont le nombre n'est pas connu, ont fait irruption dans la nuit de samedi à  dimanche à  Dianaye, situé dans l'arrondissement de Tanaff et à  environ 75 km au sud-est de Kolda, a expliqué à  l'AFP une source militaire.Ils ont abattu l'agent de police posté dans cette localité, pillé la principale boutique du village et se sont enfuis vers la région de Farim, en Guinée-Bissau, a ajouté cette source, précisant que le butin emporté n'a pas été estimé.Des habitants de Tanaff et des villages environnants ont manifesté dimanche après-midi pour protester contre l'insécurité dans leurs localités, a indiqué à  l'AFP leur "porte-parole", Fakéba Kouyaté, joint depuis Kolda.Les manifestants, qu'il a estimés à  plus de 200, se sont rendus chez le sous-préfet de Tanaff pour demander une protection de la part des autorités sénégalaises. Ils ont par ailleurs menacé de bloquer la frontière avec la Guinée-Bissau si rien n'est fait, a ajouté M. Kouyaté, responsable des jeunes de son village. Le 25 septembre dernier, trois membres présumés du MFDC avaient été tués et sept autres personnes, dont un officier sénégalais, avaient été blessées, après le braquage de 4 véhicules suivi d'un violent accrochage entre assaillants et militaires dans la même région, non loin de la frontière avec la Guinée-Bissau. Kolda est située en Casamance, province méridionale du Sénégal habituée à  des attaques armées attribuées pour la plupart au MFDC, qui y mène depuis décembre 1982 une rébellion indépendantiste.Le Mouvement a organisé du 6 au 8 octobre dernier des "assises", dont les conclusions ont été remises vendredi au ministre sénégalais de l'Intérieur et des Collectivités locales, Macky Sall. A l'issue de ces assises, le secrétaire général du MFDC, Jean-Marie François Biagui, avait déclaré que son organisation ne renonçait pas à  l'indépendance de la Casamance, mais souhaitait "une solution intermédiaire" à  la crise en cours depuis plus de vingt ans.
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la casamance jy suis aller quand j'était gosse s'était encore peace a l'epoque je suis retourné au senegal ya de sa 4 ans mais vers dakar cette fois .
pour info ya des touriste qui se sont fait enlever en casamance dans les années 90 ....
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Citation :Une journaliste expulsée du Sénégal, une première dans l'histoire du pays
DAKAR, 23 oct (AFP) -

Le Sénégal a décidé jeudi d'expulser la correspondante de Radio France Internationale (RFI), Sophie Malibeaux, une première dans l'histoire de ce pays jusqu'alors "connu pour son attachement aux valeurs de démocratie et de liberté", selon des organisations de défense des journalistes.

Dans un communiqué rendu public à  Dakar, la direction de RFI a annoncé que les autorités sénégalaises n'avaient pas accepté de revenir sur cette décision prise le 7 octobre dernier à  l'encontre de la journaliste française.

Le Sénégal lui reprochait une couverture "tendancieuse" des discussions alors en cours à  Ziguinchor, en Casamance (sud), région en proie à  une rébellion indépendantiste depuis plus de vingt ans.

Un responsable du ministère sénégalais de l'Intérieur l'avait également accusée d'avoir commis une "ingérence grave et manifeste dans les affaires intérieures" du pays, peu avant que la décision de l'expulser ne soit alors suspendue, à  quelques minutes de son départ pour Paris.

Selon le communiqué reçu jeudi par l'AFP, "le directeur général adjoint aux antennes et à  l'information de RFI, Gilles Schneider, s'est rendu à  Dakar du 20 au 22 octobre pour convaincre les plus hautes autorités sénégalaises de revenir sur leur décision d'expulser Sophie Malibeaux", mais "cette série d'entretiens n'a pas permis de lever cette mesure".

"La direction de RFI", qui "réaffirme sa confiance à  Sophie Malibeaux", "conteste cette mesure" et "déplore que celle-ci soit obligée de quitter le territoire sénégalais", ajoute la même source, sans précision de date.

Sophie Malibeaux, 37 ans, travaille pour RFI depuis 1991. Avant son affectation par cette radio à  Dakar en aoà»t 2002, elle a notamment travaillé pour la chaîne de télévision japonaise NHK, puis pour plusieurs organes de la presse française comme correspondante à  Tokyo.

La mesure, qui constitue une première au Sénégal, selon le Conseil pour le respect de l'éthique et de la déontologie (CRED), a été décriée par plusieurs organisations de défense des journalistes et des droits humains.

"Nous sommes scandalisés! Cela donne du Sénégal une image honteuse", celle d'"un pays o๠la liberté de la presse n'est pas respectée", a déclaré à  l'AFP le secrétaire général de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'Homme (Raddho, ONG), Alioune Tine.

Lorsque la décision d'expulsion avait été annoncée le 7 octobre, "nous avions demandé que cette mesure soit annulée", a de son côté rappelé le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), Alpha Sall, également responsable de l'Union des journalistes de l'Afrique de l'Ouest (UJAO, basée à  Dakar).

"Nous sommes profondément surpris et choqués, surtout dans le contexte actuel, avec ce qui (s'est) passé en Côte d'Ivoire", a indiqué M. Sall.

Mercredi, la Raddho avait établi un lien entre la décision du Sénégal d'expulser Sophie Malibeaux et l'assassinat de Jean Hélène, correspondant de RFI en Côte d'Ivoire, tué mardi soir à  Abidjan par un policier.

"Bien que ces deux cas aient connu des issues différentes", il s'agit "d'une même question: les entraves à  la libre exercice du devoir d'informer juste et vrai", avait estimé l'ONG.

Jean Hélène, nom de plume de Christian Baldensperger, 50 ans, a été tué par un policier présenté par les autorités ivoiriennes comme le sergent Théodore Sery.

Son corps a été rapatrié jeudi vers la France à  bord d'un avion militaire spécial. Une enquête a été ouverte, les auditions de témoins se poursuivaient mais on ignorait toujours jeudi soir les motifs et les circonstances exactes du meurtre du journaliste de RFI.

Il doit être inhumé le 27 octobre à  Mulhouse (est de la France).
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