Sam. 16 Nov. 2002, 21:31
0 | 0 | ||
Indiquez tout les renseignement possibles !
(la date, le sujet, le nom de du journal ou de la revue, etc...)
Abonnez-vous pour etre maintenu par email d'un nouveau post dans ce sujet.
ALERTE ! Annonce d'articles dans la presse
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Sam. 16 Nov. 2002, 21:31
Indiquez tout les renseignement possibles ! (la date, le sujet, le nom de du journal ou de la revue, etc...) Abonnez-vous pour etre maintenu par email d'un nouveau post dans ce sujet.
Ven. 31 Jan. 2003, 09:53
Il est a noté que c'est une pleine page, est que c'est le premier article du dossier « Paris, tiens bon » Thomas, Gilles
Ven. 07 Fév. 2003, 09:28
(extrait de « 20 minutes » du Vendredi 7 février 2003) Thomas, Gilles
Mar. 11 Fév. 2003, 10:20
Thomas, Gilles
Mar. 11 Fév. 2003, 10:27
Bonnes visites jeff
Mar. 11 Fév. 2003, 11:38
Il y aura une nouvelle visite au mois de Juin
Lun. 17 Mars 2003, 10:34
Dans "20 minutes", page 2-3 "Ces galeries souterraines qui inquiètent les Parisiens."
Lun. 17 Mars 2003, 11:19
20 Minutes, 2003-03-17 Les galeries de carrières qui pullulent sous la capitale remontent à lâépoque romaine. Elles ont été creusées au fil des siècles, sur 5000 hectares, dans toute lâIle-de-France, afin dâalimenter en pierres les travaux de construction. Celles qui courent sous les boulevards des Maréchaux fournirent, par exemple, les bâtisseurs de Paris jusquâau xviiie siècle. LâInspection générale des carrières surveille ces galeries, comblant celles jugées insalubres par injections de béton. «Il est dommage de négliger ce patrimoine inestimable», déplore Maud Vivien, de lâOrganisation pour la connaissance et la restauration dâAu-dessoubs-terre.Elle sâinquiète des travaux du futur tramway des Maréchaux, qui reliera le pont Garigliano à la porte dâIvry. Au xixe siècle, militaires, brigades dâinspection et ouvriers fréquentaient les galeries à lâaplomb du tracé, y laissant gravures, dessins, épures, plaques de rues⦠Autant de trésors qui risquent de finir sous le béton.
graine
Lun. 17 Mars 2003, 11:22
Lundi 17 Mars 2003 XIIIe. Un mois après lâeffondrement de la cour de lâécole Auguste-Perret, des questions demeurent Le ballet des bétonneuses ne cesse quâaprès 19h30 sur lâavenue de Choisy, fermée partiellement à la circulation. Devant la cour de lâécole Auguste-Perret effondrée il y a un mois, deux grosses pompes aspirent le béton pour lâinjecter dans le gouffre. «On a 14000 m3 à remplir», précise un ouvrier. Quatre agents de sécurité de la Mairie, vêtus de noir, sont toujours en faction devant lâimmeuble du 101, attenant à lâétablissement.Il avait été évacué le 20 février, en application du principe de précaution. Dans le quartier, lâeffondrement nâoccupe plus autant les esprits, ce qui nâempêche pas certaines rumeurs. «Il paraît quâil y aurait eu des répercussions dans les parkings», affirme un ha- bitant dâun immeuble jouxtant lâécole. «Certains disent que des bâtiments alentours sont fissurés, renchérit Catherine, une riveraine. Mais je nâai pas envie de mâangoisser. Chez moi, il nây a rien à signaler. Je pense que câest surtout pour les gamins que câest difficile. Beaucoup voudraient réintégrer leur école.» Depuis lâeffondrement du 15 février, les 900élèves des 35classes du groupe scolaire ont été répartis dans différents établissements, pour certains dans le 20earrondissement, même si la plupart sont restés dans le quartier. Une liaison de bus assure leur transport à partir du parc de Choisy, tout proche des lieux du sinistre. Cette organisation engendre de nombreux inconvénients. «Les enfants sont fatigués. La plupart des manuels et des livrets scolaires sont restés à Auguste-Perret, ce qui pose des problèmes pour leur travail et leur orientation», proteste Nadia, une mère dâélève. Lâinquiétude des parents porte surtout sur lâannée prochaine. «Nous craignons quâils soient définitivement intégrés dans dâautres écoles, avec, à la clé, la fermeture dâAuguste-Perret», poursuit Nadia, qui se plaint du manque dâinformation. Une nouvelle rencontre a lieu ce soir à la mairie du 13e.Les parents dâélèves se disent prêts à «menersdes actions» si la situation nâest pas éclaircie. chiffres 300 kilomètres de galeries historiques sont recensés à Paris. 20 mètres. Câest la profondeur des carrières les plus enfouies. 2300 kilomètres. Câest la longueur du réseau dâégouts et dâeau potable. Les galeries de chauffage urbain sâétendent sur 400 km, celles dâEDF sur 120 km. 21morts dans le seul effondrement mortel de lâIle-de-France, à Clamart (Hauts-de-Seine), en 1961.
Ven. 25 Juil. 2003, 13:54
page 34 a 43.... plusieurs photos sympas , reservoirs montsouris la fameuse stele de Philibert Aspairt. :x
Mer. 01 Oct. 2003, 10:45
Dans ce numéro, un article sur les méthodes employées pour fermer les puits des mines du nord Pas de Calais : Mines du Nord : 611 puits à sécuriser . Avant 2007, les Charbonnages de France devront avoir rebouché les puits dangereux pour la population. Un défi...
--> Même pas mort mais déjà six pieds sous terre <--
Ven. 13 Fév. 2004, 08:46
Dim. 15 Fév. 2004, 14:27
pouach a écrit :Un article dans 20 minutes ce matin. Classique.Un rapport a pourtant été rendu officiel qui met en cause, non les carrières, mais l'insuffisance de soutènement durant les travaux.
graine
Ven. 09 Avr. 2004, 09:26
METRO 09/04/2004 : De l'art à partir de plaque d'égout ! http://www.metrofrance.com/site/home.php...mots=égout Citation :METRO 09/04/2004
Jeff95 ~(o|;o)
Ven. 09 Avr. 2004, 09:35
très belle et finement travaillée.
Advienne que pourra une fois en bas!
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
« Sujet précédent | Sujet suivant »
|