Ven. 20 Oct. 2017, 18:34
4 Aurige Beach Gizmo Tainted |
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(Ven. 20 Oct. 2017, 18:10)noktambule a écrit :(Ven. 20 Oct. 2017, 17:19)Gizmo a écrit :(Ven. 20 Oct. 2017, 09:41)noktambule a écrit : Petite question: Si cela était techniquement possible, seriez vous d'accord pour que les accès soient définitivement scellés, afin que plus personne ne pénètre dans le GRS et ainsi empêcher la dégradation de ce patrimoine inestimable et le garder ainsi en l'état pour les générations futures?
C'est contradictoire ton truc, tu parles de fermer définitivement, puis de le garder pour les générations futures. Ou c'est pas clair.
A partir de quelle génération on y aura droit à nouveau ?
Si c'est définitif, à quoi bon protéger un patrimoine si c'est pour ne plus jamais le montrer à qui que ce soit ?
Je ne suis pas pour.
Pour la grotte de lascau ça n'a posé aucun problème. Accès réservé au chercheurs. Pour le communiqué des mortel, il resterait des photos et autres bouquins. C'est à ce prix la que l'on conserve un milieu fragile. Je ne vois pas où est la contradiction.
Lascau, on a considéré à raison que c’était une œuvre d'art en soit.
Comme c’était trop fragile pour faire visiter ce qui était devenu un musée, on a fait une copie et fermé l'original.
Les kta, c'est quand même pas que la dimension patrimoniale, ou alors tu n'as rien compris.
C'est un lieu hors la loi et hors le temps, un autre monde dans lequel une partie de la jeunesse qui a su trouver le chemin (un peu trop facilement ces dernières années) vient s'étourdir, se retrouver et devenir des adultes différents et j'ose le dire: des adultes meilleurs.
En somme dans ce monde de surface qui devient de plus en plus uniforme et ou tout devient interdit et ou règne le politiquement correct, les kta restent à Paris le dernier endroit vraiment underground ou règne encore la liberté.
Ton idée, c'est de priver la génération suivante de la possibilité de trouver une trappe pour s’échapper du carcan qu'on nous impose et de faire vraiment de tous des moutons.
C'est pas une bonne idée, je suis contre moi aussi
Au feu de la frontale, nous avons tous vingt ans. Et par deux murs flanqués, qui eux en ont deux cents.