Mer. 13 Juil. 2016, 09:58
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(Mer. 13 Juil. 2016, 09:44)Georges V a écrit : Illusion. On arrête de se battre une fois qu'on s'est reniflé et qu'on saît qui est le plus fort et le plus faible, ou qu'on a conclu qu'on était sur un pied d'égalité et qu'il n'y avait pas de raison immédiate de se battre pour remettre en question de le statut-quo.
La compétition n'est pas la baston permanente. Tu parles de fort et de faible et de statu quo : ton cadre d'analyse est bien celui de la compétition, sa concrétisation fut-elle latente.
(Mer. 13 Juil. 2016, 09:45)lamer a écrit : Je pense que dans la nature il y'a une notion de survie et d'innée, qui entraine une compétition. Dans les compétions humaine de nos sociétés il est rarement question de survie mais plutôt d’égo/argent... Les deux ne sont pas comparables.
C'est pas forcément une question de survie. Le coq qui se fait respecter par la basse-cour et qui affirme son autorité en montant chanter sur le tas de fumier n'est pas dans une logique de survie. Il affirme son pouvoir. Pour le pouvoir, pour l'égo. Et le moment venu, pour sa taper les bonnasses parmi les poules, comme le dit Georges.