Effectivement, le livre de P. Ch Guiollard est sans doute le témoignage le plus complet existant sur cette mine (que l'on peut toujours trouver en librairie). Elle a été sous les "feux de l'actualité" régionale dans les années 90, lorsque le quotidien "La Montagne" a réalisé un article sur la mine, en présentant notamment une photo de tonneaux en bois, sans couvercle, "contenant vraisemblablement de l'arsenic", selon le journaliste. Lors de ma première visite en jan 92, je les ai photographiés ; deux ans après, ils n'y étaient plus.
On pouvait voir à l'époque, dans les bureaux (portes non fermées), hormis la comptabilité de la mine, un tas d'ouvrages, de brochures spécialisés dans le domaine, des catalogues de matériels miniers, des livres d'actionnaires... Ces bâtiments étaient les seuls qui semblaient intacts. Plus haut, on trouve encore les maisons de la cité ouvrière et l'ancienne école.