Ven. 30 Juin 2006, 09:43
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Je précise que je ne dis absolument pas tout cela pour les excuser ![/quote]
Peut être même ont-ils vécu des souffrances similaires dans leur enfance; cela se voit souvent dans les affaires de pédophilie .
Notre société est malade; trop de gens manquent, ou ont manqué, de soutien et d'attention psychologique lorsque c'était nécessaire (alors que chez d'autres peuples l'isolement est un non-sens, même l'idiot du village n'est pas livré à lui-même!). L'individualisme de masse fait beaucoup de dégâts...
Le résultat c'est que des gens deviennent fous, et s'ils ont été traumatisés il arrive aussi qu'ils deviennent fous dangereux (j'englobe le crime et le viol dans le terme "fous"...)
[quote="dindon"][qoute="Ariane"]
qui sont peut-être encore plus éloignés de la "solution"
finale, la solution ?[/qoute]
Je ne sais pas si on peut décider de la vie ou de la mort d'une personne, surtout en sachant qu'il est très difficile de trouver un coupable sans le doute affreux du "et si c'était pas lui".
Mais malgré tout un homme qui viole et assassine un enfant est libre de le faire ou non. Quel que soit son passé, il est maître de ses actes... Enfin, je crois... hock:
Si une solution existait je dirais thérapie approfondie du sujet dans le but de remonter au "pourquoi" il en est arrivé là , chose dont il n'a pas forcément conscience lui-même; mais là on peut rêver et puis je n'ai plus confiance aucune dans les thérapies et les médecines occidentales Ensuite, remonter au "pourquoi" ne dit pas si le sujet peut se repentir ou non, et dans tous les cas, pour moi, quand on fait autant de mal on se maudit soi-même pour le restant de ses jours. A moins de devenir un saint et de partir sauver le monde...(je rêve...)
Et puis, il existe des gens foncièrement méchants qui prennent leur pied à faire souffrir et là ...Je ne crois pas si ça se soigne.
Je crois que si j'avais un môme et qu'on lui faisait ça, moi je rêverais d'une machette pour couper les mains et le zizi de l'auteur de cet acte horrible et je le laisserais finir ses jours comme le dernier des zombies.
La haine engendre la haine, et la spirale ne s'inverse pas.
Ou si rarement.
Hope can never die.