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Omnibus fluvial à  Paris (et villes voisines)
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Suite de <!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/TransportsIDF/message/447">http://fr.groups.yahoo.com/group/Transp ... essage/447</a><!-- m --> --> c'est du yahoogroupe, voir les suites en dessous de ce message, et comme la capacité des suites est limitée, voir aussi s'il n'y a pas des suites des suites

Un omnibus sur la Seine
<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.leparisien.com/home/maville/paris/article.htm?articleid=245974129">http://www.leparisien.com/home/maville/ ... =245974129</a><!-- m -->

Faire son shopping ou sortir à  Paris grâce à  une sorte de « métro fluvial » circulant sur la Seine, ce sera bientôt possible. Du moins si le projet de ligne reliant le Val-de-Marne, Paris et les Hauts-de-Seine continue sur sa lancée actuelle. Hier après-midi, la mairie de Paris a reçu ses partenaires (région, conseils généraux du Val-de-Marne et des Hauts-de-Seine ainsi que plusieurs communes de ces départements) pour leur présenter l'étude de marché réalisée à  ce sujet.
D'après ce document que « le Parisien » a pu se procurer, tous les feux sont au vert pour lancer le projet. Il est faisable techniquement et répondrait à  une vraie attente. Après enquête auprès de 3 000 ménages, 90 % des personnes interrogées ont ainsi déclaré « tout à  fait intéressant » (60 %) ou « plutôt intéressant » (30 %) le projet lancé par la Ville de Paris. Ce nouveau service s'adresserait plutôt aux personnes qui ont du temps pour leurs transports (RTT, vacances, retraités...) : 67 % des personnes pensent utiliser les navettes fluviales pour leurs loisirs et leurs courses contre 20 % pour leurs trajets domicile/travail.
Il est vrai qu'avec une vitesse maximale variant entre 12 et 18 km/heure, ce bus sur eau pourrait difficilement rivaliser avec les autobus et le métro.
Deux projets ont été examinés de près. Le premier est une ligne omnibus qui desservirait 35 arrêts entre le port à  l'Anglais de Vitry (94) et le barrage de Suresnes (92), soit un trajet beaucoup plus long que l'actuel Batobus qui ne dessert que 8 arrêts entre la tour Eiffel et le Jardin des plantes. Le second consisterait à  ouvrir 4 lignes différentes sur des tronçons indépendants les uns des autres.
Les recettes annuelles de la ligne omnibus varieraient entre 7,92 et 9,26 millions d'euros selon que le service serait accessible aux cartes orange avec ou sans supplément. Les recettes annuelles des 4 lignes indépendantes, quant à  elles, oscilleraient de 2,12 à  un peu plus de 5 millions d'euros. Pour les passagers occasionnels, le prix du billet serait de 4 € pour l'omnibus et de 7 € sur les 4 mini-lignes.

Rentable et attractif

La première option semble donc préférable. « L'omnibus est nettement plus intéressant, estime ainsi Denis Baupin, l'adjoint Vert au maire de Paris, chargé des Transports. D'autant qu'il n'obligerait pas les passagers à  faire des changements. » Rentable, réalisable techniquement et attrayante aux yeux du public : la navette fluviale réunit tous les critères pour être un jour lancée. Reste encore à  trouver les fonds pour aménager les escales et construire les bateaux. Pour la ligne continue, il faudrait pas moins de 45,2 millions d'euros d'investissements.
Qui sera prêt à  mettre la main à  la poche ? La réunion d'hier en tout cas a visiblement convaincu les participants. Que ce soit la région, le département des Hauts-de-Seine représenté par son vice-président, Patrick Devedjian, ou les communes du bord de Seine représentées par André Santini au titre de l'Association des maires d'Ile-de-France (Amif), tous les partenaires de la mairie de Paris ont manifesté leur enthousiasme pour le bus de Seine. Denis Baupin se veut confiant. « Si les démarches ne traînent pas trop, on pourrait lancer le service en 2008 » se plaît déjà  à  imaginer le Monsieur Transports de la capitale.

Marie-Anne Gairaud
Le Parisien , vendredi 04 février 2005
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#2
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www.batobus.com a écrit :DATES ET HORAIRES
Fonctionnement du service :
Du 5 février 2005 au 2 janvier 2006
Horaires :
De 10h30 à  16h30 du 5 février au 17 mars 2005 et
du 3 novembre 2005 au 2 janvier 2006

De 10h à  19h du 18 mars au 21 avril 2005 et
du 1er octobre au 2 novembre 2005

De 10h à  22h du 22 avril au 30 septembre 2005

Fréquence des bateaux :
Entre 15 et 30 minutes.

TARIFS
Forfait 1 jour : 11 euros, 7 euros pour les porteurs de Cartes Orange
Le Batobus, c'est sympa pour les touristes, mais comme moyen de transport des Franciliens, je n'y crois pas. Le tarif, les fréquences, les plages horaires... tout est fait pour les rebuter !
Et puis il ne faudrait pas menacer le lucratif business des bateaux-mouches...
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#3
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Hérisson a écrit :Le Batobus, c'est sympa pour les touristes, mais comme moyen de transport des Franciliens, je n'y crois pas. Le tarif, les fréquences, les plages horaires... tout est fait pour les rebuter !
Et puis il ne faudrait pas menacer le lucratif business des bateaux-mouches...
L'article du Parisien estime à  3h15 la durée du trajet.
A ma connaissance, les bateaux-mouches n'ont jamais cherché à  relier deux endroits différents.
La façon dont le gratuit Métro a traité le sujet a provoqué une discussion "linguistique" :
<!-- m --><a class="postlink" href="http://groups.google.com/groups?hl=fr&lr=&threadm=cu07um%24179c%241%40cabale.usenet-fr.net&prev=/groups%3Fhl%3Dfr%26lr%3D%26group%3Dfr.misc.transport.urbain">http://groups.google.com/groups?hl=fr&l ... ort.urbain</a><!-- m -->
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#4
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Le sujet est aussi traité dans le yahoogroupe "circule" <!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/</a><!-- m --> , l'association du même nom pour but de faire entendre la voix des usagers de la ligne C du RER, en Essonne notamment, pour obtenir une meilleure qualité de service. Il faut noter que pendant très longtemps, la SNCF s'est opposée à  la création d'un transport en commun nautique à  Paris, sous prétexte qu'elle répondait aux besoins Icon_lol

<!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/408">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/408</a><!-- m -->
<!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/409">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/409</a><!-- m -->
<!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/410">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/410</a><!-- m -->
<!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/411">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/411</a><!-- m -->
<!-- m --><a class="postlink" href="http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/412">http://fr.groups.yahoo.com/group/CIRCULE/message/412</a><!-- m -->
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#5
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Métro fluvial La Défense - Saint-Denis : 40 mn en bateau-bus

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.leparisien.com/home/maville/paris/article.htm?articleid=245995402">http://www.leparisien.com/home/maville/ ... =245995402</a><!-- m -->

LE BATEAU-BUS revient à  la mode. Après Paris, qui travaille au lancement d'un métro fluvial entre Suresnes et la capitale (voir encadré) , la RATP réfléchit à  une liaison La Défense - Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Selon une étude commandée par la Régie des transports parisiens que nous nous sommes procurée, ce projet séduit les usagers et permettrait de relier le quartier d'affaires à  L'Ile-Saint-Denis en à  peine quarante minutes.
« Nous avons interrogé les entreprises situées dans un rayon de cinq cents mètres de chaque côté de la Seine, entre La Défense et L'Ile-Saint-Denis, et beaucoup estiment que cette liaison fluviale est une très bonne idée pour les déplacements domicile - travail des salariés », détaille Olivier Sirjean, membre de l'agence du développement territorial de la RATP des Hauts-de-Seine.
De 5 000 à  6 000 usagers pourraient l'emprunter chaque jour La RATP estime que 2 700 employés pourraient emprunter quotidiennement ce métro fluvial. Si l'on y ajoute les touristes et les habitants non salariés, la Régie escompte jusqu'à  1,3 million de clients annuels, soit près de 5 000 à  6 000 personnes transportées chaque jour. Le principe d'une navette est d'ailleurs jugé « très intéressant » par 36 % des habitants du secteur qui évoquent spontanément deux avantages : la rapidité (le bateau permet d'échapper aux embouteillages en évoluant sur la Seine à  la vitesse de croisière de 15 km/h) et le plaisir de voyager sur l'eau. L'escale de La Défense intéresse plus particulièrement les habitants de Levallois et de Saint-Denis. Pour l'heure, trois arrêts ont été retenus le long des quais : Saint-Denis, Asnières à  proximité du Cimetière des chiens, et La Défense près du pont de Neuilly. Ces escales seraient aménagées de manière à  faciliter les correspondances avec les RER, métros et bus. D'autres escales, destinées aux touristes, pourraient être ouvertes pendant la journée, en dehors des heures de pointe. La RATP souhaite par ailleurs que les usagers puissent utiliser leur carte orange pour emprunter ce mode de transport alternatif. Les bateaux auraient quant à  eux une capacité de deux cents places et des départs seraient prévus tous les quarts d'heure, le service étant assuré entre 7 heures et 20 heures. « L'Ile-de-France manque de moyens de transport de banlieue à  banlieue, et les liaisons existantes entre Saint-Denis et La Défense ne sont pas très pratiques, constate Catherine Candelier, élue verte au conseil régional et vice-présidente du Port autonome de Paris. Il y a donc un vrai potentiel, surtout quand on sait que la fréquentation des bateaux-bus est passée à  Paris de 480 000 passagers en 2000 à  700 000 en 2004. Je constate que les modes de transport novateur ont toujours du succès, comme le prouve l'engouement phénoménal des usagers pour le tramway T 2 qui relie La Défense à  Issy-les-Moulineaux. » La RATP prépare un dossier de présentation du projet destiné aux élus des deux départements concernés et au conseil régional. Le Port autonome de Paris et le comité du tourisme des Hauts-de-Seine sont intéressés. Reste à  peaufiner la question des partenariats financiers, de la faisabilité technique et du coà»t d'exploitation de cette liaison fluviale qui ne devrait pas voir le jour avant au moins trois ans.

Frédéric Mouchon
Le Parisien , samedi 05 mars 2005

Les deux options parisiennes

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.leparisien.com/home/maville/paris/article.htm?articleid=245995403">http://www.leparisien.com/home/maville/ ... =245995403</a><!-- m -->

APRES UNE VASTE enquête lancée auprès de 3 000 ménages qui se sont montrés tout à  fait intéressés, à  une écrasante majorité, Paris songe sérieusement à  un métro fluvial qui relierait Suresnes à  la capitale. Deux projets ont été examinés. Le premier est une ligne omnibus qui desservirait 35 arrêts entre le port à  l'Anglais de Vitry (Val-de-Marne) et le barrage de Suresnes, soit un trajet beaucoup plus long que celui de l'actuel bateau-bus qui dessert 8 arrêts seulement entre la tour Eiffel et le jardin des Plantes.
Le second projet envisagé, quant à  lui, propose d'ouvrir 4 lignes différentes sur des tronçons indépendants les uns des autres.

Le Parisien , samedi 05 mars 2005
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La même chose, mais version distribuée dans l'édition de Seine-Saint-Denis

Un bateau-bus pourrait relier Saint-Denis à  La Défense

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.leparisien.com/home/maville/seinesaintdenis/article.htm?articleid=245995393">http://www.leparisien.com/home/maville/ ... =245995393</a><!-- m -->

LE BATEAU-BUS revient à  la mode et la RATP réfléchit très sérieusement à  une liaison Saint-Denis/La Défense. Selon une étude commandée par la Régie des transports parisiens, que nous nous sommes procurée, ce projet séduit les usagers et permettrait de relier le quartier d'affaires à  L'Ile-Saint-Denis en à  peine quarante minutes. « Nous avons interrogé les entreprises situées dans un rayon de cinq cents mètres de chaque côté de la Seine, entre La Défense et L'Ile-Saint-Denis, et beaucoup estiment que cette liaison fluviale est une très bonne idée pour les déplacements domicile travail des salariés », détaille Olivier Sirjean, membre de l'agence du développement territorial de la RATP des Hauts-de-Seine.

5 000 à  6 000 passagers par jour La RATP estime que 2 700 salariés pourraient emprunter quotidiennement ce métro fluvial. Si l'on y ajoute les touristes et les habitants non salariés, la Régie escompte jusqu'à  1,3 million de clients annuels, soit près de 5 000 à  6 000 personnes qui seraient transportées chaque jour. Le principe d'une navette est d'ailleurs jugé « très intéressant » par 36 % des habitants du secteur, qui évoquent spontanément deux avantages : la rapidité - le bateau permet d'échapper aux embouteillages en évoluant sur la Seine à  la vitesse de croisière de 15 km/h - et le plaisir de voyager sur l'eau. L'escale de La Défense intéresse plus particulièrement les habitants de Saint-Denis et de Levallois. Pour l'heure, trois arrêts ont été retenus le long des quais : Saint-Denis, Asnières à  proximité du cimetière des Chiens, et La Défense près du pont de Neuilly. Ces escales seraient aménagées de manière à  faciliter les correspondances avec les RER, métros et bus. D'autres escales, destinées aux touristes, pourraient être ouvertes pendant la journée, en dehors des heures de pointe. La RATP souhaite par ailleurs que les usagers puissent utiliser leur carte orange pour emprunter ce mode de transport alternatif. Les bateaux auraient quant à  eux une capacité de deux cents places et des départs seraient prévus tous les quarts d'heure, le service étant assuré entre 7 heures et 20 heures. « L'Ile-de-France manque de moyens de transport de banlieue à  banlieue et les liaisons existantes entre Saint-Denis et La Défense ne sont pas très pratiques, constate Catherine Candelier, élue verte au conseil régional et vice-présidente du Port autonome de Paris. Il y a donc un vrai potentiel, surtout quand on sait que la fréquentation des bateaux-bus est passée à  Paris de 480 000 passagers en 2000 à  700 000 en 2004. » La RATP prépare désormais un dossier de présentation du projet destiné aux élus des deux départements concernés et au conseil régional. Reste à  peaufiner la question des partenariats financiers, de la faisabilité technique et du coà»t d'exploitation de cette liaison fluviale qui ne devrait pas voir le jour avant au moins trois ans.

Photo : La RATP réfléchit à  un projet de métro fluvial, sur le modèle des bateaux-bus parisiens. (LP/J.B.QUENTIN.)


Frédéric Mouchon
Le Parisien , samedi 05 mars 2005
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