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(Mar. 02 Fév. 2021, 14:04)BRTeam a écrit : a reproduire
https://www.huffingtonpost.fr/entry/comm...4bad32ee60

Si tu as de l'argent à jouer pourquoi pas.
Pour ma part je préfère les laisser jouer entre eux à leur jeu à la con.
----------------------------------------------------  Cancer des réseaux sociaux -------------------------------------------------------
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Black
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Au delà de la portée politique de l'acte, on peut déjà saluer la capacité d'organisation qui a permis de creuser, depuis la surface d'un parc public londonien et pendant trois mois, un tunnel et un espace pour loger 9 personnes sans que les condés soient au courant (a priori) :

https://www.francetvinfo.fr/monde/royaum...83575.html
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Beach
LOUL
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"Notre-Dame de Paris en quête des bonnes pierres et des bonnes carrières pour sa restauration"

https://amp.lefigaro.fr/culture/notre-da...n-20210204
Et demain on reviendra te couper ton zézette
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Dave
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https://www.lanouvellerepublique.fr/loir...MtQIcI5_n4

une très belle carrière.
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https://www.leparisien.fr/sciences/quato...1481423552

Quatorze volontaires vont se confiner 40 jours dans une grotte sans… montre !
A partir du 7 mars, 14 personnes privées de repères temporels et encadrées par l’aventurier Christian Clot vont s’enfoncer sous terre en Ariège. Objectif de cette expédition scientifique baptisée «Deep Time» : mesurer les effets sur le cerveau d’un confinement extrême.

Par Vincent Mongaillard
Le 13 février 2021 à 07h05
Quand des millions de Français redoutent un nouveau confinement, eux l'attendent avec impatience. A partir du 7 mars, quatorze volontaires vont vivre durant 40 jours enfermés dans une grotte en Ariège sans montre, ni lumière naturelle pour les besoins d'une ambitieuse aventure scientifique baptisée « Deep time ». Pilotée par l'explorateur franco-suisse Christian Clot, 48 ans, et animée par une armée de chercheurs, cette expérience unique au monde vise à décrypter les comportements du cerveau quand celui-ci est privé de tout repère temporel.

Elle doit répondre à une question totalement d'actualité : comment gérer la désorientation lorsque les bipèdes sont soumis à une situation nouvelle à l'instar des deux confinements de 2020? Une étude orchestrée par l'Institut de l'adaptation humaine et dirigée par Christian Clot portant sur les impacts psychologiques de la pandémie de Covid-19 a déjà montré l'an dernier que plus de 40% des Français ont « perdu de la notion du temps et de la capacité de projection », ayant du mal à s'imaginer dans le futur.

LIRE AUSSI > Déprime post-Covid : perte d’envie, agressivité… les signes qui doivent alerter

Le projet est soutenu par une vingtaine d'instituts et de laboratoires de recherche dont l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) ou l'ENS (Ecole normale supérieure). C'est à Ussat, près de Tarascon-sur-Ariège, au cœur de la grotte de Lombrives (« la plus vaste d'Europe » dixit le site Internet maison) que les prétendants au dépaysement vont s'enfoncer sous terre. Ce site touristique est actuellement fermé aux visiteurs en raison de la crise sanitaire.

Les bénévoles de « Deep Time », « tous issus de la société civile », installeront leur camp de base à une centaine de mètres sous la roche et à environ 1 km de l'entrée de la cavité. Dans cette bande fédérant autant d'hommes que de femmes figurent un biologiste, une infirmière, une psychomotricienne mais aussi une bijoutière, un médecin urgentiste, un chauffeur de bus, un prof de maths ou encore une guide trek.

«Notre système va totalement se dérégler », pronostique Christian Clot, vice-président de la Société des explorateurs français. Mélusine Mallender
«Notre système va totalement se dérégler », pronostique Christian Clot, vice-président de la Société des explorateurs français. Mélusine Mallender  
Avant et après cette « expédition au-delà du temps », les cerveaux seront observés sous toutes les coutures grâce à une IRM (imagerie par résonance magnétique). Sous terre, le rythme cardiaque et le sommeil des aventuriers bardés de capteurs seront disséqués. Des prélèvements sanguins et salivaires sont également programmés. Les données seront ensuite transmises à une équipe scientifique composée de neurobiologistes, de psychologues, d'un chronobiologiste, d'une éthologue… Les « spéléologues » cloîtrés plus d'un mois répondront enfin régulièrement à des questionnaires afin de mesurer leur état d'esprit, leurs émotions et leur sociabilité.

Aucun contact direct avec la surface
Totalement isolés, ils n'auront aucun contact direct avec la surface et seront sans connaissance des événements extérieurs. Ils ne disposeront d'aucun accès au temps et à la lumière du soleil. Le téléphone portable qui pourrait faire office de montre est évidemment interdit. Tous les ordinateurs et tablettes vont être configurés afin qu'ils ne puissent pas indiquer l'heure et le jour de l'année. Les lampes frontales permettront d'éclairer la troupe de baroudeurs lors de leurs pérégrinations souterraines.

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https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-p...1613244329

Homo sapiens, homo destructor ?

Tigres à dents de sabre ou marsupiaux géants ont disparu de la surface de la Terre au moment où Sapiens l'a colonisée. Coïncidence ? Non, affirment de nombreux scientifiques, qui accusent l'homme moderne de détruire son environnement… depuis toujours.

Pyromane, viandard et destructeur. Voilà le portrait peu reluisant qui émerge des travaux de paléontologie les plus récents. Homo sapiens n’a jamais été en paix avec son environnement. Pire, alors qu’il en dépend pour sa survie, il le violente depuis ses origines. "L’espèce humaine a deux caractéristiques principales, détaille Jean-Jacques Hublin, professeur au Collège de France. Elle s’attaque à des animaux plus gros qu’elle, et s’oriente de préférence vers des proies jeunes – ce qui n’est pas le cas des autres prédateurs." Il n’existe pas de meilleur moyen d’éradiquer une espèce occupant le haut de la chaîne alimentaire que de tuer ses jeunes. Les plus gros animaux se reproduisent peu, en effet : les gestations sont longues, très espacées dans le temps, et ne donnent naissance qu’à un ou deux petits à la fois. Qu’une génération s'affaiblisse, et toute l'espèce est menacée. Or, la colonisation de la planète par l'Homme, à partir de la dernière sortie d'Afrique (- 70.000 ans), coïncide avec la disparitions en quelques milliers d'années de la mégafaune : tigres à dent de sabre, marsupiaux géants, ours des cavernes… les victimes ?

La question divise la communauté scientifique depuis plus de soixante ans… sans être tranchée. Les uns, comme Stephen Wroe de l'université de Sydney (Australie), estiment que la principale cause de ces extinctions est le changement climatique, et notamment la remontée des températures du début de l'Holocène il y a 11.500 ans, après un maximum glaciaire particulièrement froid. Impossible, selon eux, que le peu d'hommes peuplant alors la Terre - les estimations de la population européenne lors de ce dernier maximum glaciaire oscillent entre 11.000 et 28.000 individus ! - puissent être responsables de la disparition de dizaines de milliers de grands mammifères. L'inadaptation de cette mégafaune à l'élévation des températures, l'incapacité de changer de diète alors que le couvert végétal se modifie paraissent être des explications plus raisonnables.

Les ancêtres des Aborigènes utilisaient des armes à manche pour chasser il y a 50.000 ans
D'autres chercheurs désignent Homo sapiens comme le coupable idéal… avec des arguments plutôt convaincants. Ils soulignent, d'une part, que certaines espèces ont disparu bien avant le réchauffement du climat, d'autre part, que les sites archéologiques montrent que l'Homme se nourrissait bel et bien de ces animaux. Les preuves les plus convaincantes sont à chercher du côté de l'Australie et de l'Amérique du Nord, là où l'extinction de la mégafaune coïncide parfaitement avec l'arrivée des premiers hommes. Ailleurs, et notamment en Europe, le rôle de Sapiens n'est pas établi.

Alors que les estimations précédentes le voyaient débarquer sur l'île-continent il y a 40.000 ans, les plus récentes stipulent que notre grand ancêtre a posé le pied en Australie autour de -50.000. C'est la première information sensationnelle livrée lors de sa découverte, au début des années 2010, par le gisement archéologique de Warratyi, une grotte située dans le centre-est de l'Australie : 4300 objets divers, 200 fragments d'os issus de 16 mammifères différents et d'un reptile. Mieux, dans un article paru dans Nature en novembre 2016, l'archéologue Giles Hamm, de l'université de La Trobe à Melbourne, montre que ces ancêtres des Aborigènes utilisaient déjà des outils et des armes à manche pour chasser. Des os de diprotodon ou wombat géant, un marsupial de trois mètres de long pour deux de haut, ont été retrouvés sur le site, ainsi que des coquilles d'œufs d'un oiseau immense. Cette découverte assoit les convictions des tenants d'une Blitzkrieg - la destruction, en moins d'un millier d'années, d'une mégafaune australienne sans défense face à un nouveau prédateur - sans pour autant convaincre toute la communauté scientifique ! Stephen Wroe réfute cette hypothèse, estimant qu'elle "repose sur des interprétations simplistes de phénomènes biogéographiques et anthropologiques complexes".
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lamer
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https://www.lemonde.fr/economie/article/...vxZHRD8iMI

Le jour où une voiture trop large a une nouvelle fois grippé le mécanisme de l’ascenseur, il a fallu se rendre à l’évidence : le parking de la rue du Grenier-Saint-Lazare, dans le centre de Paris, et son monte-charge révolutionnaire censé ranger, seul, les voitures dans les cases en sous-sol, avait vécu. Le garage a vivoté encore quelques années avant de fermer en 2014.

Les projets les plus éclectiques ont alors été imaginés pour trouver une seconde vie à cette fosse de béton creusée au nord du centre Pompidou : un gymnase, une boîte de nuit, voire un « centre virtuel d’art visuel et sensoriel » desservi par deux toboggans de 18 mètres.

C’est finalement le « grenier » de la Sogaris, spécialiste de la logistique urbaine, qui devrait voir le jour en 2022 : 1 200 m² sur six niveaux réservés à des restaurateurs, artisans ou commerçants, qui pourront y remiser leurs parasols l’hiver et leurs invendus de fin de saison. Et, dans une cabine de verre en surface, « un concierge axé récup et recyclage » assurera le lien avec le quartier. La mue de ce parking s’inscrit dans un mouvement général de transformation, à mesure que la voiture déserte les métropoles. A Paris, Indigo et Effia, n° 1 et n° 2 du stationnement, ont enregistré une baisse de 30 % de la fréquentation horaire ces dernières années.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les parkings restent un investissement rentable et peu contraignant
En 2018, une exposition au Pavillon de l’Arsenal révélait le potentiel immobilier des anciens « immeubles pour automobiles » en surface. Plutôt que les raser, pourquoi ne pas les convertir en logements, en bureaux ? Le foncier est rare et cher, l’équivalent de 4 tonnes de CO2 a déjà été dépensé par place, alors optimisons le bâti. Cette logique vaut désormais pour le souterrain. La lumière manque en sous-sol, les plafonds sont bas, mais des entreprises, notamment celles liées à l’approvisionnement des villes, s’accommodent de ces contraintes.
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plysdn
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https://www.lamontagne.fr/chavroches-032...CoA48f_07o

La grande époque dans l'histoire des fours à chaux, initialement construits au XVIII e siècle, se situe à partir des années 1830. Six fours à chaux étaient en activité jusqu'en 1971, à Chavroches.
En empruntant le petit chemin qui se situe en contrebas de l'auberge du village actuellement en réfection, en direction de La Pouge, vous découvrirez les gueules ouvertes de deux fours. Chavroches était alors un bourg peuplé car l'extraction de la pierre pour la transformer en chaux était une activité prospère.

La pierre extraite manuellement

La pierre était extraite manuellement et acheminée jusqu'aux fours par wagonnets. La chaux était livrée grâce aux chevaux qui furent ensuite remplacés par des camions. Le four était chargé par le haut, en alternant une couche de pierre et une couche de charbon.

La température devait atteindre 1.000° afin que la chaux puisse sortir sous forme de pierraille qui était ensuite broyée. La chaux était stockée dans des sacs afin de pouvoir être livrés.

L'activité des fours à chaux a permis le développement de la ligne de chemin de fer, plus connue sous le nom de « ligne du tacot » qui était gérée par la Société des chemins de fer économiques.

Le tacot a circulé de 1893 à 1939, entre Dompierre-sur-Besbre et Lapalisse. Il transportait des voyageurs ainsi que des marchandises. Au bas du bourg, on peut voir une partie de l'ancien tunnel qui permettait la traversée du village.

Laissez-vous tenter par le « circuit Saint Michel », qui vous mènera tout droit aux anciens fours à chaux de La Pouge.

https://fr.sputniknews.com/sci_tech/2021...une-etude/

Une nouvelle épidémie provoquée par d'autres types de coronavirus est possible, affirment des scientifiques qui ont analysé les liens entre diverses souches et des espèces de mammifères différentes. Ils ont identifié des porteurs potentiels, notamment les chats, les ours et les lapins.

Des scientifiques britanniques, grâce à une approche d'apprentissage automatique, ont évalué le nombre de variétés de coronavirus et leurs combinaisons chez les mammaliens. Les résultats ont montré que le risque d’apparition de nouvelles zoonoses potentiellement dangereuses pour l'Homme est beaucoup plus élevé que ce que les chercheurs pensaient auparavant, selon un article publié dans la revue scientifique Nature Communications.
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https://fr.goodtimepost.com/trou-profond...rNXpuaLiAQ
les scientifiques découvrirent que la roche à cette profondeur était beaucoup moins dense que ce qu’ils avaient imaginé. En conséquence, elle réagissait aux températures élevées de manière très étrange et même imprévisible. Comme ils savaient que leurs équipements ne supporteraient pas ces conditions, l’équipe abandonna le projets. Mais nous étions en 1992, déjà 22 ans après le premier forage.
Cependant, les chercheurs ont pu apprendre des choses fascinantes avant de sceller ce qu’on a surnommé le « Forage Superprofond de Kola ». Par exemple, à 6 kilomètres de profondeur, ils découvrirent de minuscules fossiles de plantes marines. Ces reliques étaient remarquablement intactes vu le temps qu’elles avaient passé sous des centaines de tonnes de roche, qui avaient elle-même deux milliards d’années.Cependant, une découverte encore plus incroyable fut faite dans les tronçons les plus éloignés du forage de « Kola Superprofond ». En mesurant les vagues sismiques, les experts avaient précédemment prévu que la roche sous nos pieds changeait du granit au basalt entre quatre et six kilomètres en dessous de la surface. Mais ils comprirent rapidement que ce n’était pas le cas, du moins, pas dans la péninsule de Kola.En effet, les scientifiques avaient beau creuser, ils ne trouvèrent que du granit, même au point le plus bas du forage. Ils en conclurent donc que ce changement dans les vagues sismiques était en réalité dû à des différences métamorphiques plutôt qu’à un passage au basalte. Pour eux, c’était une découverte essentielle ! Mais ce n’était pas fini : ils découvrirent aussi de l’eau sous forme liquide, plusieurs kilomètres sous la surface de la Terre, à des profondeurs que personne n’avait jamais explorées.Mais alors que des commentateurs enthousiastes avaient sauté sur cette découverte d’eau souterraine pour appuyer leurs théories bibliques, ce phénomène se révéla être en réalité le résultat d’une grande pression forçant les atomes d’hydrogène et d’oxygène à sortir de la pierre. Après cela, les roches imperméables les empêchent de s’évader et cela forme de l’eau qui reste coincée sous la surface de la terre.Le moment de la fermeture du forage Super profond Kola coïncida avec la chute de l’Union Soviétique et en 1995, le projet fut définitivement abandonné. Aujourd’hui, le site est banalisé comme « danger environnemental », même si les visiteurs peuvent voir quelques reliques de l’expérience dans la ville voisine de Zapolyarny, à une dizaine de kilomètres de là. Et Et, de manière impressionnante, les chercheurs n’ont pas encore battu son record, ce qui signifie que le forage reste le point artificiel le plus profond de la planète.Cependant, la course pour atteindre le centre de la Terre n’est toujours pas finir. Dans tous les océans du monde, on trouve des plateformes de forage du Programme International de découverte des Océans, qui continuent de creuser sous le sol de la mer grâce des équipements de plus en plus performants et capables de résister à des températures extrêmes. Mais cela suffira-t-il à percer les secrets du centre de la Terre ?
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https://actu.orange.fr/france/paris-une-...BxoLpG586A

Paris: au cœur d'une fête clandestine organisée au bord du périphériquepar BFMTV
Aucun geste barrière
L'intéressé précise également que pour accéder à la vaste salle en apparence désaffectée qui accueillait les festivités, il fallait marcher plusieurs minutes après avoir ouvert une porte de service le long du boulevard. En outre, les gestes-barrières n'étaient pas respectés. "Je suis le seul à porter le masque. La soirée est gratuite, il n'y a pas de prix d'entrée ni de consommations à la vente", ajoute-t-il auprès de BFMTV. Vers 1h30, la police est intervenue, après avoir noté du mouvement aux abords du périphérique. Les cinq organisateurs ont été interpellés et le matériel sono a été saisi.
Une autre soirée a dégénéré ce week-end en Île-de-France. Selon France Bleu, du côté d'Orly, plus de 100 personnes ont été repérées dans un stade. En arrivant sur place, les policiers ont été victimes de tirs de projectiles, l'un d'eux a été blessé. Cinq personnes, dont trois organisateurs ont été également interpellés. 59 participants ont été verbalisés.
Ces derniers mois, ce type de fête a été observé un peu partout en France. On se souvient notamment de celle de Joinville-le-Pont, dans le Val-de-Marne, à laquelle 300 personnes avaient participé. Un jeune homme a d'ailleurs perdu un œil après l'intervention des forces de l'ordre qui ont usé de grenades de désencerclement. Depuis, le concerné a porté plainte.
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alpha
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Gastrik
Shadal
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(Jeu. 25 Fév. 2021, 14:06)gump kta a écrit : https://actu.orange.fr/france/paris-une-...BxoLpG586A

Paris: au cœur d'une fête clandestine organisée au bord du périphériquepar BFMTV

BFM organise des fêtes clandestines maintenant ???
Quand tu ne sais plus où tu vas, retourne-toi et tu sauras d'où tu viens...    loulexplo.fr     objectifloul.fr
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Eldiablo9903
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https://actu.fr/ile-de-france/mery-sur-o...27983.html Peu avant 1h du matin, au cours de la nuit du vendredi 12 au samedi 13 mars 2021, les pompiers sont alertés par les gendarmes de la brigade de Méry-sur-Oise pour une intoxication à la suite d’un rassemblement d’une quarantaine de personnes dans les carrières interdites du chemin du Ru. Un lieu bien connu des raveurs qui y organisent régulièrement des soirées malgré l’interdiction mais surtout le risque qu’ils encourent.
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BiBi
LOUL
Shadal
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Subterranologie.com
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https://www.neozone.org/science/lyon-sel...templiers/ Lyon : selon cette théorie, les galeries souterraines « les arêtes de poisson » servaient à cacher le trésor des templiers
Jusqu’à présent, peu de choses ont été révélées sur ces arêtes de poisson. A quand datent-elles ? A quoi servaient-elles et à qui ? Autant de questions qui restent en suspens.
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SWAN
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https://actu.fr/ile-de-france/mery-sur-o...TUxkqzt4iM

Val-d'Oise. Rave-party interdite dans les carrières de Méry-sur-Oise : l'organisateur bientôt jugé
Poursuivi pour mise en danger d'autrui et l’organisation d’un rassemblement festif sans autorisation, l'organisateur de la rave-party dans les carrières de Méry sera jugé en mai.
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