4 membres en ligne. Connectez-vous !

Note de ce sujet :
  • Moyenne : 4.5 (2 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Recherche dans le sujet
Liens vers des articles de journaux
3
gaspard duval
la_gargouille
plysdn
0
C'est un peu plus large que ça, la zone de production du Gruyère est assez vaste en Suisse, détails ici: https://www.gruyere.com/le-gruyere-aop/l...ection-aop.

L'appellation "Gruyère" est régie par cet accord international qui permet à la France et à la Suisse d'utiliser le therme "Gruyère de part et d'autre de la frontière. https://www.admin.ch/opc/fr/classified-c....142.1.pdf

Mais pour moi il est clair que le Gruyère n'a aucun trou, de mon côté de la frontière...
Répondre
2
lamer
Monsieur S
0
https://www.francetvinfo.fr/economie/tou...03025.html

Grotte Cosquer : une merveille archéologique bientôt répliquée
Dans les calanques près de Marseille (Bouches-du-Rhône), une grotte abrite des peintures vieilles de 30 000 ans. Elle sera bientôt engloutie, mais une équipe travaille à sa reproduction en Dordogne.
Son histoire est vieille de 30 000 ans. Mettre en lumière l'art préhistorique centimètre par centimètre, telle est la mission de la bande de "faussaires" qui fabriquent en Dordogne la réplique de la grotte Cosquer, vouée à disparaître. Elle se trouve dans les calanques de Cassis, près de Marseille à 37 mètres de profondeur. Elle a été découverte en 1985 par le plongeur Henri Cosquer. Au bout d'un tunnel de 150 mètres, il tombe sur une immense cavité et des dessins. Il l'ignore, mais il vient de découvrir un trésor archéologique inestimable. Problème : dans quelques années, la grotte sera totalement inondée.

Un travail d'orfèvre
Retour en 2020 et en Dordogne. Les artisans ont 150 mètres carrés de parois à reconstituer, des peintures mais surtout un gros travail sur les volumes, pour que l'illusion soit parfaite. Des relevés 3D réalisés cette année à l'intérieur de la grotte et un casque de réalité virtuelle les épaulent dans leur vaste entreprise. "C'est sûr que j'aimerais énormément descendre dans la grotte, il y a des micro-détails (...) que l'on ne peut voir que sur l'originale", reconnaît toutefois Alain Dalis, chargé du projet. Une fois les panneaux terminés, ils seront acheminés par camion vers Marseille (Bouches-du-Rhône), dans la Villa Méditerranée qui accueillera la réplique de la grotte.
Répondre
0
0
C'est lié aux communards plus qu'au carrières :
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/...00055.html

Si quelqu'un à la version complète en PDF, je ne suis pas contre un MP
Répondre
0
0
ta po un petit copier-coller de l'article parce que là c'est payant erf
Répondre
2
gump kta
KdK
0
Je vous l'ai envoyé en MP.
Répondre
0
0
Ca m'interesses aussi
Répondre
0
0
Heu, ca vous dirait pas de le coller en pièce jointe d'un post plutôt que de le faire en MP siouplé ?

On est quand même sur un réseau social avec une puissance technique de folie et vous vous faite les choses en MP... On dirait des boomer qui ont connu l'IRC.
----------------------------------------------------  Cancer des réseaux sociaux -------------------------------------------------------
Répondre
0
0
J'ai juste pas envie de me faire gronder pour avoir posté des trucs qui sont censés être payants. Si on me dit que c'est ok alors je mettrai le lien.
Répondre
1
alpha
0
C'est effectivement illégal et c'est pour cela que j'ai demandé un MP.

Charrette me l'a gentiment envoyé dans les 15min après le post.
Répondre
2
Black
plysdn
0
Commune de Paris : au Palais Galliera, autopsie du dernier costume d’un condamné
Par Caroline Rousseau

Publié le 08 janvier 2021 à 16h45, mis à jour à 16h27



A l’occasion des 150 ans de la Commune de Paris, le musée de la mode a fait autopsier le vêtement porté par le président Bonjean quand il a été fusillé par les communards, en 1871. Une étude médico-légale qui témoigne de la valeur historique de l’habit.


Le costume porté par le président Louis-Bernard Bonjean le jour de son exécution, le 24 mai 1871, sur ordre de la Commune. Elodie Ratsimbazafy/Paris Musées
Il est rare que la commémoration d’un événement historique sanglant soit l’occasion de parler chiffons. Pour les 150 ans de la Commune de Paris, le Palais Galliera, Musée de la mode de la Ville de Paris, et Philippe Charlier, médecin légiste, archéologue et anthropologue, ont pourtant sorti des réserves du musée le costume trois-pièces en lainage noir du président provisoire Louis-Bernard Bonjean (1804-1871). Pas n’importe quel costume. Celui que l’homme politique portait le 24 mai 1871 lors de son exécution par les communards mais aussi pendant les soixante-quatre jours de détention qui l’ont précédée, à la prison de la Roquette, dans le 11e arrondissement.

Souillé, déchiré, criblé de balles, pantalon amputé, gilet arraché, l’habit, par ailleurs assez commun au XIXe siècle, ne ressemble en rien aux trésors précieusement conservés dans les armoires de l’institution parisienne. « Je crois que c’est la première fois dans l’histoire de Galliera qu’on analyse des taches. D’habitude, notre premier geste est plutôt de nous en débarrasser », expliquait, le 14 décembre, Alexandre Samson, responsable de la haute couture et de la création contemporaine à Galliera, sous les néons des réserves sécurisées du musée.

Une relique qui impose le respect
Longs bâtonnets à la main, les étudiants du docteur Charlier, eux-mêmes médecins légistes, physiopathologistes ou archéologues, recueillent des traces de liquides corporels dans l’entrejambe du pantalon, sur la « propreté de braguette » (le revers), au niveau de l’interscapulaire, sur le dos de la veste… Ce qui semble être de l’urine, de la matière fécale ou cérébrale, du sperme, du sang et de la terre est prélevé, les orifices d’entrée et de sortie des balles sont scrutés, les déchirures examinées, pour surtout ne jamais être nettoyés, ni restaurés, afin qu’ils livrent, peut-être, quelques témoignages sur les derniers jours du « condamné » Bonjean, qui mourut sous deux salves tirées par trente hommes, auprès de cinq autres victimes.

« Travailler dans un musée et ses archives, c’est fréquenter les morts et accepter une certaine intimité avec eux. » Olivier Saillard, historien de la mode

Si ce costume revêt un indéniable intérêt historique, il raconte aussi un homme. Le lundi 14 décembre, couché sur la table de travail, à plat, l’habit, mis sur l’endroit puis sur l’envers, était celui d’un mort. Le lendemain, enfilé sur un mannequin ancien du musée, datant du Second Empire, en volume donc, c’est l’avocat, le sénateur, le président provisoire Louis-Bernard Bonjean qui se tenait debout, blessé, dans les réserves du musée.

« Il n’était pas très grand, 1,69 m ou 1,71 m. Le pantalon cassait sur la chaussure. Avec une restauratrice, nous avons habillé un mannequin qui correspondait à peu près aux mensurations et mis des bolducs de coton à l’intérieur pour maintenir en place les lambeaux du gilet. Face à cette typologie de vêtement, une relique donc, on ressent évidemment du respect mais aussi un peu de gêne », souligne Alexandre Samson qui n’avait, avant cette expérience, vu l’habit de Bonjean qu’une seule fois. Il avait par curiosité ouvert le tiroir des réserves où il repose depuis que la petite-fille du président l’a légué au musée en 1980. « Ce n’est pas celle de Thiers ou de Mac-Mahon, mais cette tenue de Bonjean est propre à la Commune de Paris. C’est un peu un mythe à Galliera. »

Montrer l’horreur
Pas de fantôme, ni de phénomène étrange à signaler, mais une certaine fascination tout de même. Quand, en 2012, l’historien de la mode Olivier Saillard, alors directeur de Galliera, organise dans le cadre du Festival d’automne la performance The Impossible Wardrobe avec l’actrice Tilda Swinton, il fouine dans les réserves et déniche des perles : la veste de Napoléon, le chapeau d’Arletty… Il aurait pu mettre dans les mains de la comédienne britannique le pantalon de Bonjean, qu’elle aurait tenu par la taille encore solide, ou le gilet délité déposé sur un plateau de conservation.


« Mais il y avait quelque chose d’un peu trop cru, se souvient-il. Il était tout arraché, non ? Comme les pièces détachées d’un mort… Même si je reconnais être friand de toutes ces histoires, il y avait là une dimension “enquêtes criminelles” qui dépassait l’intention de la performance. Travailler dans un musée et ses archives, c’est fréquenter les morts et accepter une certaine intimité avec eux. Quand j’ai réceptionné la garde-robe du photographe Norman Parkinson, par exemple, j’ai trouvé dans ses poches des cure-dents. Ces choses m’attirent mais elles font parfois désordre dans un musée de mode. Face à une disparition, en général, on jette en même temps que la pièce elle-même un souvenir entaché. »







Celui-ci ne trouve d’ailleurs sa place dans un musée de mode que s’il ne porte pas les stigmates d’une mort violente, sinon le costume redevient un cadavre et on est projeté ailleurs, dans l’histoire ou la médecine. « Le pantalon amputé de Bonjean atteint un fort degré de cataclysme corporel, poursuit Olivier Saillard. Il faut bien mesurer la dramaturgie que cela induit : tout à coup, on n’a plus que ça à l’esprit, cela fait l’effet d’une flaque de sang. » Tout comme avec le tailleur rose ensanglanté de Jackie Kennedy. Il n’est exposé nulle part. On ne peut le voir que sur demande. Montrer les taches, c’est d’abord montrer l’horreur.

L’empreinte de la pénitence
La panoplie de Bonjean a pourtant réussi à se frayer un chemin jusqu’à une exposition de mode. C’était en 2007, toujours à Galliera, pour « Gallierock », la rétrospective consacrée à Jean-Charles de Castelbajac. Le couturier l’avait fait sortir du grand tiroir Compactus, où elle repose à plat dans sa housse en coton écru dans la section réservée aux habits d’hommes du XIXe siècle. « C’est l’un des vêtements les plus troublants auxquels j’ai été confronté », raconte celui qui est venu à la mode par l’histoire, collectionnant les drapeaux, reconstituant des tissus de Vikings, dévorant les récits épiques…

Sollicité par le musée, JCDC avait décidé de raconter son cheminement personnel, de l’histoire à la mode, à travers une sorte de parcours initiatique. Fasciné par les souliers de Marie-Antoinette montant à l’échafaud, le petit costume de Louis XVII au Temple ou la chemise de Saint Louis, il voit alors dans le costume trois-pièces de Bonjean l’empreinte de la pénitence. « Ce sont comme des sarcophages qui enferment autant d’histoire que d’émotion. C’est bouleversant. Face à eux, je me sens comme Howard Carter entrant dans le tombeau de Toutankhamon », nous confie le styliste.

Il avait donc imaginé un cabinet de curiosités très personnel, à la frontière de l’invisible, évoquant le passage d’une rive à l’autre et montrant, par le textile, les personnages historiques dans leur humanité, comme avec cette robe de chambre portée par Napoléon à Sainte-Hélène : « Une petite batiste très pauvre rongée par l’humidité, avec des auréoles verdâtres sous les aisselles, en taille 14 ou 16 ans… » Il vise juste. Les plus réceptifs étant les enfants, venus en famille ou avec leur classe. « Confrontés à la violence d’une mort tragique, touchés par la musique qui emplissait cette salle, ils ont souvent été les seuls à noter la présence de Bonjean. Et à se souvenir de lui en sortant de l’exposition. » Les 150 ans de la Commune, cette année, devraient constituer une occasion de plus.



Caroline Rousseau
Répondre
0
0
https://sciencepost.fr/des-restes-dours-...us-marine/
Une ré-analyse de fossiles retrouvés il y a plusieurs années au fond d’une grotte sous-marine mexicaine a révélé la présence d’ours géants dans la région à l’époque du Pléistocène. Une véritable surprise.

Bienvenue dans la fosse Hoyo Negro, un système de grottes situé à l’est de la péninsule du Yucatán, au Mexique. Les lieux ont notamment fait parler d’eux en 2007, suite à la découverte de deux squelettes humains. Parmi eux, celui d’une adolescente, vieux de 13 000 ans et très bien conservé. C’est à ce jour le squelette le plus ancien jamais découvert dans la région. Mais d’autres espèces fréquentaient également les lieux durant la dernière période glaciaire. Et certaines étaient énormes. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Biology Letters.
Répondre
1
Beach
0
C'est mort pour la chatière du coup :
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/...00055.html
Répondre
2
la_gargouille
Shadal
0
(Sam. 23 Jan. 2021, 14:02)KdK a écrit : C'est mort pour la chatière du coup :
Bof... Pas plus compliqué à faire que celle de CM à troca...
----------------------------------------------------  Cancer des réseaux sociaux -------------------------------------------------------
Répondre
0
0
(Sam. 23 Jan. 2021, 14:02)KdK a écrit : C'est mort pour la chatière du coup :
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/...00055.html

Aux dernières nouvelles, ils ont pas prévu de déblayer le lit la bièvre, ça laisserait un gros trou Tongue
go chier sur l'épaule d'un géant
Répondre
1
Beach
0
a reproduire
https://www.huffingtonpost.fr/entry/comm...4bad32ee60
__________________________________________
"je sais que j'plais pas a tout le monde , mais quand j'vois a qui j'plais pas , je m'demande si ca me dérange vraiment "      [j-c]
Répondre


Sujets apparemment similaires…
Sujet Auteur Réponses Affichages Dernier message
  ALERTE ! Annonce d'articles dans la presse h2o 1 613 1 836 273 Lun. 02 Dec. 2024, 23:29
Dernier message: la_gargouille
  Anciennes revues de presse ou articles - monde souterrain jeff95 47 48 109 Dim. 10 Mai 2020, 13:47
Dernier message: Suri
  Articles en anglais dans The Scotsman (1860-1944) seek 6 12 461 Mer. 07 Nov. 2007, 19:02
Dernier message: jd
  Liens streamer TV et autres fluxs vidéo lafouine 9 12 779 Mar. 02 Mai 2006, 19:04
Dernier message: Alzimut
  vers une réouverture de l'avenue de choisy Baltimore 1 3 948 Ven. 28 Mars 2003, 16:45
Dernier message: Baltimore
  Articles Port Mahon Lhermine 2 5 021 Ven. 14 Mars 2003, 14:05
Dernier message: Baltimore
  Crue de la seine (divers articles) h2o 4 12 447 Mer. 11 Dec. 2002, 19:08
Dernier message: h2o



Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 1 visiteur(s)