Mar. 22 Sep 2015, 18:47
1 Տᴏᴘᴀᴌ |
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"Le Monstre, sous la forme du frère de Jacob, vient voir ce dernier et lui demande s’il peut se joindre à lui. Jacob lui demande s’il veut du poisson. Le « frère de Jacob » répond qu’il vient de déjeuner. Jacob imagine que s'il est là, c’est à cause du bateau. Ce dernier approuve et lui demande comment ils ont trouvé l’île. Jacob lui dit de leur demander une fois qu’ils seront là. Le « frère de Jacob » rétorque qu’il n’a pas besoin de leur demander. Il sait que c’est Jacob qui les a fait venir. Le « frère de Jacob » déduit que Jacob veut encore lui prouver qu’il a tort. Jacob affirme qu’il a tort, mais le « frère de Jacob » est sceptique. Il dit qu’ils viennent, ils attaquent, ils détruisent, ils corrompent. Ça finit toujours de la même manière. Jacob réplique que la fin ne dure qu’un instant et que tout ce qui la précède s’appelle le progrès."
Avant la brigade des kataflic et les grands barrages, il y avait au moins 3 fois plus de gens dessous, parait que des fois ça buvait voir plus que ça... Ils ont peint et repeint, détruit les épures pour faire des fresques dessus, les tableaux originels de la galerie des promos, fabriqué les premières salles, aménagements incongrus dans des lieux pourtant vierges... Mais c'est leur héritage que l'on arpente aujourd'hui et c'est toute l’âme des catacombes que nous ont laissé ceux des années 80.
Alors peut-être que dans 30 ans on aura un autre regard sur la sur-population de présumés touristes et ce qu'ils auront fait des catacombes, si elles y survivent.
Au feu de la frontale, nous avons tous vingt ans. Et par deux murs flanqués, qui eux en ont deux cents.