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La fin du calvaire pour Jonathan !
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Citation :Article paru le 22/08/2005
AUDE. IL PARTICIPAIT, à€ CABRESPINE, à€ UNE SORTIE Dà‰COUVERTE. LES SAUVETEURS ONT MIS 8 HEURES POUR EXTIRPER LE GARà‡ON DU GOUFFRE.

La fin du calvaire pour Jonathan

Le préfet de l'Aude a déclenché hier le « plan spéléo-secours» (PSS) afin d'évacuer un garçonnet de 12 ans, blessé à  une jambe, et bloqué avec ses accompagnateurs à  187 mètres de profondeur dans le gouffre de Cabrespine.

L'alerte a été donnée hier vers 16 heures et l'enfant a pu être extrait du gouffre vers 23 h 30 la nuit dernière. Le garçon ne souffrirait que d'une blessure légère à  une cheville, consécutive à  une glissade. Toutefois, même s'il pouvait marcher un peu, une remontée aurait été dangereuse et extrêmement compliquée. C'est pour cette raison qu'un spéléologue qui encadrait la sortie découverte a donné l'alerte .

D'importants moyens de secours ont été déclenchés dès la mise en action du PSS. Les nouvelles provenant des galeries étaient rassurantes dès le départ. Un médecin, en effet, faisait partie du groupe de l'enfant et se trouvait à  ses côtés.

Les sapeurs-pompiers ont mobilisé le Grimp (groupe d'intervention en milieu périlleux) et des spéléologues avertis, membres de la fédération française, les sapeurs-pompiers locaux et les services de gendarmerie étaient également sur les lieux, soit une trentaine de personnes.

Une première équipe de pompiers, dont une infirmière, s'est portée au secours du garçonnet vers 17 h 30, munie d'une combinaison isotherme et de couvertures de survie. Vers 20 heures, des spéléos munis d'un brancard amorçaient à  leur tour la descente. Ils estimaient à  une heure le temps nécessaire pour rejoindre le groupe.

Pendant ce temps, pompiers et secouristes installaient l'éclairage nécessaire et la logistique indispensable à  un sauvetage parti pour durer une bonne partie de la nuit. La remontée, quant à  elle a pris plusieurs heures.

L'extraction, en elle-même, de la jeune victime a été la partie la plus périlleuse des opérations.

Les secouristes ont dà» installer un système de poulies et tyrolienne afin de permettre au brancard de franchir la paroi du gouffre que l'on descend et monte habituellement par des échelles fixes.

Joà«l Ruiz et Adrien Borne

http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref...63&rub=sud
Jeff95 ~(o|;o)
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#2
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Heureuement qu'il etait bien acccompagné celui la!
Pas de stress!!! Pas de stress!!!
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