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Le viaduc de Millau, plus haut viaduc du monde
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SAMEDI 7 DECEMBRE 2002

2) Le viaduc de Millau, plus haut viaduc du monde
Conférence, par Max Roche et Marc Legrand
16h30 - 17h30, ENPC, 28 rue des Saints-Pères, Paris 7e, amphithéâtre Caquot

La conception et la réalisation du viaduc de Millau

Max Roche, société SETEC et Marc Legrand, société EIFFAGE

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.mairie-paris.fr/FR/Education/envie_amphi/ponts_et_chaussees.htm">http://www.mairie-paris.fr/FR/Education ... ussees.htm</a><!-- m -->
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lol t'as fait une visite sur le site de la mairie de paris? Big Grin
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Au moins, tu aurais pu mettre un lien avec des photos. {: -)

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.viaducdemillau.com">http://www.viaducdemillau.com</a><!-- m --> Y'a des photos HALLUCINANTES.

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.meridienne.com/">http://www.meridienne.com/</a><!-- m -->

Bonne visite


Pièces jointes Miniature(s)



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#4
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Journal du Viaduc
Publié le 13 janvier 2003 à  19:40

Citation :A raison de 4 mètres tous les trois jours, le viaduc se hisse vers le ciel. La 25e levée a été bétonnée sur la pile numéro 2. La barre des 100 mètres est franchie.

250 hommes du génie civil, rejoints par les équipes d’Eiffel sur la rampe de lancement du tablier, donnent au chantier une allure d’usine à  ciel ouvert. Tout le monde est dans les temps. Les équipes sont soudées. Le défi se réalise, jour après jour. "Nous avons atteint notre vitesse de croisière, commente Jean-Pierre Martin, le directeur du chantier. S’élever de 4 mètres en trois jours, c’était le cycle prévu dans les calculs de départ. Aujourd’hui, toutes les équipes sont capables de l’assurer. C’est la preuve que les estimations étaient justes, les compétences soigneusement sélectionnées et les outils bien adaptés."

La ligne d’avancement des travaux sur la feuille du planning montre combien d’opérations il faut coordonner pour obtenir ce résultat. C’est impressionnant.

Le fait d’avoir décidé de constituer 7 chantiers (un par pile) était le bon choix.

Chaque équipe est stimulée par la montée des autres. Sans compétition, mais avec la fierté de réussir dans les temps, les hommes se concentrent sur l’ouvrage.

Parmi les opérations délicates : la montée des grues. Toujours au-dessus du sommet des piles, elles doivent être régulièrement rehaussées. o­n s’appuie sur une large structure de béton. Il s’agit de suivre une arête sur des centaines de mètres de hauteur : un exploit encore jamais réalisé. Et plus o­n monte, plus l’engin est instable. Il faut "braconner". Les "bracons" sont des pièces de métal qui fixent le corps de la grue à  la circonférence de la pile. o­n dirait une passerelle entre ciel et terre, un trait d’union qui unit l’ouvrage à  son bâtisseur. "Pour rehausser une grue de 30 mètres, o­n s’était donné une semaine. Nous avons réussi en quatre jours", se réjouit Jean-Pierre Martin.

Autre défi que les hommes du viaduc doivent encore réaliser : les têtes de piles. Ceci concerne les 12 derniers mètres. Les ultimes levées de béton sont délicates. La pile, creuse jusque-là , devient pleine. A ce niveau, elle doit recevoir la charpente métallique qui soutient le tablier pendant les phases de construction. Les forces s'exerçant entre le fer et le béton vont être énormes. Il s’agit d’être très précis au moment de noyer dans la tête de béton les inserts métalliques qui seront chargés de transmettre ces efforts. Les premières opérations o­nt actuellement lieu sur la pile numéro 7. Elles serviront de tests et permettront de valider les calculs et les méthodes pour l’ensemble de l’ouvrage.

Un an après le début des travaux, les équipes sont dans le rythme tendu qui avait été prévu. 49 000 m3 de béton o­nt déjà  été coulés. Il en reste presque autant à  mettre en œuvre...

4Source : Journal du Viaduc - Eiffage

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#5
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Journal du Viaduc
Publié le 16 janvier 2003 à  14:13

Citation :Pour le viaduc, le Causse rouge est mis à  contribution. Ses entrailles vont livrer ce qu’il a de meilleur : son calcaire. "C’est une roche très homogène, d’excellente qualité, explique Jean-Raymond Vernet, responsable de Sévigné Industrie. Sévigné, à  Millau, tout le monde connaît.


Jean-Raymond Vernet, responsable de Sévigné Industrie.


C’est cette grande entreprise de la région qui a été chargée d’approvisionner les 150 000 tonnes de granulats (70 000 t de sable et 80 000 t de gravillons) aux bâtisseurs du viaduc. Elle puise chaque jour dans sa carrière du Rascalat la pierre qui va servir à  faire le sable du béton.

Les lieux d’extraction sont impressionnants.
Un gigantesque cratère qui descend de palier en palier à  70 mètres de profondeur, épaisseur de la couche exploitable du calcaire. L’entreprise Sévigné l’exploite sur 22 hectares.

"Pour le viaduc, les couches inférieures ne sont pas utilisées, car la roche est plus sombre", commente Olivier Taquet, chef de carrière. Le cahier des charges précise que le béton doit avoir une couleur uniforme.

Pas question pour Eiffage de bâtir des piles qui changent de teintes selon les caprices du sous-sol. La pureté des lignes de l’ouvrage voulue par l’architecte doit être respectée. C’est à  ce prix que le viaduc apportera à  la nature la signature d’une œuvre d’art dans le paysage.

Comme des menhirs

Dans la carrière, la transformation du Causse en grains de sable de quelques millimètres suit un processus rigoureux.

Une fois qu’un pan de falaise a été abattu à  l'explosif, les godets des pelles hydrauliques s’emparent des blocs et les chargent dans les dumpers qui sillonnent à  longueur de journée les pistes au pied des falaises. Les roches sont ensuite déversées dans le concasseur à  percussion. Ils tombent comme des menhirs sur un cylindre armé de marteaux.

Ceux-ci projettent la roche à  la manière d’une batte de baseball sur des écrans blindés.

Le choc est tel que le calcaire, qui entre en dévalant comme une armée de blocs d’un demi-mètre cube, ressort en éclats de la taille de pamplemousses.

Suit alors une batterie de tapis roulants qui, d’échangeur en échangeur, trient la roche. Lavée, séparée de ses impuretés, elle va faire du "beau caillou" qu’il faudra encore réduire en grains de sable.

A ce stade, ce n’est pas encore bon pour le viaduc.

Les hommes du chantier doivent pouvoir monter le béton à  plus de 100 mètres de hauteur.

Tout est hissé par bennes de 3 m3 et par grues. Le sable du béton doit obéir à  un critère de finesse particulier.

Il ne s’agit pas pour la carrière de réduire chaque grain à  une taille bien précise, mais de mélanger d’une façon homogène plusieurs types de granulométrie pour obtenir une composition correspondant à  une norme définie par des études rigoureuses.

"Ceci se fait sur des ordinateurs qui calibrent les débits des tapis, explique Jean-Charles Bourrel, responsable de cette opération. En effet, chaque tapis doit déverser une quantité très précise de matériaux avec des granulométries
différentes. Tout est ensuite mélangé et homogénéisé."

Quand le sable du viaduc arrive en tas au stockage, il n’est pas prêt à  être livré. Il lui faut encore subir des contrôles.

Contrôles internes de Sévigné Industries et de Sud Contrôles, contrôles externes d’Eiffage.

Des prélèvements sont effectués chaque jour par les laboratoires.

Tant que ces vérifications ne sont pas terminées, un panneau rouge planté au sommet du lot interdit la livraison.

Ce n’est que lorsque le signal devient vert qu’une noria de camions emportera vers le chantier ce sable si particulier qui servira à  la construction du viaduc. Voilà  pourquoi les piles sont si belles, si blanches dans le ciel de Millau.

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#6
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Journal du Viaduc
Publié le 11 octobre 2002 à  08:19

Citation :Le chantier du viaduc de Millau prend de la hauteur. Pas besoin d’être spécialiste pour s’en rendre compte, il suffit de se rendre régulièrement sur le belvédère situé à  proximité du chantier pour évaluer l’avancée des travaux.


L’assemblage du tablier et des panneaux latéraux se fait sur la culée sud. Toutes les finitions , peinture, corniches et glissières latérale seront montées également à  ce niveau là . Seul le revêtement sera fait une fois le tablier en place.


De cet endroit-là , on voit très bien la pile P2, celle qui sera la plus haute.

«A l’heure actuelle, cette pile est à  80 mètres de hauteur. Une fois terminée, elle sera trois fois plus haute. Avec l’adjonction du pylône, elle culminera à  343 m. Cela constituera un record du Monde », indique Marc Legrand, directeur de la compagnie du viaduc de Millau.

On réalise encore plus le gigantisme du chantier.

P7 terminée avant la fin 2002

Dès à  présent ce sont 40% des 85 000 mètres cubes de béton nécessaires qui ont été coulés.

En rejoignant la culée sud d’o๠sera lancé début 2003 le tablier on prend également conscience de la montée en puissance des différentes piles. Ainsi la pile P7 qui sera la première à  supporter le tablier devrait être terminée avant la fin de l’année 2002. Elle mesurera 77 mètres.

Arrivé sur la culée sud, le spectacle est toute aussi grandiose. Tel un baquebot à  quai , le tablier du viaduc est posé là .

Onze éléments sont déjà  assemblés. Ils constituent la colonne vertébrale du tablier avec de part et d’autre des panneaux latéraux.

Le tout représente une largeur de 32m . Le tablier aura une distance totale de 2,4 km. Chaque tronçon représente une longueur de 170 m.

Sur la culée sud sera assemblée une partie du tablier couvrant 1,7 km , les 700 mètres restants seront assemblés sur la culée nord (coté Brocuéjouls). Le lançage côté Sud débutera au début de l’année 2003.

«La rencontre» des deux tabliers se fera au dessus du Tarn.

Une opération spectaculaire qui constituera l’heure de vérité pour l’ensemble des techniciens et ingénieurs.

En attendant ce moment qui attirera le jour venu, un nombre important de spectateurs, le chantier du viaduc se révèle être un site touristique de plus en plus fréquenté.

«Il y a une montée en puissance des visites depuis le lancement des visites guidées.» indique à  ce sujet Sylviane Truchetet, la directrice de l’Office de Tourisme.

A fin septembre on comptabilisait 2236 personnes s’étant inscrites à  ces visites payantes le week-end.

A cela il convient de rajouter l’estimation effectuée par Eiffage sur le belvédère qui est de l’ordre de près de 23000 personnes.

« Quand on réalise un ouvrage exceptionnel, on a la fierté et le devoir de le montrer, à  monsieur tout le monde et aux experts », soulignait pour conclure Marc Legrand

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#7
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Le site du viaduc est MONSTRUEUX : il y a des tas de photos incroyables : les tours dans la brume me pétrifient !

Il y a même un magnifique fond d'écran qui donne une idée de l'ensemble une fois réalisé. Enôorme.

Enfin, pour ceux qui connaissent la route, ça ne sera pas un mal parce qu'à  Millau 1) y'avait tout le temps des bouchons 2) en hiver la route de la corniche était âchement dangereuse... Au moins, là , on restera sur l'autoroute.
Odi profanum vulgus et arceo
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#8
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Le 24/02/2003 ..... Le viaduc de Millau, premier record battu.

La Compagnie Eiffage du Viaduc de Millau vient d’annoncer le dépassement de la cote 144 pour la pile P2 qui culminera à  245mètres. Cette semaine la pile P2 a atteint la hauteur de 144 mètres et détrône au passage le record de France de hauteur de pile qui était de 141,50 mètres détenu depuis peu par le viaduc de Verrières située au nord de Millau.

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#9
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Et ils y prévoient du saut à  l'élastique une fois fini ? Ce serait trop coooool !
 
.oO°Oo.oO°Oo.oO°Oo.oO°Oo.oO°Oo.
          Les égouts et les odeurs
            A chacun son parfum
°Oo.oO°Oo.oO°Oo.oO°Oo.oO°Oo.oO°
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Un premier record du Monde pour le viaduc de Millau

par JournaldeMillau | Jeudi 19 juin 2003 à  10:37
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Ce n’est pas tous les jours que l’on bat un record du Monde. Aussi la Compagnie Eiffage du viaduc de Millau a tenu à  être à  la hauteur pour marquer cet évènement d’autant qu’il s’agissait de célébrer le record du Monde battu par la pile P2.

En effet celle qui est déjà  la pile la plus célèbre du viaduc de Millau vient d’atteindre les 183 mètres de hauteur. C’est dire qu’elle a dépassé les 180 mètres du pont autoroutier du Kochertal en Allemagne qui détenait depuis 1979 ce record mondial.

C’est désormais dans le Sud-Aveyron que sera situé la pile la plus haute du Monde, un record qui sera d’ailleurs amélioré dans les prochains mois puisque la pile P2 atteindra au final les 245 mètres.

Pour célébrer ce record, la compagnie Eiffage viaduc de Millau avait organisé jeudi soir une amicale manifestation au pied de la pile P5 d’o๠les nombreux invités ont pu assister à  la célébration de ce record en regardant un magnifique feu d’artifice avec laser.

Un spectacle auquel ont eu droit également les nombreux millavois.

Hommage aux hommes de terrain

Mais avant cela, Marc Legrand, directeur de la compagnie en a profité pour faire un point rapide sur l’avancée du chantier qui attire toujours plus de monde.

Ce n’est d’ailleur pas sans une certaine fierté que Marc Legrand rappelait «qu’il y a un an, le chantier ne comportait que les semelles des piles.» avant de préciser que « d’ici la fin de l’année toutes les piles seront terminées».

Le directeur de la CEVM poursuivait en annonçant que le prochain grand rendez-vous aurait lieu dans quelques semaines lorsque le tablier allait accoster la pile P7.


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Partenaire - Potain : des grues cinq étoiles

par webmaster | Dimanche 25 mai 2003 à  08:09
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Très haut, sept hommes veillent en solitaires. Ce sont les conducteurs des gigantesques grues Potain qui donnent la cadence au chantier. Immenses échasses d'acier fixées à  leur pile d'affectation, les sept grues du viaduc de Millau tournoient dans le ciel au rythme des travaux.

Cuves de béton, ferraillages, éléments de coffrage : conçues pour résister à  toutes les contraintes du chantier, elles constituent l'élément indispensable à  l'assemblage de ce gigantesque mécano. "Chacune d'elle peut soulever 20 t en charge maximale, ce qui correspond au poids de l'armature installée avant chaque levée", indique Daniel Barthélémy, responsable commercial chez Potain.


Les grues installées à  Millau font partie de la famille des GME, grues à  montage par éléments. Elles sont constituées de modules de près de 6 m de long sur 2,5 m de section. Au fur et à  mesure de l’élévation des piles, des éléments supplémentaires - blancs et rouges pour satisfaire aux exigences de l’aviation civile - sont ajoutés. La nacelle tournante est alors désolidarisée du reste de la grue, puis soulevée par une cage de téléscopage munie de vérins. Un élément est ensuite "incrusté" par une face ouverte de la cage… et la nacelle est refixée près de 6 m plus haut. Faciliter le travail des grutiers Un cahier des charges précis avait été établi pour les grues prévues sur le chantier. En tout premier lieu, il fallait qu'elles résistent à  des vents pouvant aller jusqu'à  193 km/h*, tout en tenant compte de leur différence de vitesse entre le bas et le haut des piles. La prise en compte de ce gradient a permis de définir la place exacte des bracons, ces attaches qui relient la grue à  la pile. De plus, il était indispensable de faciliter au maximum le travail des grutiers : monte grutier, cabine climatisée, espace de repos avec coin repas, réfrigérateur et toilettes ont été installés. Du cinq étoiles à  plusieurs dizaines (voire centaines) de mètres de hauteur. "Un circuit vidéo a été branché dans la cabine, poursuit Bernard Le Gourierec, technicien commercial. Cela améliore la sécurité et la précision des manœuvres au sol, tout en rendant possible le travail en cas de brouillard. Tous les moyens ont été mis en œuvre pour que ce chantier et la collaboration avec Eiffage soient un succès. Pour cela, nous avons également détaché une équipe de maintenance sur place en permanence." Essentiel lorsqu'on installe des monstres tels que la grue de la P2 : 264 m de hauteur totale pour un poids de 404 t et un treuil équipé d'un câble long de plus d'un kilomètre. Un engin qui - comme les six autres - permet de positionner les charges soulevées au centimètre près. Qui dit mieux ? Au-delà  de 72 km/h, les grues sont mises en girouette et le travail cesse. ————————————— Potain S.A.S. c'est… • Une société créée en 1928 par Faustin Potain • Le premier fabricant mondial de grues • Une filiale du groupe américain Manitowoc • 1,3 milliard d'euros de CA pour le groupe en 2002 • 2 200 collaborateurs dans le monde
4Source : Journal du Viaduc - Eiffage

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Visites du chantier

Promeneurs et particuliers

Le chantier du "Viaduc de Millau" est visible depuis l'aire des Cazalous, point d'accueil aménagé à  proximité du chantier, en bordure de la route de St Affrique.
De ce point de vue, les visiteurs peuvent assister en direct à  l'élévation de la pile P2, la plus haute, qui culminera à  343 mètres.
Une information gratuite est délivrée 7 jours sur 7 entre 9h30 et 17h30.
L'accès est libre et le panorama garanti !
Pour ceux qui le souhaitent, une visite guidée est proposée au départ de l'Office de Tourisme de Millau en partenariat avec la Compagnie Eiffage du Viaduc de Millau.
Visites organisées samedi et dimanche à  10h30, 14h00 et 15h30.

Tarifs
Adultes : 10 €
Enfants - 18 ans : 5 €
Enfants - 12 ans : gratuit

Réservations obligatoires auprès de l'Office de Tourisme : tél. 05 65 60 02 42

Entreprises et professionnels

Les visites destinées aux entreprises et professionnels sont organisées en semaine, du lundi au vendredi.
Touropérateurs / groupes
Les visites sont organisées le samedi et le dimanche, de 10h à  17h, pour des groupes de 50 personnes maximum.

Tarifs
Adultes : 5 €
Enfants -18 ans : 3 €
Enfants -12 ans : gratuit
Chauffeur : gratuit
Pour les groupes de plus de 30 personnes, une gratuitée pour l’accompagnateur

Réservations :
Compagnie Eiffage du Viaduc de Millau
Service communication : tél. 05 65 59 26 50

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#13
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C'est dans l'Aveyron !!!!
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C'est dans l'Aveyron !!!!
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Forfément, fans les dents f'est moins fafile
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#14
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C'est surtout à  Millau : quand t'es du coin : le BOUCHON de ton été !!
Odi profanum vulgus et arceo
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#15
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yep ! je confirme... il faut en moyenne 2 heures (ça c'est quand y'a pas trop de monde) pour traverser Millau. Comme en plus les bouchons c'est l'été et que sur le Larzac ça cogne dur, t'as interet à  avoir la clim' dans ta voiture...
ou alors connaitre les petits chemins qui évitent le bouchon (me contacter en mp) 8)
Forfément, fans les dents f'est moins fafile
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