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(Mer. 04 Nov. 2020, 16:12)BiBi a écrit :(Mer. 04 Nov. 2020, 16:10)Beach a écrit :(Mer. 04 Nov. 2020, 15:28)BiBi a écrit : Du coup, la stéatite frittée, c'est bien celle qu'on chauffe right?
Oui parce que la stéatite à l'état naturel c'est ressemblant au talc donc inutilisable en l'état.
Il me semblait qu'elle avait un autre nom, spour ça
Je rejoins BiBi; lorsque je fabriquais mes becs j'étais tombé sur un article que je lui avais envoyé et sur lequel il me semble qu'ils donnaient un autre nom à la stéatite transformée sous chaleur.
Edit du coup ça se transforme en enstatite https://journals.openedition.org/archeos...43?lang=en . Seul point étrange, l'enstatite est sensée avoir une dureté de mohs de 5 à 6 et le verre est à 6.5. Lorsque j'avais fait le test, mes échantillons de stéatite transformée avaient clairement rayé le verre.
Concernant l'argument de la dureté Mohs dans le fait que l'acier ne devrait pas abîmer les becs que BiBi semble souligner, il est à noter la phrase suivante dans l'article wikipedia sur la dûreté Mohs : " Il faut bien faire attention, lorsque l’on pratique ce test, à ne pas forcer : la rayure doit se faire sans que l’on exerce de pression importante." (source : https://fr.wikibooks.org/wiki/D%C3%A9ter...ux%20types. ) J'en déduit que si un bourrin exerce une trop grande pression, il en vient à rayer (comprendre ici abraser) et à agrandir le trou.