1 J.R. |
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J'ai quitté Lyon avant que Pony n'y arrive : il a peut-être un point de vue différent.
A Paris, les réseaux ont été unifiés, donc c'est immense, les entrées potentielles sont multiples et une politique de fermeture totale n'est pas réaliste : on ne pourrait s'assurer qu'une opération du type de celle fomentée par La Cagoule ou quelque activité criminelle ne s'y ménage pas un accès pour y abriter ses activités. Comme c'est exposé dans Glowczewski et alter, et repris ici ou là, la présence des cataphiles garantit contre ces risques-là bien plus sûrement que toute surveillance centrale. En tout cas j'y crois. Je crois que la relative permissivité tient à ça.
A Lyon, il en est autrement. Les réseaux sont petits, peu nombreux, et parfois profonds (Lyon est bâtie sur deux collines et les galeries ne suivent pas les strates géologiques). C'est un objectif réaliste et atteignable de les fermer. Ca ne veut pas dire que personne n'y entre jamais, mais il n'est pas nécessaire que des gugusses y patrouillent.