[L_A_N_J]

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Ce n'est pas une vérité, ce n'est qu'un avis. C'est comme le mot "art urbains" qui n'est que consensus et 'popularisation' d'un mouvement bien trop complet pour être divisé.
'Faites le mur' montre bien la connerie du terme 'art urbain' qui n'est d'autre que du graffiti. Tout comme le tag et le reste. Forcement un mec qui fait des pièces préféra dire qu'il du graff car bien plus valorisant aux yeux du "public".
Cette différence chacun est libre de la faire, mais personne ne peut nier qu'ils sont indissociable puisque frères, appartenant à  un même ensemble. Lui ne dissocie les termes uniquement que pour des raisons graphiques mais il avoue que les deux ont, malgrés les termes qu'il utilise, une démarche derrière.

Facile de prendre des morceaux choisie pour expliquer son propre point de vue oushouaya... Malheureusement ce n'est qu'un avis subjectif et une explication personnel d'un writters qui a chercher a se défaire d'un aspect négatif qui n'est considéré que par les gens extérieur.
"Nous ne nous reconnaissons pas dans ce terme. Pour se distinguer, sà»rement, par snobisme, sans doute, nous nous sommes appropriés le terme plus valorisant de graffeurs."
"Le tag a une finalité, bonne ou mauvaise, et avec sa réalisation commence sa vie."
Si lui ne s'y reconnait pas, bien d'autre également, mais aucun ne reniera qu'ils sont du même mouvement. Ce texte plait à  beaucoup parce qu'il étaye ce que vous dites lorsque vous souhaitez relancé cette guéguérre puéril dont nous sommes tous acteu. Mais il n'est que l'avis d'un seul et unique gars qui a préféré valorisé son art en excluant la partie qui déplait au grand public, même s'il avoue que ses pièces ne sont, et ne seront jamais, faites pour vous.

Mais c'est tellement facile de voir ce qui nous arange. (Par exemple dans la rue, les pub je ne les vois plus, parce que ca m'arrange.)

Le texte n'en est pas moins interressant puisque c'est un point de vue personnel exposé à  tous.

Sinon ca sort d'o๠?

Sur ce j'vous laisse recommencé votre eternelle débat d'incompréhension et de fermeture que je sens venir à  grand pas. Je me ferme à  mon tour.