Mar. 01 Sep 2009, 09:40
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Tout d'abord, je tiens à te remercier, mais oui, pour le soin tout particulier que tu as de ma famille et de sa santé.
Au risque de te décevoir je ne ne suis pas végétarien, encore moins végétalien, pas davantage membre du Front de Libération des Animaux, et n'ai pas d'accointances avec quelque organisation extrémiste que ce soit.
Pour en revenir, au sujet qui nous occupe, ce dont tu aurais pu t'apercevoir si tu avais pris la peine de lire avec un peu plus d'attention les posts qui précèdent, nous parlions de l'orientation de la recherche médicale actuelle et des possibles alternatives qu'elle offre en dehors du recours généralisé à la vivisection.
Je n'avais d'autre intention que de mettre en évidence les dérives d'un système déjà ancien qui peut, dès aujourd'hui être amendé afin de préserver la vie de centaines de milliers d'animaux, et certainement pas de nier les acquis du passé en matière de découvertes médicales.
Mais, nous ne sommes plus à l'époque révolue des expérimentations sauvages et il est impératif de reconsidérer l'approche théorique et méthodologique des laboratoires dans leurs travaux de recherche et développement.
Le journal Le Monde dans son édition du mardi 1er septembre 2009, publie un article intitulé polémique sur l'expérimentation animale en Europe, dans lequel le toxicologue Thomas hartung (Johns Hopkins University, Baltimore, Maryland), qui copréside le 7ème congrès mondial sur les alternatives à l'utilisation de l'animal dans les sciences de la vie qui se déroule à Rome jusqu'au 3 septembre, appelle à une révolution de la toxicologie en soulignant, fort opportunément, "que l'homme n'est pas un rat de 70kg".
La défense du vivant concerne tous les êtres sensibles, sans exception, et pas exclusivement les humains.
A bon entendeur...
"Les raisons pour lesquelles un homme se met à boire régulièrement de grandes quantités d'alcool peuvent être très diverses. Le résultat, lui, est généralement le même." Haruki Murakami