Jeu. 04 Dec. 2008, 17:04
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Je trouve effectivement que la solution réside dans :
- le(s) respects que propose End (Cela mâévoque plein de situations croisées en voyage)
- Le dialogue entre individus
- La communication sur lâhistoire ancienne (plaque, confortations, épures) et contemporaine (graff, fresque, salle..) des lieux.
Dans cette espace de liberté souterrain, tous le monde devrait avoir le droit de sâexprimer mais en partageant lâespace. Mais chaque création individuelle (tag, signature eau fusain, graffitis, sculpture) ou collective (graff, salle, sculpture collective..) devrait être respectée. Création dâindividu mort (épure..) ou dâindividu vivant (comme toutes les fresques des années 80). Plusieurs situations pourraient illustrer ce respect :
- Lorsquâune signature fut apposée au fusain en 1881, son auteur avait la même démarche que le tagueur laissant sa signature à la bombe. Le respect serait de taguer à coté et non par-dessus car tous deux ont la même démarche qui est de marquer leur passage, de profiter dâune liberté.
- Lorsquâun graff est crée, seul le tag de son auteur devrait sây superposer.
- Lorsquâune salle est créée, seuls leurs auteurs devraient y faire un graff, sauf sâils invitent un graffeur à créer ensemble.
Mais attention chaque situation est particulière et on ne peut généraliser un acte aperçue au détour dâune galerie.
Il est certains que dans cette espace de liberté, qui donne envi à bon nombre de descendre, les lois de surface ne sây appliquerons jamais. La seule loi qui pourrait être appliquée, câest le respect des individus et de leurs expressions artistiques, quâelles soient orales ou écrites. C'est-à -dire partager cette espace de liberté en coexistant afin dâen faire un espace collectif et aboutir à plus souvent à des créations collective mixte (frotteur, tagueur, historien et bien sur Touriste )
Explorations photographiques de Carrières : http://ruedeslumieres.morkitu.org