Mar. 24 Oct. 2006, 09:00
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En marge de la loi, il existe une autre pratique des carrières. Au 19ème et même après, la contrebande passait en souterrain pour échapper aux barrières dâoctroi. Des brigands avaient établi leur repaire dans des carrières désaffectées pour écumer la route dâOrléans. On y trouva des ménageries de bêtes féroces avec des combats dâanimaux. Bien plus tard, Rol-Tanguy installa son QG, du côté de la place Denfert, pour diriger la Libération de Paris. Et puis il y a les cataphiles dâaujourdâhui, taupes pacifiques qui errent la nuit dans le dédale des carrières, lampe au front et plan approximatif à la main : un frisson très à la mode qui profite des 600 entrées dont 389 répertoriés à Paris (certaines à partir de caves privées). On observe une recrudescence des visites au moment de Noà«l et du Nouvel An. Anne-Marie Leparmentier prévient : « Il y a eu des accidents, des chutes de blocs. Du coup, on met des cadenas ici et là et on bloque certains passages »...
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--> Même pas mort mais déjà six pieds sous terre <--