[h2o]

0			0

J'ai été sérré plusieurs fois juste avant de descendre (d'ouvrir une plaque).
A chaque fois on m'a demandé mon identitée, que j'ai reussi à  ne jamais donner.... peut-etre mon air bete...
A chaque fois, les flics etaient un peu nerveux, mais disont "courtois".
Si on ne s'enerve pas ça peux se passer bien.

Ma petite histoire :
Une fois, du coté de la porte de Versaille, une voiture déboule dans un grand crissement de pneu, et trois bleu en sortent apres avoir claqué au moin 40 portière (j'exagere à  peine !).
"Allez hop, controle, keskevousfaitesla etc..."; Il y en avais deux un peux nerveux et un Antillais hilare. Les deux nerveux se sont mis à  me fouiller car je trainais à  vider mes poches : un briquet pouris, des bougies Ikéa, une vielle bombe lacrimo (hologué, en vente au BHV) au poivre plutot inofensive emballé dans du plastique scotché (que je gardais en cas de chiens plein de crocs à  certaine sortie de carrière en banlieue) : "Chef, une arme !" (authentique !),la jete à  son collegue, puis continus la fouille et arrive à  un fumi (emballé version rouleau de printemps) : "de la bouffe" (oufffff). Apres, il m'a tout remis dans mes poches (exepté l'arme qu'il gardait comme preuve.. )
Bref, apres plus de 20mn, ils sont repartis, oubliant qu'il n'avais toujours pas obtenu nos identités...
Le plus fort : la voiture pres de laquel on attendait avait le coffre ouvert (?). On ne sais pas à  qui elle appartenait, ni pourquoi le coffre etait ouvert, mais les bleus ont relevé le numéro d'imatriculation... persuadé que la voiture était à  nous...

On a attendu qu'il soit partis (sur les chapeau de roue, ils etaient préssés sans doute d'arreter d'autre bandis), puis on à  ouvert et hop, en bas...

Note : trop cool, l'Antillais, il voulais venir avec nous....

Les flics sous terre : ma première et mémorable rencontre avec un flic sous terre fut avec un certain Cd Sarate à  qui j'ai dit :"merci d'etre venu ce soir, vous avez bien trouvé l'entrée...";