Ven. 24 Mars 2017, 23:11
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Sam. 25 Mars 2017, 07:38
Au moins 29 détenus se sont évadés par le biais d’un tunnel d’une prison du nord du Mexique, a indiqué jeudi le pouvoir local, infligeant un nouveau camouflet aux autorités mexicaines. Les prisonniers ont emprunté un tunnel de 40 mètres creusé sous la prison de Ciudad Victoria, dans l’Etat de Tamaulipas (nord), frontalier des Etats-Unis, a précisé sur son compte Twitter le porte-parole de la sécurité de l’Etat. Le tunnel avait été creusé à l’arrière de la prison, dans une zone qui est « depuis longtemps » de facto sous le contrôle des détenus, a reconnu Luis Alberto Rodriguez, un porte-parole de cet Etat sur Radio Formula. Certains fugitifs ont ensuite tué un automobiliste pour lui dérober sa voiture. Douze détenus ont pu être rattrapés depuis, selon les autorités locales. Les cartels de la drogue sont très présents dans l’Etat de Tamaulipas, que bordent l’Etat du Texas (Etats-Unis) et le Golfe du Mexique. Les cartels des Zetas et du Golfe s’y livrent à une guerre fratricide pour contrôler les routes de la drogue qui traversent cette zone stratégique. Cette évasion intervient une semaine après celle de cinq membres du puissant cartel de Sinaloa dans une autre prison au nord-ouest du Mexique. Parmi eux se trouvaient Juan Jose « El Negro » Esparragoza, le fils d’un des fondateurs du cartel de « El Chapo », actuellement incarcéré aux Etats-Unis et en attente de jugement. Joaquin « El Chapo » Guzman a acquis une notoriété internationale en s’évadant en juillet 2015 d’une prison de haute-sécurité, près de Mexico, par le biais d’un tunnel de plus de 1,5 kilomètre de long. En 2001, le baron de la drogue s’était déjà échappé d’une autre prison mexicaine de haute-sécurité, caché cette fois dans un panier à linge sale.
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Sam. 25 Mars 2017, 20:10
YouTube est-il en train de tuer l’exploration urbaine ? Citation :De plus en plus de youtubeurs s’adonnent à l’urbex (“urban exploration”) et publient leurs découvertes sur Youtube. Ce phénomène est-il en train de dénaturer cette discipline, régie par de très strictes règles ? Explications.
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Mer. 29 Mars 2017, 09:04
Mer. 29 Mars 2017, 10:03
(Mer. 29 Mars 2017, 09:04)J.R. a écrit : Article + vidéo sur Rance Inter : + Audio ^^ Dommage pour ceux qui connaissaient pas une certaine petite salle cachée
Mer. 29 Mars 2017, 17:08
(Mer. 29 Mars 2017, 09:04)J.R. a écrit : Article + vidéo sur Rance Inter : Raaaaah le sud
Dim. 02 Avr. 2017, 08:55
Nouvelle sortie, nouvelle boutique, et surtout, des murets d'ossements consolidés : à partir du 1er avril 2017, les visiteurs des catacombes bénéficient de la première tranche de rénovation de ce mystérieux musée parisien. Restauration de murets d'ossements dans les Catacombes de Paris. Samedi 1er avril, les visiteurs des catacombes vont pouvoir découvrir une nouvelle sortie et une nouvelle boutique au 21 bis avenue René Coty. Des installations réalisées respectivement par l'agence d'architectes Yoonseux et à l'opérateur de librairies Arteum, sous le signe de la lumière, avec la volonté de marquer le retour à la vie après 3/4h de macabre déambulation. C'est l'accueil qui va maintenant être repensé avec un réaménagement du pavillon réalisé par Claude Nicolas Ledoux en 1787, qui jouxte l'accès actuel. Le parcours de la visite a en outre été raccourci et les murets d'ossements partiellement restaurés (lire notre reportage ci-dessous). A noter enfin pour éviter les queues : les catacombes sont désormais ouvertes jusqu'à 20 h 30 et il est possible d'acheter à l'avance des billets coupe-file. OSSUAIRE."Que d'os, que d'os !" Ce sont des dizaines de milliers d'ossements qui composent, sur plus de 700 mètres de galeries, les célèbres Catacombes de Paris, situées à 20 mètres de profondeur sous le quartier de Denfert-Rochereau, dans le 14e arrondissement. Des "hagues" (haies) – mot d'origine viking – composés uniquement de crânes, de fémurs et de tibias. "C'est ici l'empire des morts", prévient le linteau gravé à l'entrée de ce monde souterrain qui a fasciné Victor Hugo, Alexandre Dumas… et continue d'attirer plus de 500 000 visiteurs chaque année. Une cité peuplée de fantômes dont les Parisiens et les touristes peuvent admirer les murailles macabres depuis plus de deux cents ans (1809), date de son inauguration. "Cet ossuaire est le musée municipal le plus visité de Paris. Il occupe à peine un dixième des 800 hectares de carrières souterraines situées sous la ville et avec lesquelles il est souvent confondu", explique Sylvie Robin, conservatrice en chef du Patrimoine, en charge des Catacombes. Linteau signalant le premier dépôt d'ossements des Catacombes, celui du cimetière des Innocents, en 1787. © Bernadette Arnaud RESTAURATION. Deux fois par ans, ses équipes restaurent une partie des murets d'ossements pour entretenir ce fragile édifice pluri-centenaire. C’est en effet en 1786 que la décision fut prise de rassembler les ossements provenant des tombes et des fosses communes dans ces galeries souterraines d’où avaient été extraites, depuis le Moyen Age, les pierres pour bâtir Paris. Il s’agissait alors de faire face à la saturation des cimetières parisiens et aux problèmes d’insalubrité générés par la décomposition des milliers de cadavres inhumés dans les fosses communes. En particulier, celles du cimetière des Innocents, le premier à avoir été évacué, avant d’autres cimetières du centre de Paris. Site de la "Lampe sépulcrale". Au XIXe siècle, cette lampe à huile servait à provoquer des courants d'air. L'air chaud dégagé par la flamme, provoquait des mouvements d'air dans toutes les galeries. © Bernadette Arnaud TAUX D'HUMIDITÉ. "Passe-moi un tibia !", réclame tout-à-trac l’un des restaurateurs à son collègue, achevant de remonter l’une des macabres parois. "Ce matériel osseux est très fragile, confie la responsable des lieux. Avec son taux d’humidité trop élevé, le climat de l’ossuaire est en fait assez incompatible avec sa conservation". D’où la mise en place sur l’ensemble des galeries de sous-bassements de pierre pour éviter que les os ne soient en contact direct avec le sol humide. "Nous réalisons aussi un maillage d’ossements qui permet à l’air de circuler entre les vestiges organiques", poursuit la conservatrice. Un "ossuaire dans l’ossuaire" a même été créé pour rassembler les os les plus mal en point. Concentrés, les restaurateurs sélectionnent soigneusement les fémurs et les crânes qui seront exposés au public selon un alignement reproduit à l’identique depuis les origines du site. Ces murailles dissimulent en arrière-plan la présence de millions d’ossements déposés en vrac sur 3,50 m de profondeur, et des remblais laissés par les carriers "qui occupent en fait la moitié du volume", ajoute Sylvie Robin. ©sciencesetavenir
~ Un jour ou l'autre, tout remonte à la surface ~
Lun. 15 Mai 2017, 10:06
La terrasse de la Grande Arche sera à nouveau accessible au public, avec panorama, expositions et restaurant.
LE MONDE | 15.05.2017 à 08h29 | Par Frédéric Edelmann
Mardi 2 mai, avant un second tour propice à interpeller les consciences politiques sur l’héritage de François Mitterrand, un déjeuner réunissait à Puteaux (Hauts-de Seine), au pied de l’arche de la Défense, à l’Hôtel Mercure, le gratin de l’architecture. Des maîtres d’œuvre (architectes), des maîtres d’ouvrage, des ingénieurs de haut vol et même des journalistes, tous témoins à des degrés divers de la naissance du monument, et donc de la mort, en 1987, de son principal architecte, le Danois Johann Otto von Spreckelsen. Puissance invitante : Robert Lion, président de l’association Grande Arche, après avoir été, comme directeur de la Caisse des dépôts, son parrain bienveillant en 1989 à la demande de François Mitterrand. Avant une visite du toit, fermé au public depuis 2009, et finalement rénové par l’agence Valode et Pistre, Robert Lion annonce sa réouverture le 1er juin.
Ainsi s’achève un double chantier. Il aura concerné aussi bien la restauration des espaces et des terrasses du toit que celle des façades de marbre de la paroi sud, converties au granit blanc. A quoi il faut ajouter la restauration de deux œuvres monumentales : La Carte du ciel, de Jean-Pierre Raynaud, et la Fresque monumentale, de Jean Dewasne (1921-1999), sur toute la face intérieure de la paroi sud. Aujourd’hui remises à neuf, elles ont retrouvé leur superbe.
Pont-promenade
La raison d’être de l’espace du toit, à l’origine voué à un carrefour de la communication qui aura fait long feu, a été oubliée. Désormais, outre un pont-promenade offrant une vue spectaculaire à 360 degrés, il proposera un restaurant de cinquante couverts – les Jardins de Joséphine, petit frère du Joséphine, rue du Cherche-Midi, à Paris, avec une carte « bistronomique », composée par le chef Jean-Christian Dumonet.
Pour accéder au toit (11 000 m²), les ascenseurs panoramiques, familiers des pannes, ont été modifiés pour supporter un vent de 80 km/h (50 km/h auparavant). Le groupe toulousain City One, spécialisé dans les métiers de l’accueil, qui fête cette année ses 25 ans, dont 9 ans de croissance ininterrompue, a signé un bail de neuf ans avec Eiffage et investi 2,5 millions d’euros pour l’aménagement et la gestion du toit. Un espace d’exposition de 1 200 m² voué au photojournalisme assurera enfin la dimension culturelle du lieu, où sont espérés un million de visiteurs par an.
Jean-François Leroy, fondateur du festival Visa pour l’image à Perpignan, assurera la direction artistique de quatre expositions chaque année. La photographe américaine Stephanie Sinclair doit étrenner l’endroit à partir du 15 juin, avec une série dénonçant les mariages précoces à travers la planète (Too Young to Wed). On retrouve enfin les trois amphithéâtres de 150 places créés dès 1989, ainsi que 200 m² réservés à des expositions liées à des événements d’actualité.
L’aspect extérieur privilégié
Jean Pistre, un des deux architectes en charge de la dimension physique du chantier associés au groupe de travaux Eiffage, n’a pas caché sa fierté d’avoir été choisi pour transformer ce « symbole d’une époque bénie où l’Etat lançait de grands projets magnifiques ». Détaillant la dimension technique de leur travail, il a rappelé l’apport de Paul Andreu, architecte notamment des aéroports de Roissy, qui a achevé l’Arche après la disparition de Spreckelsen et a pu apporter sa connaissance du monument à l’entreprise de rénovation. Andreu, présent dans l’assemblée, rappelle les données initiales : « Nous avions des contraintes fortes : ériger un arc de triomphe moderne dans la continuité de l’axe historique qui traverse Paris d’est en ouest. L’aspect extérieur a été privilégié sur l’intérieur. Aujourd’hui, il faut reprendre complètement l’organisation du bâtiment. »
Et d’en profiter pour prendre le monde à témoin de la dégradation de l’aéroport de Roissy 1, suivi sur le même registre par Paul Chemetov, à qui l’on doit le ministère des finances à Bercy, et par Christian de Portzamparc, architecte d’une Cité de la musique qui, elle aussi, s’essouffle. Approbation silencieuse d’Adrien Fainsilber (la Cité des sciences) et de Martin Robain (pour Architecture-Studio, coauteur de l’Institut du monde arabe), tous plaidant en somme pour les absents du jour, et signataires le 12 septembre 2016 d’une tribune dans Le Monde, « Ne défigurons pas la Grande Arche de la Défense » : Jean Nouvel (la Philharmonie de Paris), Dominique Perrault (la BNF), Renzo Piano (le Centre Pompidou et le futur Tribunal de grande instance), Richard Rogers…
Tout serait pour le mieux si la paroi nord, propriété d’Axa et de la Caisse des dépôts, n’était restée en l’état, l’assureur s’étant fermé jusqu’à présent à toute idée d’intervention sur l’édifice. Aucun classement ni protection ni label ne protègent encore l’Arche de l’abandon, malgré les études très précises faites à ce sujet : c’est que l’Etat redoute d’ouvrir la boîte de Pandore en protégeant des édifices récents, ce qui l’obligerait à prendre en charge une large partie des travaux. Heureusement, Axa s’est décidé à lancer les travaux sur le pilier nord. Le chantier devrait commencer début 2018 et durer environ un an.
Frédéric Edelmann Journaliste au Monde http://www.lemonde.fr/architecture/artic...09550.html
Lun. 15 Mai 2017, 12:33
Une chaufferie à visiter pas loin d'Alès
PoNy CLuB
Mar. 16 Mai 2017, 12:50
https://www.facebook.com/photographie.souterraine/
"Les catacombes disparaîtront sous les injections. Les cataphiles disparaîtront sous leurs déjections" (Nostradamus)
Mar. 23 Mai 2017, 17:29
Paris: Des stations fantômes du métro vont (enfin) ressusciter
20 Minutes, 23 mai 2017. Citation : URBANISME Dans le cadre de la seconde édition de « Réinventer Paris » lancée ce mardi, la RATP a annoncé mettre à disposition trois stations fantômes de son réseau… http://www.20minutes.fr/paris/2073795-20...essusciter
Mer. 24 Mai 2017, 09:36
(Mar. 23 Mai 2017, 17:29)Andrew a écrit : sur le même thème qui nous passionne apparemment (les projets "Réinventer Paris") : titre alléchant sans beaucoup de contenu, feat. une photo de la PC. Réinventer Paris, Saison 2 épisode 1 : Paris invite promoteurs et architectes à explorer ses dessous dans Les Echos "L’appel à projet « Réinventer Paris 2 » vise à transformer 34 sites, tout ou partie enterrés, et les réaménager..." d'autres articles en lien en bas, bonnes lectures !
Ns entrerons ds la carrière qd...ns y trouverons...vertus...
Mer. 24 Mai 2017, 10:24
Total restecp
https://www.leparisien.fr/paris-75007/pa...000239.php
- La vie est un long fleuve tranquille où on en apprend tous les jours et où tout reste à apprendre -
(Mar. 30 Mai 2017, 22:02)Leopium a écrit : Dans Le Parisien: vol de câbles dans les catacombes... Encore un qui a voulu rouvrir PR mais qu'était trop bourré et qu'à mal visé...
Pourquoi être tête en l'air quand on peut avoir la tête en bas ?
Pour voir toutes mes photos, c'est ici ! | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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