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En prime un beau lien vers la zedou connection (old school !!)
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BBC News a écrit :France reveals British WWI cave camp
France has reopened a labyrinth of medieval quarries under the northern town of Arras which the British army converted into an underground hideout for 24,000 soldiers during World War I. The BBC's Emma Jane Kirby went to investigate.
Eighteen metres (60ft) underground and immediately I'm cold, slightly unnerved by the dimness of the light and very uncomfortable as the chalky ceilings constantly drip freezing water on my head.
Although these secret caves were a huge step up from the horror of the World War I trenches, this was no cushy billet either.
Used briefly as an air raid shelter in World War II, the caves were sealed and largely forgotten about. But now they are a museum.
After an hour wandering around the network, my clothes are damp and my teeth are chattering.
The 24,000 soldiers who were hiding here for eight days before the Battle of Arras in 1917 must have been chilled to the bone before they surfaced into the daylight to fight for their lives.
Poignant messages
The traces of the former occupants are everywhere. Graffiti on every wall tells the tale of the frightened soldiers, chiselling their initials into the chalk, desperate to leave some mark of their existence.
I stop beside a rough love heart and can just make out the letters L and J and I imagine how, 91 years ago, J must have been nervously waiting for her sweetheart L to come home. The Battle of Arras was so bloody that it is almost inevitable he did not.
A little further along, an artistic soldier had painted a woman's face onto the wall. She is ethereally beautiful and Madonna-like - a loved wife, an adored mother or perhaps just a much-needed fantasy or a lucky charm?
The tunnels are wide and tall - 12m high in some places - which allowed the British army to create a highly sophisticated network.
There was an operating theatre and a hospital with 700 beds, there were cook houses, post boxes for the soldiers to write their letters home and even a light railway.
Throughout the 19km (12 miles) of interconnecting tunnels, each pillar was clearly marked with a number to help the soldiers find their way around.
Familiar names
Each cave section was also given a name by the engineers who helped create them. The southern part that makes up the museum is called Wellington, named, perhaps wistfully, by the homesick soldiers of the New Zealand Tunnelling Company.
Angela Convers, the museum tour guide, told me the Northern section (not open to the public) had been dug by Yorkshire miners.
"It's funny to think that hidden 20 metres under this little French town, and completely unknown to them, you have Glasgow, Edinburgh, Crewe and London!"
On Easter Sunday, the day before the Battle of Arras, the soldiers held a service to pray for courage. You can still see the melted wax on the pillars they used as a makeshift altar and a painting by a soldier of his comrades at prayer.
At 0530 the next morning they were marched to Exit 10 and told to climb the stairs to the outside world.
At the last moment they were ordered to leave their great coats behind to allow them greater freedom of movement. As the hatch lifted, the first thing the men would have seen was that it was snowing.
The briefest glimpse into Arras cemetery tells the story of what happened to most of those soldiers. During the six weeks of battle, the British army alone recorded 4,000 casualties per day.
In the daylight, I remembered a prayer of thanksgiving carved into the chalky wall of a tunnel by a soldier grateful not to be in the mud of the trenches: "Thanks be to God for providing us with this shelter from shells and bullets."
The tunnels gave only a temporary respite from the horrors of the Great War. The second the trap doors opened, the protection abruptly ended.
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La voix du nord a écrit :Carrière Wellington à Arras
souvenir de la guerre sous terre
La carrière Wellington, qui a abrité plus de 20 000 soldats pendant la Grande Guerre, à Arras, sera officiellement inaugurée ce soir à 19 heures.
Le grand public, lui, devra attendre le 1er mars pour découvrir ces puits dâextraction de calcaire qui furent transformés par lâarmée britannique, durant la Grande Guerre, en un réseau de défense qui comprenait même un hôpital militaire.
Un immense labyrinthe pour jouer au chat et à la souris. Dans les 300 km de carrières sous Paris, policiers et cataphiles se croisent, le plus souvent sans se voir. Mais parfois, ils se rencontrent. « L'année passée, nous avons contrôlé, verbalisé - 35 euros l'amende - et raccompagné à la surface 220 personnes », détaille le commandant Didier Mauger, à la tête de la brigade sportive spécialisée dans ces interventions souterraines. Son rôle : faire respecter l'arrêté préfectoral de 1955 qui interdit de pénétrer et de circuler dans les carrières. Dans Nouveau Mystères de Paris*, un ouvrage publié aujourd'hui par la préfecture de police Paris, l'action de ses agents dans les carrières est expliquée au public.
Le commandant Didier Mauger inspecte depuis plus de vingt-cinq ans les souterrains. « En 1980, un collègue, Jean-Claude Saratte, a entendu parler de soirées d'étudiants en médecine dans les catacombes. On s'attendait alors à tomber sur des infirmières nues, mais on ne les a jamais trouvées », raconte-t-il en s'enfonçant dans les galeries. Casque sur la tête, lampe torche, bottes boueuses, ces « cataflics » avancent, dos courbé, le long des carrières étroites. Aucun visiteur à l'autre bout de la galerie mais pléthore de graffitis sur les murs.
Le commandant décrit les profils des visiteurs : « Des cataphiles qui tentent de sauvegarder les lieux, des jeunes qui viennent faire la fête et des personnes qui veulent laisser leur empreinte. » Les relations entre les différentes catégories ne sont pas cordiales. Un des tagueurs joue même la provocation en laissant au mur les lettres FC, pour « frotte, connard », à l'attention des cataphiles qui effacent les graffitis. Si en général, les visiteurs se contentent de balades de quelques heures, une minorité de passionnés laissent leurs hamacs sur place. « Une fois, j'ai rencontré un étudiant en géologie qui avait passé trois jours dans les carrières », se souvient le brigadier Weber. Les policiers semblent prendre leur mission avec le sourire, mais leur commandant insiste : « Circuler dans ces galeries représente un vrai danger, car sans moyen de communiquer - les portables ne captent pas -, sans lumière et sans eau, les problèmes peuvent vite devenir graves. » L'année dernière, ils ont secouru un jeune homme resté onze heures dans les carrières. Mais il arrive que l'intervention des policiers soit moins appréciée. « On intervient parfois avec des fumigènes. Comme on se repère au bruit, on épie tous les sons. Et entre policiers, on évite les discussions en rapport avec notre fonction pour rester discrets », souligne le brigadier
* Les dossiers de la préfecture de police, La documentation française, 9,50 euros.
Quelqu'un peut il se procurer ce "dossier de la préfecture de police ?"
Citation :La jeune femme de 24 ans avait été interpellée avec un homme de 26 ans, le 24 janvier 2008 à un péage d'autoroute à hauteur de Vierzon (Cher) lors d'un contrôle inopiné des douanes. Dans le coffre de leur véhicule, les douaniers avaient notamment découvert deux sachets d'un kilo de chlorate de soude, substance pouvant entrer dans la fabrication d'un engin explosif.
Présentés comme des militants présumés de la mouvance «ultragauche», fréquentant des squats, ils ont été mis en examen le 27 janvier par les juges Marie-Antoinette Houyvet et Edmond Brunaud pour «détention et transport d'un produit incendiaire ou explosif destiné à entrer dans la composition d'un engin explosif» et «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste».
On n'a plus le droit de désherber son allée pavée?
*imagine les policiers comme dans les films, à tremper leur doigt dans le chlochlo et le mettre en bouche pour faire ensuite "ouais, c'est de la bonne"*
Si c'était du chlorate à 100%, c'est interdit. En France il doit être coupé au moins à hauteur de 40% avec des substances inertes d'après ce que j'ai pu lire dans un texte de loi relatif à sa mise sur le marché. Accessoirement j'ai cherché du chlorate à 100% en France mais j'en ai pas trouvé (enfin pas légalement). Par contre yen a en belgique et en suisse.
Citation :Livre "Les réfugiés dans les carrières"
dimanche 07 juin 2009 Réfugiés dans les carrières pendant la guerre
Des réfugiés dans lâhôpital souterrain de Fleury-sur-Orne.
Histoire. Lorsque les soldats alliés débarquent, les Caennais doivent fuir. Pour aller o๠? Sous terre ! C'est là que l'histoire rejoint la géographie.
Sous l'agglomération existent des carrières creusées dans le calcaire. Car, depuis le Moyen àge, la pierre de Caen a excellente réputation. De nombreux réfugiés vont se terrer là , à Fleury-sur-Orne, à La Maladrerie ou à Colombelles, entre crainte et espoir.
Un quart des habitants de Caen, environ 20 000 personnes, va survivre sous terre, du 6 juin à la fin juillet. Troglodytes d'une nuit ou de plusieurs semaines. Une ville souterraine. Divers ouvrages ont raconté son histoire. Le livre Les réfugiés dans les carrières reprend ces témoignages étonnants.
Aménager un endroit pour soi et sa famille, trouver de la nourriture, s'éclairer, se laver, tous ces gestes si simples prirent des proportions inimaginables dans les cavernes. Il fallait aussi s'occuper des bébés et des vieillards. Une vraie solidarité naquit dans ces galeries mal éclairées.
Au-delà du travail de mémoire, réalisé avec le Mémorial de Caen, l'originalité du livre réside dans l'approche du sujet par les auteurs, Laurent Dujardin et Damien Butaeye, l'un archéologue, l'autre géologue, tous deux passionnés de spéléologie. Ils ont étudié les carrières avec la méthode scientifique de l'archéologie : relevés in situ, plans, photos, exhumations d'objets qu'ils font parler.
Pour illustrer le propos, nombre de photos de lampes à carbure, cafetières et autres traces viennent compléter les documents d'archives. Leur regard renforce et renouvelle notre connaissance du sujet.
"Dans Le Progrès daté du 21/08/2009 un article sur les souterrains de Lyon ont une partie pourrait être menacée par le creusement du deuxième tube du Tunnel de la Croix Rousse."