Clistax a écrit :Black a écrit :J'ai regardé sur les sites consacrés aux regards de chaussée ou plaques mais l'histoire des fabricants et de l'utilisation de ces objets n'est pas le point fort de ces sites...
La plupart des fabriquants ont fermé ou ont été rachetés par Saint-Gobain, il est donc difficile de retrouver de l'information vieille d'un siècle et demi sur un sujet aussi mineur.
Quand à l'utilisation de ces objets, je dirais que c'est pour boucher un trou, non ?
Vu le nom "bouchair" et la tronche de la plaque, on peut supposer qu'il s'agisse d'une plaque plus ou moins étanche.
En effet pas facile de trouver des informations... Pourtant, il me semble que beaucoup de ceux qui se promènent sur ce site (hors Ktaphile mono-maniaque) ont des connaissance assez pointues dans des domaines mineurs (carrières, mines, mineurs oouuaaAH
).
Je pense pourtant que la fonderie n'est pas un domaine si mineur que ca.
Citation :Vu le nom "bouchair" et la tronche de la plaque...
A bien y regarder je pencherais maintenant plus pour
Douchair. De plus le centre plein mais bombé semble pouvoir bouger à la vertical comme le zigouà¯gou௠dans la partie inférieure gauche.
Mon questionnement concerne plus la date d'apparition des premières plaques. Je ne comprend pas non plus comment une plaque datée 1860 (si c'est une date) peut être présente sur un lieu qui à l'époque était recouvert d'un batiment. Est ce que cette plaque était dans la cour, dans une cave ou dans le salon ? Est ce que le fournisseur est une ancienne fonderie du coin, ou la plaque à été importé du sud Bhoutan ? Quel est le système d'ouverture de la plaque?
Pour ce qu'il y a en-dessous, le mystère n'est pas très épais : soit c'est un accès aux canalisations (mais il y en a de plus pratiques), soit une vanne se trouve dessous...