Mar. 28 Fév. 2006, 19:03
le_geant a écrit :acontios a écrit :Je trouve celle-là sympa:
Il est pas fait exprès celui là ?
(voiX... pffff)
il me semble pas qu'une "voie" s'ecrive "voix" , de quoi douter de l'origine de ce jeux de mots.
Mar. 28 Fév. 2006, 19:03
Mer. 01 Mars 2006, 20:08
à mon avis ça a été fait exprès parce que là o๠on marche sa s'écrit v.o.i.e ( du lat. via) et quand tu parles sa s'écrit v.o.i.x ( du lat. vox)
maintenant une voie qui reste sans voix pourquoi pas ?
maintenant une voie qui reste sans voix pourquoi pas ?
Mar. 14 Mars 2006, 16:43
En Sologne...
Ven. 28 Avr. 2006, 18:45
...
Sam. 28 Oct. 2006, 00:40
Une série dans le 13ème arrondissement!
Plutôt sympa
Plutôt sympa
Sam. 28 Oct. 2006, 00:42
suite...
Sam. 28 Oct. 2006, 00:44
suite...
Sam. 28 Oct. 2006, 00:46
suite...
Sam. 28 Oct. 2006, 00:48
suite et fin...
Mar. 12 Juin 2007, 06:22
celle-ci m'a interpellé...
Mar. 12 Juin 2007, 09:21
ptete ceux qui regle les antenne de télé sur les toits :mrgreen:
Mar. 12 Juin 2007, 11:44
bon, un peu d'histoire alors :
Suzanne MASSON, dessinatrice industrielle
Née le 10 juillet 1901 à Doullens (Somme), militante syndicaliste et communiste. Suzanne MASSON poursuivit des études pour devenir dessinatrice industrielle. Après avoir travaillé dans différentes usines de la région parisienne, elle fut embauchée à l'usine Rateau (Alstom aujourd'hui) à La Courneuve et commença à militer à la CGTU dès 1926 avant d'adhérer au Parti communiste en février 1934.
Très active lors des grèves de 1936, elle fut responsable des cadres de chez Rateau et secrétaire adjointe de la section syndicale des employés et techniciens.
En juin 1936, elle siégea à la direction du comité de grève puis au bureau du syndicat CGT des Métaux de la région parisienne. Après avoir été élue en 1937 membre du Comité régional communiste de Paris-Nord, elle fut licenciée de chez Rateau à la suite de la grève d'avril 1938. Devenue permanente de la CGT, elle se consacra alors à l'école de rééducation créée par la Fédération des Métaux.
Après l'interdiction du Parti communiste en septembre 1939, Suzanne MASSON poursuivit son militantisme communiste : clandestine à partir de 1939, elle participe au premiers groupes d'OS, elle distribue dès juin 1940 des tracts clandestins dans Paris occupé. Fin 1940, elle est une des organisatrices des comités populaires
Elle est arrêtée à son domicile boulevard Mac Donald dans le 19ème, le 5 février 1942 par la police française.
Emprisonnée à La Roquette puis à la Santé, elle fut livrée aux Allemands puis déportée à la forteresse d'Anrath. Son refus de travailler pour l'armée allemande lui valut à plusieurs reprises la peine du cachot. Transférée à Là¼beck pour être jugée par une cour martiale en juin 1943, elle fut frappée d'une double condamnation à mort et refusa le recours en grâce que lui proposait son avocat hitlérien.
Devant le tribunal fasciste elle déclara qu'elle n'avait fait "que son devoir de patriote française et de communiste pour l'humanité".
Elle fut transportée à la prison de Hambourg en octobre 1943 et décapitée à la hache le ler novembre 1943.
Elle fut citée à l'ordre de la Nation le 16 février 1946, avant d'être nommée dans l'ordre national de la Légion d'honneur à titre posthume dans les termes suivants: « Ardente patriote et grande syndicaliste animée du plus admirable esprit de Résistance, a su communiquer à ses compagnons de lutte et de captivité son inébranlable foi en la victoire finale. Arrêtée par la milice française sur l'ordre de la Gestapo, déportée politique, condamnée à mort pour détention d'armes et appels à la Résistance. Exécutée à Hambourg. Est morte en héroà¯ne. »
Suzanne MASSON, dessinatrice industrielle
Née le 10 juillet 1901 à Doullens (Somme), militante syndicaliste et communiste. Suzanne MASSON poursuivit des études pour devenir dessinatrice industrielle. Après avoir travaillé dans différentes usines de la région parisienne, elle fut embauchée à l'usine Rateau (Alstom aujourd'hui) à La Courneuve et commença à militer à la CGTU dès 1926 avant d'adhérer au Parti communiste en février 1934.
Très active lors des grèves de 1936, elle fut responsable des cadres de chez Rateau et secrétaire adjointe de la section syndicale des employés et techniciens.
En juin 1936, elle siégea à la direction du comité de grève puis au bureau du syndicat CGT des Métaux de la région parisienne. Après avoir été élue en 1937 membre du Comité régional communiste de Paris-Nord, elle fut licenciée de chez Rateau à la suite de la grève d'avril 1938. Devenue permanente de la CGT, elle se consacra alors à l'école de rééducation créée par la Fédération des Métaux.
Après l'interdiction du Parti communiste en septembre 1939, Suzanne MASSON poursuivit son militantisme communiste : clandestine à partir de 1939, elle participe au premiers groupes d'OS, elle distribue dès juin 1940 des tracts clandestins dans Paris occupé. Fin 1940, elle est une des organisatrices des comités populaires
Elle est arrêtée à son domicile boulevard Mac Donald dans le 19ème, le 5 février 1942 par la police française.
Emprisonnée à La Roquette puis à la Santé, elle fut livrée aux Allemands puis déportée à la forteresse d'Anrath. Son refus de travailler pour l'armée allemande lui valut à plusieurs reprises la peine du cachot. Transférée à Là¼beck pour être jugée par une cour martiale en juin 1943, elle fut frappée d'une double condamnation à mort et refusa le recours en grâce que lui proposait son avocat hitlérien.
Devant le tribunal fasciste elle déclara qu'elle n'avait fait "que son devoir de patriote française et de communiste pour l'humanité".
Elle fut transportée à la prison de Hambourg en octobre 1943 et décapitée à la hache le ler novembre 1943.
Elle fut citée à l'ordre de la Nation le 16 février 1946, avant d'être nommée dans l'ordre national de la Légion d'honneur à titre posthume dans les termes suivants: « Ardente patriote et grande syndicaliste animée du plus admirable esprit de Résistance, a su communiquer à ses compagnons de lutte et de captivité son inébranlable foi en la victoire finale. Arrêtée par la milice française sur l'ordre de la Gestapo, déportée politique, condamnée à mort pour détention d'armes et appels à la Résistance. Exécutée à Hambourg. Est morte en héroà¯ne. »
Mar. 12 Juin 2007, 12:11
Enorme les tofs Geo !
c nouveau ou ca a tjr ete comme ca ?
l'en faudrait ds tout paris de ca !
c nouveau ou ca a tjr ete comme ca ?
l'en faudrait ds tout paris de ca !
Mar. 12 Juin 2007, 14:29
KTA'LBATOR a écrit :l'en faudrait ds tout paris de ca !
Quand tu vois la gueule du quartier en question, tu te dis qu'heureusement que tout Paris n'est pas comme ça. De plus, ce quartier n'a vraiment pas grand chose à voir avec le petit village de résistants gaulois.
Mar. 12 Juin 2007, 15:14
Promis, dès que je repasse dans ma province natale (Reims), je balance la tof de "L'impasse de la Justice". comme quoi, c'était écrit...