bon d'accord a écrit :C'est hors sujet mais bon ça m'a étonné de voir qu'il y avait déjà des bombardiers en 18 (ceci dit après une petite recherche, ils les balancaient à la main de leur biplan, c'était du modèle de bombardier à pédales). C'est dans l'2ème près de la station 4 septembre.
Effectivement, ils balancaient leurs bombes a la main. En ce temps la, les avions n'etaient pas les seuls utilises pour bombarder. Il y avait aussi les zepelins, ces dirigeables gonfles a l'hydrogene.
La, ca doit, plutot etre un zepelin qui a bombarde, car paris etait assez loin du front, vu l'autonomie des avions de l'epoque. C'est bien pour ca qu'ils s'etaient amuses a fabriquer la grosse bertha, pour bombarder paris a plus de 100 km.
Ou alors, c'etait pendant l'offensive en juillet 18, quand ils se sont rapproches de paris, et qu'ils ont failli percer le front.
legionnaire a écrit :La, ca doit, plutot etre un zepelin qui a bombarde, car paris etait assez loin du front, vu l'autonomie des avions de l'epoque. C'est bien pour ca qu'ils s'etaient amuses a fabriquer la grosse bertha, pour bombarder paris a plus de 100 km.
Un Zepelin au dessus de Paris n'aurait pas tenu 10 min.
Les Allemands bombardaient régulièrement Paris à cette période.
Le pire en Mars 1918 ou pendant 10 jours, Paris était bombardée tous les jours (avant la grosse Bertha)
Il y avait bien des avions qui survolaient Paris et lachaient des bombes au printemps 18. Ces raids aériens avaient déja lieu dès 1914 grâce aux Zepelins , ensuite l'allemagne prépara des bombardiers "à long rayon d'action" (pour l'époque) comme les Gotha IV et V
En ce qui concerne le canon qui bombardait aussi paris en mars 18, il a été confondu avec la fameuse "Grosse Bertha". Ce canon appelé "l'arme de guillaume" (Wilhelmgeschutze). C'était un calibre 210 mm qui avait une portée de plus de 120 kms. Les projectiles atteignaient une hauteur de 42 kms (record d'altitude conservé jusqu'à l'apparition des V2 !)
Le fut du canon devait être changé tous les 60 coups environs, les projectiles étaient numérotés et de calibres différents afin de tenir compte de la dilatation du tube au fur et à mesure des tirs.
La pièce et été disposée en 3 endroits (Forèt de St gobain, Baumont-en-Beine et Fère-en-Tardenois) à l'arrière des lignes allemandes.
Sur les 400 projectiles tirés entre mars et aout 18, environ 350 atteignirent Parisfaisant plus de 250 morts et 600 blessés.
Pour les curieux, les restes de la plate-forme de tir du bois de Montjoie près de Crépy en Laonnois, sont encore visibles ...
L'une à Aubusson dans la Creuse et l'autre à Limoges
Pour ceux qui ne voudraient pas voir leurs os piétinés par d'indélicats visiteurs clandestins...
Si quelqu'un peut m' expliquer ce que sont des "petits poulbots",ça serait sympa..
Avec en prime une petite flèche de Mr Above
waaben a écrit :Pour ceux qui ne voudraient pas voir leurs os piétinés par d'indélicats visiteurs clandestins...
Ca c'est a Grenoble, non ?
quotematiphas"]
waaben a écrit :Pour ceux qui ne voudraient pas voir leurs os piétinés par d'indélicats visiteurs clandestins...
Ca c'est a Grenoble, non ?[/quote]
Rue Rodier Paris 9eme
waaben a écrit :Si quelqu'un peut m' expliquer ce que sont des "petits poulbots",ça serait sympa..
Ce sont des personnages parisiens très kitchs.
Je n'ai trouvé qu'une image dans le cache de gougeul...
Il y en a aussi sur les murs chez ma grand-mère et surement dans les magasins pour touristes à Montmartre.
NaJ a écrit :waaben a écrit :Si quelqu'un peut m' expliquer ce que sont des "petits poulbots",ça serait sympa..
Ce sont des personnages parisiens très kitchs.
Je n'ai trouvé qu'une image dans le cache de gougeul...
Il y en a aussi sur les murs chez ma grand-mère et surement dans les magasins pour touristes à Montmartre.
en réalité ce sont les petits bonzommes dessinés par poulbot (j'ai un vieux fluide ou y'a sont cursus), mais en l'occurence, il semble que par extension il s'agisse de personnage n'ayant rien a voir ac l'auteur