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mess_h2o a écrit :Note importante aux personnes sensibles :
Je poste cet article car l'action se déroule dans les catas sous Paris. L'auteur s'est manifestement bien renseigné.
Cette histoire reflète sans doute le fantasme de son auteur ou a sans doute été inventée pour le plus grand plaisir des lecteurs de la revue pornographique dans laquelle il a été publié, ce qui n’aurait rien de surprenant à  la vue des autres articles => <!-- m --><a class="postlink" href="http://ckzone.org/viewtopic.php?t=5088">http://ckzone.org/viewtopic.php?t=5088</a><!-- m -->

Le commissaire divisionnaire Sarrate, en charge à  l'époque de ce type d'affaire explique dans plusieurs interviews qu'il n'a jamais eu à  traiter de vraies affaire de messe noire dans les carrières sous Paris.

Cette histoire ne doit certainement pas être prise au sérieux.

Citation :En plein coeur de Paris, les lucifériens se déchaînent

LA FEMME EST JEUNE ET JOLIE. DES BRACELET DE FER ENTOURE SES POIGNETS. QUELQUECHOSE DANS SON REGARD NOUS INDISPOSE: CETTE JEUNE FILLE NE SEMBLE PAS CONSCIENTE DE QUI LUI ARRIVE BIEN QU'ELLE PARAISSE CONSENTANTE. NOUS APPRENDRONS PLUS TARD QU'ELLE A ABSORBEE DE FORCE UNE FOR DOSE DE DATURA (L'herbe aux sorcières)

"Astaroth, Asmodée, prince des ténèbres et de l’amitié, je vous conjure d'accepter le sacrifice de cette vierge pour les choses que je vous demande..."
Une femme nue est étendue sur l'autel. Au dessus d'elle le prêtre, portant tous les ornements sacerdotaux, tient un enfant nouveau-né par le talon gauche. Lentement, avec un couteau sacrificiel, il incise la gorge du pauvre innocent et laisse son sang s'écouler dans le calice posé sur le ventre de la femme. Pour tous, cette scène évoque la sanglante affaire des poisons qui tacha de rouge et de noir la cour du roi Soleil. L'incroyable, c'est que cette scène s'est renouvelée tout dernièrement en Espagne, oui en 1991!
Nous avons voulu savoir si ce genre de chose pouvait se dérouler en France. "Oui, nous a confirmé un membre important d'une secte luciférienne de Paris, bien que nous n'allions pas jusqu'aux sacrifices humains". Pour confirmer ses dires, Jean-Pierre G. 45 ans, nous a convié à  l'une de ses cérémonies. Nous sommes un soir de septembre, nous nous rendons Place de Rungis dans le 13eme o๠notre guide nous attend. Furtivement nous pénétrons dans les entrepôts routiers. Nous suivons une voie de chemin de Fer, faisant partie de la petite ceinture. Le trafic y est presque nul, a part quelques trains de marchandises. Nous traversons alors un tunnel. Sur notre droite, dans le mur, à  un mètre du sol, nous découvrons un trou d'une cinquantaine de cm creusé dans le béton. Ce ne sera qu'un jeu d'enfant pour passer cet obstacle et oh surprise, nous nous retrouvons dans les catacombes! Pas celles que les touristes visitent, mais dans les non officielles o๠reposent des milliers de cadavres en vrac dont ceux des guillotinés de la révolution. Spectacle macabre et nous devons ramper longuement sur les ossements pour arriver enfin dans une pièce circulaire creusée à  même la craie. Notre contact nous attend avec son assemblée de démoniaques. Nous serons autorisés à  prendre des photos (fait exceptionnel) mais les assistants seront cagoulés par respect de l'anonymat. On nous a annoncés une vraie messe noire, servie par un vrai prêtre. (Nous saurons plus tard qu'il s'agit en fait d'un évêque d'une église gallicane!). Une chose nous frappe dès l'entrée: tous les
Assistants portent des tuniques amples, faciles à  enlever et tous comme prévu portent la cagoule. La pièce est doucement éclairée par des cierges rouges. Impressionnant! A proximité de l'entrée, un énorme bénitier de granit. Il est plein d’un liquide jaunâtre, qui sent fortement l'urine... Notre contact passe devant nous et fait un signe de croix à  l'envers après avoir trempé ses doigts dans le liquide nauséabond.
L'autel, ou plutôt la table qui en tient office est recouvert d'un drap rouge. Deux chandeliers munis de cierges noirs complètent cette vision cauchemardesque.
Le prêtre, accompagné d'une femme nue, apparaît, sortant de derrière une tenture rouge. La femme est jeune et jolie. Des bracelets de fer entourent ses poignets. Quelque chose dans son regard nous indisposent: cette jeune fille ne semble pas réellement consciente, un homme la soutien tant sa démarche est hésitante (Patricia, (c'est son prénom) nous confiera plus tard avoir été obligée par son ami d'avaler une forte dose de Datura. Le prêtre l'incite à  s'allonger sur l'autel. Un chant éclate:
"Gloria in profundis Satan!'''' Puis arrive l'instant de l'offertoire (NDT : l’offrande). Tous les yeux sont fixes sur l'autel. Le prêtre prend alors en main une hostie noire qu’il élève vers l'image de Satan. "Satan, prince de ce monde accepte le sacrifice de cette hostie car elle est vraiment la chair!"
Puis élevant le calice: "Le sam., menstruel contenu dans ce calice est vraiment du sang. Accepte onc, toi notre Père e tous et accorde à  tes serviteur la fortune qu'ils convoitent!"
Puis il rompt l'hostie qu'il trempe dans le calice. Il en touche le front, les seins, le ventre de Patricia, puis l'introduit dans son vagin. Il lève encore le calice en boit une gorgée et verse reste dans la bouche de Patricia. L'officiant saisit l'hostie d'ente les cuisses, la brise et en jette les morceaux à  travers la salle. Tous se précipitent à  terre pour rechercher sa part de l’infernale communion!
Puis tout va très vite, quatre adeptes saisissent vivement les bras et les pieds de la jeune femme, la maintiennent jambes relevées et grandes ouverte. Le prêtre est déjà  nu, la verge d'une taille impressionnante (au moins 25 à  30 cm) est tendue, gonflée. Il monte sur l'autel et d'un coup violent pénètre la jeune fille qui hurle de douleur. Elle essaie de se débattre, se convulsionne, mais les gaillards la tiennent bien. Le prêtre la gifle fortement une bonne dizaine de fois. Puis ordonne à  ses complices de la retourner et sans ménagement la sodomise. Son cri déchire la nuit, elle pleure, impuissante devant ce viol, nous sommes ahuris par tant de violence. Mais que faire ? Nous ne sommes que deux contre une quarantaine de lucifériens terriblement excités! Le prêtre continue ses va et vient dans l'anus de la jeune fille. Ces véritables !coups de boutoirs la font hurler. Du sang coule sur ses cuisses. Enfin, de longs soubresauts secouent le prêtre tandis qu'il éjacule, la verge entièrement enfoncé dans le corps meurtri de la jeune fille. Celle-ci sanglote, 1 anéantie, brisée, souillée. Le prêtre donne alors le signal de l'orgie finale par ces mots:
"Honorez toujours Satan en vos corps, afin que pour les siècles des siècles se perpétue le règne du Très Bas!".
En une fraction de seconde, tous les adepte ' se retrouvent nus, ii y a là  une vingtaine de coules. Sans se préoccuper de nous commence une orgie indescriptible. Fort heureusement, nous ne sommes pas tenus d'y assister et préférons partir. Patricia est déjà  partie. Nous la retrouverons place de Rungis, à  la recherche d'un taxi. Marie, notre reporter, la raccompagnera chez elle et là  Patricia contera sa mésaventure:
Patricia, 20 ans, est au chômage depuis deux ans, un "ami" de passage, dont elle ignore même le nom, lui a proposée 20 000 frs pour jouer un rôle de figurante dans une fausse messe noire et o๠les participants devaient payer jusqu'à  5000 frs. Elle s'est faite rouler. Bien sà»r, elle devait poser nue sur l'autel, mais il n'était pas question de rapports sexuels! Pensez: elle était encore vierge.
Son "ami" lui a donnée du datura (herbe à  sorcières, que (un comble!) quiconque peut se procurer en pharmacie sous la forme de cigarettes pour asthmatique!) pour vaincre sa timidité à  poser nue. En fait, il l'a droguée, le datura enlevant toute résistance psychologique et physique. Patricia ne s'est rendue compte de rien ou presque jusqu'a ce que le prêtre la viole. L'effet du datura étant passé. Longtemps sans doute Patricia restera traumatisée suite à  cette expérience, à  ce viol perpétré par des débiles.