Les insectes ressentent-ils la douleur ?Piqûres, morsures, arrachement d'ailes ou de pattes, voire écrasement sous une chaussure ou une tapette... Le monde des insectes est, peut-être plus qu'un autre, confronté à la violence ! Souffrent-ils pour autant ?
D'après les entomologistes de l'université du Queensland (Australie) spécialistes de la question, "les données ne semblent pas plaider en faveur de leur capacité à ressentir la douleur" . En effet, de simples observations montrent qu'un individu blessé peut poursuivre une activité normale.
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Mouches, abeilles, grillons... leur cerveau en dit long sur nous
Par exemple, un criquet qui se fait dévorer par une mante religieuse continue de manger... Sur le plan neurobiologique, leur système nerveux est très différent du nôtre. Ils ne disposent notamment pas de nocicepteurs, ces récepteurs sensoriels activés par une lésion tissulaire.
La question n'est pas tranchée
Néanmoins, la question n'est pas définitivement tranchée : l'absence de preuve de supports biologiques de la douleur tels que nous les connaissons n'est pas une preuve d'absence de supports biologiques différents et encore inconnus.
Une chose est sûre, les insectes ne sont pas près d'obtenir la qualité "d'êtres vivants doués de sensibilité" , comme celle accordés aux animaux domestiques par un amendement, en avril 2014.
https://www.science-et-vie.com/questions...leur-49011
Je serais curieux de connaître les moyens de détection dont est équipé le site... Le bois n'est pas une matière qui crame hyper vite contrairement aux idées reçues, et avec pareil dégagement de fumée, je me demande combien de temps la propagation à petit feu a pu se faire sans être remarquée...
Moi je suis tout retourné. Une sorte d'effet de sidération comme lors du 11 septembre...
Quand je pense à tout ce bois centenaire (ou plus) qui part en fumé, j'ai beau être un peu iconoclaste ca me tourneboule.
(Lun. 15 Avr. 2019, 18:50)Georges V a écrit : [ -> ]Je serais curieux de connaître les moyens de détection dont est équipé le site... Le bois n'est pas une matière qui crame hyper vite contrairement aux idées reçues, et avec pareil dégagement de fumée, je me demande combien de temps la propagation à petit feu a pu se faire sans être remarquée...
Beaucoup de poussières et de petit bois, tout ce qu'il faut pour nourrir les flammes.
+ Le lieu, la charpente est quasi inaccessible aux moyens d'interventions.
Supposons... mais l'expert de canapé que je suis s'interroge quand même : si la manière dont les médias ont présenté les choses se confirme, à savoir que l'alerte n'a été donnée qu'une fois que des fumées épaisses ont fini par se dégager, et qu'il a fallu 40-50 minutes de plus pour attaquer, ça laisse à penser que de longues minutes se sont écoulées sans qu'une centrale de détection ne s'agite alors que ça flairait déjà bon le barbecue. Ce qui, dans mon ignorance technique pour ce genre d'ERP, me pousse à me demander quelles sont les obligations réglementaires... et à vouloir comparer ça avec des bâtiments neufs, où pas grand chose ne crame, mais qui sont criblés de moyens actifs et passifs.
(Lun. 15 Avr. 2019, 19:33)Black a écrit : [ -> ]Moi je suis tout retourné. Une sorte d'effet de sidération comme lors du 11 septembre...
Quand je pense à tout ce bois centenaire (ou plus) qui part en fumé, j'ai beau être un peu iconoclaste ca me tourneboule.
XIIIe siècle la charpente !
La charpente...
(Lun. 15 Avr. 2019, 19:33)Black a écrit : [ -> ]Quand je pense à tout ce bois centenaire (ou plus)
La charpente est d'origine pour certaines parties...
Vous savez quelle entreprise gérait le chantier ? C'était une grosse boite genre bouygue ou spi ou plutot une armada d'artisans variés ?
On se croirait sur les chaînes de la TNT, je zape de sujets et je tombe sur les mêmes histoires.
LOUL, la première photo, j'ai l'impression que c'est de départ d'une des deux tours ?
C'est quoi le principe de cette charpente du coup à cette endroit là ? ça retient la maçonnerie ? c'est pour armer la structure à cause du mouvement des cloches ?
