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Un article sur les catas depuis la république Tchèque.

Je comprends rien à  ce qui est écrit, mais ce sont des petits gars que j'ai amené sous terre, et qui y sont resté une semaine d'affilée pour leur premier séjour.

Des mecs à  la cool quoi (spéléos, etc...)

Bonne lecture

-Bhv-

http://www.czech-press.cz/index.php?opti...a&Itemid=4
Bhv a écrit :Un article sur les catas depuis la république Tchèque.

Je comprends rien à  ce qui est écrit, mais ce sont des petits gars que j'ai amené sous terre, et qui y sont resté une semaine d'affilée pour leur premier séjour.

Des mecs à  la cool quoi (spéléos, etc...)

Bonne lecture

-Bhv-

http://www.czech-press.cz/index.php?opti...a&Itemid=4

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C'est magique internet Color_
En anglais :

<!-- m --><a class="postlink" href="http://www.boingboing.net/2010/07/19/secret-society-of-ur.html">http://www.boingboing.net/2010/07/19/se ... of-ur.html</a><!-- m -->
<!-- m --><a class="postlink" href="http://brickmag.com/current/excerpt1.html">http://brickmag.com/current/excerpt1.html</a><!-- m -->

Je suppose que "BVH" c'est juste une faute de frappe Wink
greuh
ben non...

c'est moi et les entretiens datent d'un bon moment.

-Bhv-
Oui, je me doutais que c'est toi. Je soulignais simplement qu'ils ont écrit "BVH" et non "BHV" Wink

greuh
Pas récents, mais je comprends mieux l'utilité des tags dans les catas :

[Image: arton49.jpg]

Tomato
greuh, un peu inquiet pour l'Elysée 2012, n'empêche, d'un coup...
Lu sur la liste Spéléo... Portrait de Monsieur PETZL sur Libé

http://www.liberation.fr/economie/010165...r-de-corde

Citation :à‰conomie 06/09/2010 à  00h00

Paul Petzl. A Crolles, près de Grenoble, cet inquiet créatif défend une «success story»familiale dans le matériel de montagne.

Par ELIANE PATRIARCA

C’est vrai, l’image semble d’Epinal, presque trop séduisante pour être plausible. Paul Petzl, 60 ans, est un chef d’entreprise rafraîchissant comme une balade en montagne; un intuitif qui abhorre les mots «leader», «produits», «objectifs», qui a «horreur du monde de la finance qui détruit les savoir-faire». Un patron qui confesse une «vision idéaliste», revendique, au risque de paraître ringard, l’amour du «travail bien fait» et rejette les délocalisations qui font perdre le contrôle de la production. A contre-courant du modèle dominant, donc, mais fort du succès de son entreprise éponyme.

Créée en 1975 à  Crolles, près de Grenoble, Petzl est devenue une référence pour les alpinistes, grimpeurs ou spéléos mais aussi pour tous ceux qui travaillent en hauteur (ouvriers du bâtiment, des sociétés de nettoyage ou d’élagage, pompiers). Résultat, trente-cinq ans plus tard, un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros en 2009 dont 80% à  l’export. Une croissance sur les trois dernières années de 15%, 450 salariés et une présence dans quarante pays. Evidemment, la success story attire les prédateurs. «Les offres de rachat, je les classe dans la poubelle ! Vendre serait trahir», assène ce chantre d’une entreprise familiale aux allures de légende.

Paul Petzl est issu d’une famille d’«immigrés allemands qui vivaient en Roumanie», avant que son grand-père, ingénieur, arrive en France et obtienne la nationalité française via un engagement dans la Légion. Son père Fernand, né en 1913, est modeleur-mécanicien à  Crolles, et grand écumeur de gouffres. Une passion dont l’homme, réservé et orgueilleux, parle peu, mais qui impressionne son fils. «En 1933, il a ouvert le réseau des galeries de la Dent de Crolles. En 1952, il a pris la tête de l’expédition du gouffre Berger dans le Vercors. Quatre ans plus tard, ils atteignaient les mille mètres de profondeur, un record mondial alors.»

Dans les locaux de Petzl, au pied de la Dent de Crolles, l’histoire est reconstituée en accéléré. Une grande photo montre Fernand Petzl au travail, penché au-dessus de l’établi. A côté, exposées avec minutie, comme dans un atelier de mécanique, les collections colorées de harnais d’escalade, casques, piolets, assureurs, descendeurs, mousquetons et lampes aux couleurs acidulées. Des outils qui ont changé les pratiques verticales.

Bricoleur ingénieux, Fernand Petzlcherche comment faciliter la descente et la remontée sur corde : il teste avec son ami d’exploration Pierre Chevalier la première corde en nylon qui va remplacer le lourd chanvre qui se gonflait d’eau; en 1968, il met au point les premiers bloqueurs et descendeurs sur corde. Ses fils l’assistent dans ce qui devient, à  partir de l’atelier, une entreprise de vente par correspondance. «La semaine on fabriquait, le week-end on remplissait la voiture et on allait vendre dans des congrès de spéléo.»

Après des études de mécanique à  Grenoble, le jeune Paul, lui aussi passionné de spéléo et d’escalade - «ma mère, tendre et émotive, était toujours angoissée !» - rejoint l’atelier paternel o๠travaille déjà  son frère Pierre. Ils enchaînent des innovations qui vont asseoir la réputation de Petzl. Lassé de fabriquer les lourdes lampes à  acétylène des spéléos, Paul imagine, avec son père, de réunir lampe et boîtier de piles. Il demande à  sa femme Catherine, qui a rejoint l’entreprise, de lui ramener du marché des porte-jarretelles : les larges élastiques serviront à  fabriquer un bandeau qui maintienne le tout sur la tête et libère les mains des explorateurs des profondeurs. La lampe frontale voit le jour en 1973, révolutionne la spéléo et devient un objet culte pour les alpinistes. La SARL Petzl est fondée deux ans plus tard.

«Dans mon entreprise comme en escalade, j’ai beaucoup utilisé mes peurs», analyse cet homme svelte, au pas vif. Il grimpe une fois par semaine mais regrette de «n’être pas plus aventurier dans la nature», trop obsédé par la sécurité. «A la fin des années 80, on savait faire des descendeurs et des assureurs mais quand je grimpais, je ne me sentais pas en confiance.» Paul et son père planchent durant quatre ans. Jusquâ€™à  ce qu’un jour, eurêka !, il trouve le principe de l’assureur autofreinant. Sorti en 1991, le Grigri améliore la fiabilité de l’assurage en escalade.

A Crolles, dans le hall de l’entreprise, sont exposés tous les catalogues de matériel, la marque de fabrique de Petzl. Depuis le tout premier, ils sont assortis de dessins pédagogiques qui ont forgé une relation particulière avec les utilisateurs. Parce que «vendre sans former, ça n’a pas de sens». 4,7 millions d’articles produits, «ça fait des dizaines milliers de gens suspendus en l’air par jour, c’est lourd comme responsabilité», ajoute l’inquiet permanent.

Patron tatillon qui ne pardonne pas l’à -peu-près, objet de colères volcaniques. Lorsqu’en 2007, des clients l’alertent sur une fragilité des crampons Petzl, il ordonne leur rappel immédiat. De même, il impose à  son équipe de cesser de fabriquer des bâtons de randonnée tant qu’ils n’auront pas trouvé comment les rendre plus fiables.

La sécurité, Paul Petzl en a aussi fait un principe de gestion. Et une manière de conjurer quelques complexes. «Je viens de rien, je n’ai pas fait de grandes études. Alors j’ai dà» bâtir mes propres règles : rester ancré dans ce qu’on maîtrise, ne pas se disperser, ne jamais dépenser plus que ce qu’on a gagné, distribuer au moins 20% des bénéfices au personnel.» On pourrait ajouter : ne jamais afficher une affinité politique, rester hors champ. La pire de ses peurs ? «Ne plus maîtriser, être hors du coup, ne pas comprendre.» Alors il s’«ouvre l’esprit» grâce aux rencontres avec des philosophes, des chercheurs, des prêtres, des policiers du Raid, des écolos, organisées par un club d’entrepreneurs, l’association Progrès management.

Petzl dit devoir beaucoup à  sa femme. «Dans l’entreprise, Catherine m’a obligé à  résoudre les problèmes, à  ne pas fuir avant d’avoir trouvé la solution.» Dans la sphère familiale, elle«a assuré pour nos fils», Sébastien, 31 ans, expert-comptable à  Grenoble, et Olivier, 27 ans, qui dirige l’un des sites de production Petzl. Leur père rêve de leur transmettre l’entreprise mais observe que «ce n’est pas évident pour les enfants Petzl de trouver leur place ici». Conscient que son charisme, sa force de caractère, peuvent être écrasants.

En montagne, Paul Petzl se transforme : à  pied ou en ski de randonnée autour de son chalet d’alpage du Beaufortin, il exulte, cavale, léger comme un chamois. Mais on ne se refait jamais complètement. Sa femme trouvait la bâtisse trop sombre : Petzl a conçu des volets en bois qui fonctionnent comme des ponts-levis devant les baies vitrées, sans dénaturer l’architecture traditionnelle.

Photo Jean-François Marin. Fédéphoto

En 6 dates

1950 Naissance à  Saint-Ismier (Isère).

1970 IUT mécanique à  Grenoble et spéléologie.

1975 Création de la SARL Petzl à  Crolles.

1991 Implantation d’une filiale aux Etats-Unis et invention du Grigri.

2000 Invention de la première lampe frontale à  Led.

2003 Mort de son père, puis de sa femme

http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/...clerc.html
Les montes-en-l'air, c'est l'avenir! mauvaise pub pour les toiturophiles Squarecycle
Une bonne raison de plus de ne pas donner les lieux et les accès sur le forum
actkran a écrit :Une bonne raison de plus de ne pas donner les lieux et les accès sur le forum

Et si une banque est cambriolé, tu vas écrire aux pages jaunes de plus donner l'adresse des banques ?
h2o a écrit :
actkran a écrit :Une bonne raison de plus de ne pas donner les lieux et les accès sur le forum
Et si une banque est cambriolé, tu vas écrire aux pages jaunes de plus donner l'adresse des banques ?
T'as rien compris toi, le problème c'est le forum, pas les pages jaunes... si aucune banque n'est cambriolé, c'est parce-qu'on en parles pas ici.
CQFD !
h2o a écrit :Et si une banque est cambriolé, tu vas écrire aux pages jaunes de plus donner l'adresse des banques ?
Ce qui me soà»le dans ce cas, c'est que des mecs se fassent du blé grâce à  moi, sans que j'ai ma part!
Y'a plus de sens du partage de nos fucking's jours Icon_lol
http://www.leparisien.fr/faits-divers/ar...095044.php
Ca a l'air d'etre un smart gars Tongue

J'espere que ce post ne sera pas déplacé vers le forum "qui c'est qui est mort" Sad
actkran a écrit :http://www.leparisien.fr/faits-divers/ar...095044.php
Ca a l'air d'etre un smart gars Tongue

J'espere que ce post ne sera pas déplacé vers le forum "qui c'est qui est mort" Sad

la pub au dessus du journal etait service funeraire ville de paris !! pour qu'un service de qualité,..;
je trouve cela glauque!
actkran a écrit :http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/...clerc.html
Les montes-en-l'air, c'est l'avenir! mauvaise pub pour les toiturophiles Squarecycle
Une bonne raison de plus de ne pas donner les lieux et les accès sur le forum

Elle est vieille comme le mode cette technique. Enfin, pas tout à  fait mais depuis que les toits sont en tôle c'est beaucoup plus facile.
Les mecs n'ont pas besoin de chopper des bons plans sur un forum ou un site : une observation sur le terrain suffit. Une échelle aussi.