Paris : quand graffiti et lumière ne font plus qu’un avec Psyckoze
A partir de ce jeudi (les 150 premières personnes se verront remettre une invitation pour un événement exceptionnel et secret), et jusqu’au 17 janvier, Psyckoze Nolimit, artiste de street art, expose ses œuvres entre graffiti et lumière à l’espace Oppidum (30, rue de Picardie, IIIe). Alexandre Stolypine, de son vrai nom, est l’un des piliers de cette culture du street art en France. A 45 ans, il a également officié et exposé à New York, Bombay, Porto Rico ou Tokyo. Son travail en atelier trouve son inspiration dans l’environnement urbain. Ses toiles plus figuratives mettent en scène des personnages sans visages, réalisés d’un trait lâché comme une signature, avec la même dynamique qu’un tag. Il développe depuis trente ans une démarche dans les catacombes de Paris dans lesquelles il laisse une trace de son époque, préservée des outrages du temps. Pour ce rendez-vous parisien, il a fait cause commune avec le photographe Louis-Adrien Leblay.
Entrée gratuite. Espace Oppidum 30, rue de Picardie (IIIe) M° Temple, Oberkampf ou Filles du Calvaire.
Source: leparisien.fr
Pourquoi les cataphiles quittent les catacombes pour investir les toits de Paris ?
Source : 20minutes.fr
Les Parisiens le savent, sous leurs pieds se faufilent des amateurs de galeries souterraines, de recoins abandonnés et d’aventure. Ce sont les cataphiles, des explorateurs urbains qui ont investi les catacombes. Ce que les Parisiens ne savent peut-être pas, c’est qu’au dessus de leur tête, ces mêmes explorateurs parcourent les toits de la capitale. Pour admirer la vue, boire un verre ou faire des photos.
Depuis l'article de Libé sur Saint-Eustache, je n'ai rien lu d'intéressant sur les toits dans la presse...
Mais merci Blaz pour le partage !
Risque d'affluence de touristes américains et japonais dans le réseau. Par mesure de sécurité, l'IGC vous recommande de ne consommer que des raviolis en attendant que le niveau d'alerte culinaire baisse.
Citation :De Castelnaudary à New York et Osaka. On a du mal y croire mais notre cassoulet, ce bon vieux plat du Languedoc, est la dernière sensation culinaire à New York et au Japon.
"Le cassoulet c'est tendance. C'est le nouveau ramen", peut-on lire dans l'interview d'un restaurateur et de blogueurs culinaires par le New York Post.
Les Américains viennent donc découvrir notre ragoût de haricots blancs et ils en sont fous. Il est présenté par le quotidien new-yorkais comme un plat d'hiver "réconfortant" et parfait pour ce moment de l'année.
http://www.huffingtonpost.fr/2016/01/13/...67676.html
Ou alors que des haricots blancs. Les chatières en mode émissions gazières généralisées.
Vendez-nous du rêve qu'y disaient...
Merci, lamer, pour le lien.
C'est dommage que le journaliste s'en soit tenu à un taf de desk, du coup il nous fait un papier anglé ruskov. Des courses à l'altitude et à la performance où le selfie remplace le melon et où le paysage urbain n'est qu'un arrière-plan. (Je reconnais toutefois que le coup de l'étoile à Moscou, c'est lourd).
A sa décharge, il n'est pas facile de pêcher sur CK
Mais il y a une scène française en dehors de CK et la télé a prouvé qu'il existait des bon clients.
Je ne leur tire pas mon chapeau ...
Ils auraient pu finir sur la paille...